Les deux pays ont beau insister sur ce qui les rapproche, leurs intérêts respectifs – et parfois divergents – continuent de prévaloir. Et pas seulement en Irak.
Condamné dans l’affaire des emplois fictifs de la mairie de Paris, le numéro un du parti présidentiel a décidé de faire appel. Et de rester dans la vie politique.
Alors que l’accord entre le gouvernement et la rébellion sudiste est sur le point d’aboutir, un autre conflit fait rage depuis un an dans l’ouest du pays.
Hier encore accusée de manipuler le pouvoir politique, l’armée est aujourd’hui appelée à la rescousse pour garantir la transparence du scrutin présidentiel d’avril. Les militaires, eux, affichent leur volonté de rester neutres.