Les entreprises du pays avancent leurs pions sur le continent. En cinq ans, elles ont acquis quatre-vingts sociétés dans des secteurs très variés. Mais pour ne pas se faire distancer par Pékin, New Delhi veut aussi s’intéresser aux grands chantiers africains.
Même si le pays est réputé en Afrique pour la production de coton transgénique, le débat n’en reste pas moins vif au Burkina Faso entre cotonculteurs entre les pro et les anti-OGM.
Depuis quelques années, le Burkina Faso profite de la hausse des cours mondiaux pour développer la filière aurifère. Les résultats sont là. Les critiques aussi. Reportage à Taparko, l’une des six mines industrielles du pays.
Production aurifère en hausse, industries agroalimentaires en pleine diversification, BTP florissants et services au beau fixe… Après une sérieuse baisse de régime en 2008, l’économie burkinabè semble aujourd’hui survitaminée. De nouveaux secteurs s’essaient même à l’export
Confronté une concurrence de plus en plus féroce, le leader mondial des équipements télécoms se tourne vers l’avenir pour s’ouvrir de nouveaux marchés. Baptisée « 50 milliards de connexions », sa stratégie prévoit de connecter tous les objets du quotidien à internet. Démonstration de ce pari pour le futur lors du salon Africacom organisé au Cap les 10 et 11 novembre.
Le temple de la consommation inauguré aux portes d’Alger au mois d’août connaît une affluence et des ventes records. Son gérant, le suisse Valartis, projette d’en ouvrir un deuxième à Oran fin 2012.
Les représentants de la Chambre de commerce franco-arabe ont rendu visite au président français. Elle s’apprête à lancer un forum économique réunissant la France et les pays du Golfe.
Le patron du fonds PAI Partners veut miser davantage sur les entreprises opérant sur le continent. Il insiste sur la nécessité du capital-investissement pour soutenir le secteur privé… et du microcrédit pour les populations.
Un an avant la libéralisation du secteur, l’entreprise aérienne nationale tunisienne, Tunisair, déploie une stratégie tous azimuts pour contrer l’arrivée des compagnies à bas coût.
Au coude à coude au niveau mondial, l’européen Airbus et l’américain Boeing guettent la reprise du marché africain, sur lequel 700 avions devraient être vendus d’ici à 2030.
La croissance du trafic aérien en Afrique pousse les compagnies à trouver des cursus de formation sur le continent, moins chers qu’en Occident. Revue de détail.
Peu visible, le marché des moteurs d’avion génère pourtant des milliards de dollars. Le continent attire les leaders mondiaux, qui s’appuient aussi sur les contrats de maintenance.
Face aux transporteurs internationaux, les compagnies africaines s’organisent à travers des partenariats pour préserver leurs parts de marché et se développer sur les liaisons intercontinentales.
Un an après avoir dévoilé son ambitieux plan de développement quinquennal, la compagnie nationale poursuit sa restructuration et tente de pallier les insuffisances qui nuisent à son image.
Le leader de la téléphonie mobile, Tunisiana, est menacé par ses challengeurs Tunisie Télécom et, surtout, Orange, la marque de France Télécom arrivée en mai. La bataille fait rage sur tous les fronts.
Ouverture en cascade de nouvelles destinations africaines (Kigali et Bata fin octobre, Monrovia et Pretoria l’année prochaine) et renforcement des fréquences sur les lignes existantes : Air France-KLM, bousculé sur le continent par la conccurence sur les prix par d’autres compagnies, riposte.
L’Association des compagnies aériennes africaines (Afraa) a nommé, lors de son assemblée générale qui s’est tenue du 21 au 23 novembre à Addis-Abeba, Elijah Chingocho au poste de secrétaire général. Le comité exécutif de l’Afraa a également été renouvelé.