Comment faire fructifier une exploitation agricole au XXIe siècle ? Olivier Mushiete a trouvé la solution : céder aux multinationales des crédits carbone. Explications.
En décidant de résilier le contrat de concession du port de Conakry avec Getma pour le confier au groupe Bolloré, le président guinéen Alpha Condé a pris le risque de plomber sa visite à Paris.
Les projets du groupe de télécommunications libyen Green Network pourraient bien être compromis par la situation politique en Libye. Et s’aggraver si Mouammar Kadhafi venait à quitter le pouvoir.
Le groupe Canal Plus jette l’éponge et a décidé d’interrompre ses offres à destination du Maghreb. Les raisons de cet échec commercial : la fraude et la concurrence.
Après de nouvelles secousses sismiques et une autre explosion dans une centrale nucléaire, c’est l’inquiétude qui domine au Japon. Les marchés se sont fait l’écho de cette incertitude et l’économie niponne porte les stigmates de la catastrophe.
L’homme d’affaires libano-ivoirien Roland Dagher, membre du Conseil économique et social de Côte d’Ivoire et proche de Laurent Gbagbo, est sous le coup de sanctions imposées par l’Union européenne. Il explique pourquoi, selon lui, ces sanctions sont inéquitables.
Ouvert en juillet 2010, le premier mall du Sénégal attire des milliers de curieux chaque semaine, mais seuls les plus aisés se transforment en acheteurs. Le défi : séduire la classe moyenne.
Les deux groupes français s’inquiètent pour leurs filiales ivoiriennes et nord-africaines, menacées par l’instabilité politique qui secoue ces régions. Le point sur les risques qu’ils courent réellement.
Le gouvernement guinéen a dénoncé mercredi le contrat de concession du terminal à conteneurs du port de Conakry qui le liait depuis septembre 2008, pour une durée de vingt-cinq ans, à la société française Getma International. Celle-ci est accusée d' »avoir failli à ses obligations ».
Vingt-quatre heures avant une réunion décisive de l’UA sur la crise ivoirienne qui menace de dégénérer en guerre civile, le camp du président sortant Laurent Gbagbo a annoncé compter sur l’appui de sept pays « alliés ». Dont, l’Angola, la RDC, l’Afrique du Sud mais aussi la Guinée équatoriale – qui préside l’UA.
Présent au Liberia depuis bientôt trois ans, le géant agro-industriel ivoirien Sifca a réalisé à quelques semaines d’intervalle deux opérations majeures dans le caoutchouc et l’huile de palme, deux de ses trois filières principales avec le sucre. Il montre ainsi sa vitalité, à l’heure de présenter un excellent bilan 2010.
Mis en place en 2003 par des pays producteurs, des entreprises et des ONG, le système de certification du processus de Kimberley, une initiative similaire à l’ITIE, vise à mettre fin au commerce des « diamants du sang » qui alimentent guerres et dictatures, en retraçant l’origine des gemmes. Si le dispositif fonctionne plutôt bien (notamment dans des pays comme l’Angola, le Liberia et la Sierra Leone), il a cependant montré ses limites à plusieurs reprises.
Pour faire valider sa candidature, un pays doit proposer un plan d’action visant la transparence de son secteur extractif. Ce pays sera jugé conforme une fois prouvée l’efficacité de son dispositif de supervision et de publication des revenus miniers et/ou pétroliers.
Au lendemain de la clôture de la 5e conférence de l’Initiative pour la transparence des industries extractives à Paris le jeudi 3 mars, l’occasion est propice pour la Banque mondiale après une mûre réflexion de décliner ses priorités pour le continent africain.
Face au plan d’expansion marocain basé sur une valorisation des terroirs, la tunisie, premier producteur de la région, revoit son positionnement. Et cherche de nouveaux débouchés à l’export.