Chômage, difficultés des secteurs agricole et textile, solutions de sortie de crise… la situation économique du pays pèsera lourd dans le verdict du scrutin général du 3 juillet.
Le président ivoirien agresse sans finesse son homologue gabonais. Lequel rétorque sur le même ton. En filigrane de ce triste spectacle : les rapports exécrables entre Abidjan et Paris.