Pour la première fois, des rescapés du génocide de 1994, qui ont porté plainte contre le détachement français de l’époque, témoignent à visage découvert. Des parts de vérité qui méritent d’être entendues au même titre que celles de généraux et autres ex-responsables politiques.
En trente années d’indépendance, les Angolais n’ont voté qu’une seule fois. Le possible report des prochains scrutins, initialement ?prévus en septembre 2006, n’émeut pas la classe politique.