Considérablement affaibli par la victoire du Hamas aux législatives, le successeur de Yasser Arafat continue de défendre une politique modérée, la seule conforme, selon lui, à l’intérêt du peuple palestinien.
Le fils « réformateur » du colonel Kadhafi est manifestement allé trop loin au goût de son père. Qui a décidé de donner un coup d’arrêt à sa montée en puissance.
Mûs par la volonté d’aider un peuple martyr ou par des arrière-pensées politiques, partisans et adversaires d’une intervention étrangère en Syrie avancent de solides arguments. Qui favorisent le maintien d’un tragique statu quo.
Tandis que le chef du gouvernement israélien recevait Jake Sullivan, son ministre de la Défense Yoav Gallant a prévenu que la guerre à Gaza « durera plus que quelques mois ».
Face à une nouvelle donne géostratégique défavorable, de hauts responsables de l’appareil sécuritaire israélien réclament la reprise des pourparlers avec la Syrie.
La députée européenne de droite, d’origine marocaine, a le regard tourné vers l’Afrique. Elle explique ici sa vision, entre sécurité, migration et jeunesse.
Le Qatar continue d’œuvrer en coulisses pour soulager les conditions de vie des civils et les conditions de détention des otages. Quant à l’Union européenne, elle a ajouté le chef du Hamas sur sa liste de terroristes.
L’émir du Qatar est à Paris alors que Benyamin Netanyahou confirme une prochaine opération terrestre à Rafah. À Ramallah, le président palestinien a accepté la démission de son gouvernement.
De ses nombreux entretiens avec l’ex-Premier ministre israélien, aujourd’hui plongé dans le coma, le journaliste Ari Shavit a tiré un long portrait paru dans le New Yorker. On y découvre un homme qui a beaucoup changé avec le temps, sans jamais se départi
Les échanges entre prisonniers palestiniens et otages israéliens continuent. Washington fait pression pour que, si l’offensive militaire devait reprendre, elle évite les déplacements massifs de population.
Le président de l’Autorité palestinienne s’est éteint le 11 novembre. Il avait su tisser avec son peuple une relation exceptionnelle. Sa succession n’en sera que plus difficile.
George W. Bush et ses amis sont apparemment convaincus que les récentes élections préparent l’instauration d’une démocratie à l’américaine. Ils se bercent d’illusions.
Malgré l’intensification de l’insurrection armée et des pressions internationales, le président syrien, Bachar Al-Assad, plie, mais ne rompt pas. Son recours habile à plusieurs atouts maîtres n’y est pas étranger.
Des centaines de personnes, poussées par la faim, fuient le nord de la bande de Gaza assiégée ce dimanche 25 février, alors que le cabinet de guerre israélien a donné son aval à la poursuite des discussions sur une trêve avec le Hamas palestinien selon des médias locaux.
Alors que Tsahal « étend » ses opérations contre le Hamas dans de nouveaux quartiers du territoire palestinien, il ne resterait que des « obstacles mineurs » avant un accord concernant le sort des otages, selon le Qatar, en charge de la médiation.
De passage dans la capitale française, l’écrivain engagé Gamal al-Ghitani revient sur la révolution de janvier et s’exprime sur l’avenir politique et culturel de l’Égypte. Sans cacher sa vive inquiétude face à la percée des courants islamistes.
Sans présenter de plan précis, le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, a déclaré qu’il « y [avait] de la place » pour que les civils « aillent au nord de Rafah », alors que près de 1,5 million de personnes sont réfugiées dans la ville, dans le sud de la bande de Gaza.
Dans le débat qui agite les dirigeants du pays sur la politique à suivre au Moyen-Orient, les discours sont pour le moins contradictoires. Une confusion mentale dont Ehoud Olmert est la parfaite incarnation.
Près de 1 700 prisonniers palestiniens se montrent solidaires du mouvement de grève de la faim lancé mi-avril par Marouane Barghouti. La popularité de l’ancien chef du Fatah en inquiète plus d’un.
