Dans une lettre imaginée par notre confrère du l’ex-maître de Bagdad prodigue au président des États-Unis quelques conseils avisés sur la gestion de l’Irak.
Aucun Premier ministre, depuis Churchill, n’a autant court-circuité le Foreign Office que Tony Blair. Au point que certains ont baptisé le centre diplomatique « alternatif » du 10, Downing Street « Cosa Nostra ».
Crise économique gravissime, contestation sociale, mobilisation de l’opposition pour la démocratisation du régime… Comme toujours, Hosni Moubarak affecte la sérénité.
À quelques heures d’intervalle, une série d’attentats suicide ont ensanglanté la Tchétchénie et l’Arabie saoudite. Coupable tout désigné : le réseau d’Oussama Ben Laden.
Cessation des hostilités sur l’ensemble du territoire national, levée du couvre-feu instauré depuis huit mois, réouverture annoncée du trafic ferroviaire… le pays renaît peu à peu à la vie.
L’ancien ministre irakien de l’Information aurait tenté de négocier sa reddition. En vain. Les Américains n’arrivent pas à lui en vouloir : il les a trop fait rire.
Dernier épisode en date d’une guerre qui est loin d’être terminée, les attentats suicide du 12 mai à Riyad semblent prouver qu’el-Qaïda a retrouvé tous ses moyens et que ses membres sont plus déterminés que jamais à faire le sacrifice de leur vie pour tue