Les sociétés de services en ingénierie informatique et les centres d’appels ont le vent en poupe. Un site dédié à l’économie numérique vient d’ouvrir ses portes. Et compte sur les avantages comparatifs du Maroc pour séduire les investisseurs.
Elle fait rêver tout le Maghreb. Effervescente, atypique, bigarrée, caractérielle, extravagante, Casa ne laisse pas indifférent. Radioscopie d’une métropole en constante ébullition, qui tente de maîtriser sa crise de croissance.
Quarante ans après son assassinat, le souvenir du pasteur est d’autant plus vivace que, pour la première fois, un Noir a une véritable chance de conquérir la Maison Blanche. L’accomplissement de son rêve ?
De plus en plus d’étrangers viennent se faire soigner à Casablanca. En chirurgie esthétique comme pour les soins dentaires, les tarifs et les délais d’attente sont inférieurs à ceux pratiqués en Europe.
Lutte contre le chômage et l’insécurité, éradication des bidonvilles, protection de l’environnement… Le wali du Grand Casablanca détaille sa stratégie.
Art déco, style néoclassique ou néomauresque… la ville blanche possède un patrimoine unique au monde. Mais il est menacé par la spéculation immobilière.
Cinéaste, musicien, écrivaine ou plasticien, ils sont originaires ou enfants adoptifs de la capitale économique marocaine… Et leurs uvres s’en inspirent.
Le Grand Casablanca concentre 36 % des bidonvilles du pays, où vivent près de 500 000 habitants. Pour les résorber, un programme de 8 milliards de dirhams a été lancé.
Meilleurs salaires, conditions de travail confortables… Près de 20 % des praticiens du continent ont choisi de s’établir dans les pays riches. Qui ne font rien pour stopper l’hémorragie.
Dans la perspective de la prochaine présidentielle, le chef de l’État met en uvre sa propre machine électorale. Son entourage intègre de nouvelles personnalités, mais garde le même socle : la famille, l’ethnie, le parti.
À Casablanca, mais aussi dans les autres grandes villes du pays, des jeunes « supporteurs » chauffés à blanc profitent des matchs de football pour donner libre cours à leurs pulsions destructrices. Un phénomène d’autant plus inquiétant qu’il prend de l’am
Un an après son élection, Sidi Ould Cheikh Abdallahi continue de s’appuyer sur des « techniciens » plutôt que sur des figures politiques. Au point que certains parlent de rupture avec les pratiques d’antan.
Vieillissement des dirigeants, structures approximatives, absence d’un projet de société clair… De toutes les formations politiques, le parti de l’indépendance est aujourd’hui le plus fragilisé.