Seigneurs de guerre, voleurs de grand chemin et milices talibanes font régner un climat d’insécurité qui ralentit considérablement la reconstruction. Et décrédibilise un peu plus les « libérateurs » américains.
L’appel au dialogue lancé par le nouveau chef du gouvernement algérien, Ahmed Ouyahia, et la libération des principaux leaders du mouvement des archs pourraient être les signes avant-coureurs d’une sortie de crise.
Moins attendre du Nord, responsabiliser les dirigeants : telles sont les orientations communes adoptées, début juin, par la Banque africaine de développement et la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique.
Le VIIe Festival national du film s’est tenu à Oujda, dans l’Oriental, du 7 au 15 juin.À l’affiche, un grand nombre de productions maghrébines engagées.
Les chefs d’État, réunis le 10 juillet à Maputo, au Mozambique, choisiront le futur patron de l’organisation continentale. En lice, deux candidats originaires de la même région : le Malien Alpha Oumar Konaré et l’Ivoirien Amara Essy. Un véritable casse-tê
Convaincue que Téhéran progresse rapidement dans le domaine des armes nucléaires et des missiles balistiques, l’administration américaine semble cependant hésiter sur l’attitude à adopter.