D’après l’Opep, la Libye, qui produit en ce moment 1 million de barils par jour, devrait atteindre son niveau de production d’avant-guerre « à la fin du second trimestre » 2012.
Le renouvellement du parc de cars de la capitale sénégalaise, Dakar, exacerbe la concurrence entre la société publique et une association d’opérateurs privés. Cette dernière a pris l’avantage. Pour l’instant.
Un gisement de pétrole a été mis à jour en mer au sud-est d’Abidjan. Les compagnies Vanco (USA) et Petroci (Côte d’Ivoire) réalisent le forage du puit.
Au large de l’Angola, une plateforme de dernière génération dessine de nouvelles perspectives. Le Gabon, le Congo ou le Cameroun pourraient en bénéficier un jour.
Si l’immobilier tunisien est en berne, les projets destinés à une clientèle d’affaires restent attractifs. Plusieurs d’entre eux se concrétiseront dès 2012.
Stelios Haji-Ioannou, le fondateur d’EasyJet, envisage de lancer une nouvelle compagnie aérienne « low cost » en Afrique. Un véritable challenge pour l’homme d’affaires britannique d’origine chypriote.
La capacité de la centrale thermique d’Azito sera portée à 450 MW d’ici à 2013. De quoi assurer l’indépendance énergétique de la Côte d’Ivoire et lui permettre d’exporter vers les États voisins.
La capitale burkinabè Ouagadougou accueillera en février la seconde édition du forum Africallia consacré aux PME-PMI. Une vitrine pour le Burkina Faso, qui mise sur les petites entreprises.
L’ivoirien International Aircraft Services est l’un des rares acteurs africains sur le marché du transport par hélicoptère. Il cherche à lever des fonds pour renforcer sa compétitivité face à ses concurrents occidentaux.
La réglementation stricte et la mainmise des compagnies sur la formation verrouillent le marché du travail. Malgré le dynamisme du secteur, les débouchés sont maigres.
Servair, le spécialiste de la restauration aérienne, s’implante au Ghana. Une percée en zone anglophone pour la filiale d’Air France, déjà bien implantée sur le continent.
Les groupes Air France et Lufthansa monnaient leur expertise auprès des gouvernements, aéroports ou transporteurs. La demande pour ces prestations lucratives est en plein développement.
Avec l’ouverture en février d’une ligne vers Lusaka et Harare, la dubaïote Emirates Airlines desservira vingt et une villes du continent. Pour poursuivre son expansion, elle cherche à nouer des partenariats régionaux.
Un sujet ultra-sensible : la dévaluation. Une rumeur, lancée par un quotidien ivoirien pro-Gbagbo. Il n’en fallait pas moins pour que la planète Franc CFA s’enflamme.
Davantage de vols, de sièges, de partenaires : Star Alliance devance SkyTeam au niveau continental. Mais en Afrique, beaucoup de transporteurs n’ont pas encore choisi leur camp.
Recapitalisé par l’État, l’opérateur marocain Royal air Maroc (RAM) a lancé un programme de restructuration sur cinq ans, prévoyant plus de 1 500 départs volontaires. Cela suffira-t-il à assurer sa survie ?
L’Union européenne vient de réactualiser la liste des compagnies aériennes qu’elle bannit de son ciel : la fameuse liste noire. Beaucoup, en Afrique, dénoncent une politique du « deux poids, deux mesures ».
Depuis le début de l’année, les compagnies aériennes Sénégal Airlines, Camair-Co et ECAir ont pris leur envol dans le ciel africain. Et d’autres lancements sont prévus en 2012. Un émiettement qui fragilise les opérateurs et bloque l’émergence de champions régionaux à même de profiter de l’essor du trafic continental.
Laurent Gbagbo a été entendu lundi à Korhogo par la doyenne des juges d’instruction, Makoueni Cissé, dans le cadre de l’enquête pour « crimes économiques ».
Puissance mondiale émergente, le Brésil, dont une partie de la population est composée de descendants d’esclaves noirs africains, investit beaucoup en Afrique où il bénéficie d’un capital sympathie en raison notamment de son passé de pays pauvre.
Exclusif. C’est un des fleurons du pays dont le groupe hôtelier français Accor vient d’obtenir la gestion : l’Hôtel Ivoire, qui vient à peine de réouvrir ses portes, et qui est encore en chantier.
Pour être moins dépendant de ses voisins, le Togo développe ses capacités de production. Il mise sur le thermique, qui ne tournera à plein qu’avec l’ouverture du pipeline ouest-africain.