Confronté à l’explosion de sa consommation électrique et de sa facture pétrolière, le pays veut désormais sécuriser son approvisionnement et améliorer son efficacité énergétique, en misant sur le charbon, le gaz naturel et l’éolien.
Depuis deux ans, l’amorce de la sortie de crise a dissipé les craintes sécuritaires et conduit les établissements bancaires à redéployer leurs activités.
Porte d’entrée de l’Afrique de l’Ouest, le pays dispose de deux ports en eau profonde, qui se préparent à multiplier leur volume d’activités et à reprendre des parts de marché dans la sous-région.
En sept ans, près de la moitié des entreprises et des emplois formels ont disparu, et le marché est désorganisé. Les activités reprennent, mais au ralenti… Et le manque de visibilité sur le calendrier de sortie de crise risque de miner le retour de la croissance.