Sa fermeté face aux Américains l’a auréolé, au plan national comme au niveau international, d’un nouveau prestige. À charge pour lui maintenant de ne pas décevoir les espérances qui se sont portées sur son nom.
En deux mois, le « syndrome respiratoire aigu sévère » a tué une centaine de personnes à travers le monde. Et semé la panique, car la recherche n’a pas encore trouvé les moyens de s’attaquer au virus.
Deux Américains un marchand de canons proche du Likoud et un diplomate sans états d’âme et deux Irakiens un opposant d’opérette à la solde du Pentagone et un octogénaire versatile exhumé par le département d’État. Quatre personnages qui devraient jo
Derrière les scènes d’anarchie se dessine une terrible réalité. Par sa faute et son orgueil, Saddam Hussein a mené l’Irak, qu’il prétendait incarner, à la plus prédatrice des recolonisations.