L’universitaire tunisien Youssef Seddik propose une nouvelle lecture du texte saint, afin d’en dégager à la fois l’inspiration initiale et la beauté poétique. Une entreprise que son compatriote Mohamed Talbi dénonce vertement.
Législatives le 12 avril, présidentielle le 19, le pays vit au rythme des élections… Mais dans la capitale économique l’insécurité n’est pas un argument électoral. Elle fait partie du quotidien des habitants.
Un cruel dilemme se pose au pays : faut-il attendre la disparition du président Lansana Conté, gravement malade depuis plusieurs mois, ou d’ores et déjà s’atteler à lui trouver un successeur ?
La production algérienne, en progression, couvre toujours moins de la moitié des besoins du pays. Et les opérateurs étrangers sont instamment priés d’investir.
Les négociations entre le gouvernement et les partenaires sociaux ont repris. Mais la méthode consistant à aborder de front tous les problèmes ne facilite pas forcément les choses.
À Dakar, chaque rue possède ses groupes d’enfants dont l’activité principale n’est plus d’aller à l’école, mais de tendre la main. Un phénomène croissant dont certains savent tirer profit.
Leurs parents ou leurs enseignants ont été massacrés sous leurs yeux par des terroristes islamistes. Comment réussir à oublier et, plus encore, à pardonner ? La société ne les y aide pas beaucoup.