À l’issue de sa visite en RDC, le Haut commissaire des Nations unies aux droits de l’homme a estimé que les avancées enregistrées par le pays étaient en danger si rien n’était fait pour apaiser la tension qui monte à l’approche de la fin du mandat du président Joseph Kabila.
Après une série de violents incidents survenus dans la capitale et plusieurs zones rurales, l’ONU a averti lundi, par voie de communiqué, que la situation sécuritaire pourrait à nouveau se dégrader dans le pays.
Près de 350 exécutions extrajudiciaires et quelque 650 cas de torture ont été enregistrés depuis le début de la crise en avril 2015, commis en majorité par des membres de la police et des services de renseignement, a annoncé l’ONU mercredi.
Il y a tout juste un an, le Burundi plongeait dans une crise politique meurtrière. Le 25 avril 2015, le président burundais Pierre Nkurunziza se portait en effet candidat à un troisième mandat, contre l’aval d’une large frange de la société civile et de la classe politique, y compris au sein de son propre camp.
Une équipe du haut-commissariat aux droits de l’homme s’est rendue la semaine passée au Burundi. Elle a fait état d’une hausse des cas de torture et de mauvais traitements dans le pays.
Peu d’informations filtrent sur les « opérations de sécurisation » en cours dans le département du Pool, situé dans le sud du Congo-Brazzaville. Plus de 10 jours après leur déclenchement, aucun bilan n’est disponible alors que l’opposition et la société civile parlent des « bombardements » quotidiens.
L’ONU a ouvert une enquête sur de nouvelles allégations de violences sexuelles particulièrement sordides qu’auraient exercées en Centrafrique des soldats de la force française Sangaris et des Casques bleus burundais et gabonais. Paris a promis jeudi de faire « toute la lumière » sur ces accusations.
Un rapport du Haut commissariat des Nations unies pour les droits de l’homme paru vendredi tire la sonnette d’alarme sur la situation au Soudan du Sud. Le texte pointe des viols massifs, des civils brûlés vifs ou découpés en morceaux, des « morts que l’on ne compte plus ». Pour l’organisation, il s’agit de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité.
Un rapport d’enquête d’une centaine de pages publié jeudi par le Haut commissariat aux droits de l’homme des Nations unies fait état des abus commis en Libye entre 2014 et 2015. Et le constat est accablant.
Barack Obama a dévoilé mardi son plan pour fermer la prison de Guantánamo avec l’espoir de tenir enfin cette promesse de campagne, juste avant son départ de la Maison Blanche.
Les Nations unies enquêtent sur de nouvelles accusations d’abus sexuels en Centrafrique, a-t-on appris mardi. Le scandale, qui a éclaté au grand jour en avril 2015, ne concernait au départ que des militaires français de la force Sangaris. Depuis, des allégations visent les Casques bleus de la Minusca, des soldats de l’Eufor ou encore de la Misca.
Moins de deux semaines après l’ouverture d’une enquête suite à de nouvelles accusations d’abus sexuels par des Casques bleus en Centrafrique, l’ONU a révélé l’existence de six nouvelles allégations. Deux portent sur l’affaire de viols présumés d’enfants par des soldats français de la force Sangaris, quatre autre visent cette fois un contingent de la Force de l’Union européenne (EUFOR) en Centrafrique.
L’ONU hausse le ton. Les Nations unies ont dénoncé vendredi 15 janvier l’existence de massacres ethniques, des charniers et des viols collectifs commis par les forces de sécurité au Burundi.
Le groupe d’experts indépendants, mis en place en juin par Ban Ki-moon, a dénoncé jeudi un « échec flagrant de l’ONU » dans la gestion des accusations de viols d’enfants par des soldats français et africains en République centrafricaine.
Le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a demandé jeudi l’envoi « en urgence » d’experts indépendants pour enquêter sur les exactions commises au Burundi.
Trois jours après un bain de sang à Bujumbura, une résolution de l’ONU appelle au déploiement « en urgence » d’une mission au Burundi pour enquêter sur de possibles violations des droits de l’homme.
Depuis qu’il a brigué un troisième mandat, le président est confronté à une opposition de plus en plus résolue, y compris au sein de son propre parti. Et semble prêt à faire courir tous les risques à son pays.
Le haut-commissaire des Nations unies aux droits de l’homme Zeid Ra’ad Al Hussein a fait état lundi d’une augmentation alarmante du nombre d’arrestations, de détentions et de meurtres au Burundi depuis début septembre.
La Mission des Nations unies en Centrafrique (Minusca) est à nouveau visée par des allégations d’abus sexuel. Mais cette, fois-ci, il s’agit d’un membre de son personnel civil.
Le Haut Commissaire aux droits de l’homme de l’ONU, Zeid Ra’ad Al Hussein, a appelé vendredi Bangui à plus de fermeté contre les groupes armés qui continuent de commettre des crimes en toute impunité dans de nombreuses localités, en Centrafrique.
Le Haut Commissaire aux droits de l’homme des Nations unies, Zeid Ra’ad Al Hussein, a annoncé jeudi que la Minusca avait été informée le 30 août d’allégations d’abus sexuels sur une jeune fille de la part d’un membre de la force militaire française Sangaris.
Le Haut-Commissaire des Nations unies aux droits de l’Homme a affirmé samedi avoir exhorté plusieurs Etats à intensifier leurs efforts pour enquêter sur des allégations de crimes commis par leurs soldats déployés en République centrafricaine.
Le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’Homme a jugé vendredi « offensant » d’être accusé d’avoir étouffé les accusations d’abus sexuels sur des enfants par des soldats français en Centrafrique.
Alors que l’Union européenne se réunit jeudi en sommet extraordinaire après les multiples naufrages de ces derniers jours en Méditerranée, l’ONU l’a exhortée à sortir de sa stratégie « minimaliste ».
La prochaine présidentielle au Burundi continue de nourrir les inquiétudes. Mercredi, le Haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme s’est alarmé du harcèlement politique, des intimidations et des actes de violence répétés à l’approche du scrutin.
Près de soixante ans après le procès de la barbarie nazie, le premier tribunal permanent chargé de juger les crimes contre l’humanité et les crimes de guerre est installé. Un moment historique.