La SFI, filiale de la Banque mondiale, ainsi que Phoenix Capital vont investir 3,8 millions d’euros dans le groupe avicole ivoirien. En ligne de mire : la conquête du marché régional.
Le groupe agro-industriel français, leader en Afrique subsaharienne francophone, veut augmenter ses capacités et développer des usines de production d’énergie.
Avec la création de l’institution financière West Africa Agribusiness Development Corporation, Rabobank et la SFI veulent participer au décollage agricole du continent.
À travers sa marque phare, le groupe Siagro, basé à Dakar, détient plus de 70 % du marché local de l’eau minérale. Il se diversifie désormais dans les jus de fruits et le lait et met un pied au Mali.
La Congolaise Industrielle des Bois, filiale au Congo (Brazzaville) du groupe singapourien Olam, vient d’annoncer une initiative pionnière dans la région pour la préservation des forêts.
En 2011, le groupe marocain Centrale laitière a conforté sa première place. Toutefois, ses marges se détériorent. Résultat, au Maroc, la Bourse de Casablanca boude le titre.
Conséquence directe de la crise politique que traverse le pays ouest-africain, le sud-africain Illovo Sugar met un terme à sa participation dans l’un des plus grands projets sucriers du continent.
Confronté à la difficulté de dynamiser son cours en bourse, le groupe forestier français Rougier quitte Euronext pour un autre compartiment, dédié aux PME.
La BAD vient de donner son accord pour un investissement de 100 millions de dollars dans Agvance Africa, le premier fonds de fonds dédié à l’agrobusiness en Afrique.
À l’occasion du G8, Barack Obama, Donald Kaberuka et des représentants du secteur privé ont annoncé un partenariat public-privé pour l’agriculture en Afrique.
Le groupe dirigé par Nassef Sawiris a été autorisé par les actionnaires à se séparer en deux entités distinctes : l’une pour les engrais, l’autre pour le BTP.
Connue au Maroc sous la marque Aiguebelle, la Compagnie chérifienne de chocolaterie va construire une usine au Cameroun. De quoi doubler la production de chocolat du pays.
Le Fonds pour l’agriculture en Afrique (AAF) annonce un investissement de 24 millions de dollars dans Golden Lay, l’une des principales sociétés avicoles au sud du Sahara.
Les producteurs de cacao ouest-africains ont souffert d’une sécheresse inhabituellement longue. Une situation qui ne devrait pas assouplir un marché structurellement tendu.
Pour les industriels asiatiques et européens, l’heure est à la ruée vers les terres africaines. Le palmier à huile peut être une chance, à condition que développement rural ne rime pas avec menace environnementale.
Une fois encore confronté à une grave crise alimentaire, le Niger cherche, pour en finir avec les programmes d’urgence, à changer en profondeur les pratiques de production.
Les agro-industriels asiatiques et européens investissent de plus en plus dans la culture du palmier à huile. Leur nouvelle cible : l’Afrique. Dans son n° 2676, en kiosques du 22 au 28 avril, Jeune Afrique enquête sur cette ruée controversée.
La Société financière internationale devrait investir plus de 1 milliard de dollars dans les infrastructures africaines en 2012. Un motif de satisfaction pour l’économiste ivoirien, qui, avant de terminer son mandat au sein de l’institution, nous livre sa vision pour l’avenir du continent.
Pour oublier les années sombres, les autorités camerounaises explorent plusieurs pistes : augmenter la production de cacao, se positionner dans le café haut de gamme et miser sur la transformation locales. Un pari ambitieux.
La Société d’investissement pour l’agriculture tropicale basée à Bruxelles, fait entrer à son capital une filiale du chinois Sinochem. Elle veut ainsi renforcer son assise financière et monter en puissance dans l’hévéa.
Le gouvernement gabonais et le groupe singapourien Olam annoncent un partenariat pour un investissement de 183 millions de dollars dans la production de caoutchouc.
La grogne des producteurs burkinabè a fait revoir à la baisse les objectifs de la campagne 2011-2012. Cependant, le directeur général de la Sofitex est confiant. Et ne manque pas d’arguments.
La grogne des producteurs burkinabè a fait revoir à la baisse les objectifs de la campagne 2011-2012. Cependant, le directeur général de la Sofitex est confiant. Et ne manque pas d’arguments.
La première édition du Forum international sur la sécurité alimentaire s’est achevée. Les participants se sont accordés sur l’importance de responsabiliser les dirigeants politiques sur la question.
Les intermédiaires de la filière café-cacao et la Côte d’Ivoire ont finalement trouvé un terrain d’entente. Un fonds de garantie doté de 80 milliards de F CFA sera constitué, comme le proposait l’État.
Les intermédiaires de la filière café-cacao et la Côte d’Ivoire ont finalement trouvé un terrain d’entente. Un fonds de garantie doté de 80 milliards de F CFA sera constitué, comme le proposait l’État.