Stimulé par des ventes en forte augmentation au Maroc et en Tunisie, le célèbre constructeur allemand proposera bientôt ses véhicules haut de gamme à Alger.
Réunis à Tunis pour trois jours à l’invitation de la BAD, les meilleurs économistes africains vont débattre des conditions nécessaires au décollage économique du continent. L’intégration régionale et l’importance d’un consensus continental lors des négociations internationales sont au centre des débats.
Portée par un nouveau cadre juridique et par les leçons tirées de la crise alimentaire de 2008, la production décolle grace aux investissements. Les filières s’organisent. Et s’industrialisent timidement.
Le pays affiche la plus forte croissance de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest. Un essor qu’il doit notamment au dynamisme de jeunes chefs d’entreprise maliens, dans tous les secteurs.
Le PDG de Noor Holding, Moussa Oumar Diawara, fait partie de cette catégorie de jeunes leaders dynamiques qui percent au Mali, n’hésitant pas à affirmer que « tout est possible » sur le continent.
Eau, énergie, télécoms, transport aérien, matériaux, construction… Le patron d’Ibi a de la suite dans les idées et de l’audace à revendre. Ibrahim Diawara crée de nouvelles activités au gré des besoins de ses sociétés.
Le Malien Abidine Yattara est le président directeur général de l’unique entreprise de dragage du Mali, la Société d’exploitation de sable et de gravier.
Le constructeur tunisien n’a vendu que 15 voitures depuis le lancement de son modèle Izis, il y a deux ans. Mais il compte sur sa nouvelle usine de Ben Arous pour doper ses ventes.
Les candidats à la concession du port se pressent, alors que la dernière tranche ne sera livrée qu’à la fin de l’année et que l’appel d’offres n’est toujours pas bouclé. Pour l’instant, les Marocains tiennent la corde.
Le Conseil des ministres saoudien a approuvé lundi la conclusion d’un accord avec la Russie sur la coopération dans le domaine nucléaire civil, a annoncé le ministre de l’Information, Abdel Aziz Khoja. De tels accords avaient déjà été signés avec les États-Unis puis la France dans le passé.
Derrière Bharti et Orange, les petits opérateurs du continent ont de vrais atouts à faire valoir. Qu’ils décident de poursuivre leur développement ou de céder à bon prix leurs filiales africaines.
Le Salon international de l’agro-alimentaire (Sial), qui a eu lieu du 17 au 21 octobre à Paris, a été l’occasion pour le Maghreb de mettre en avant ses traditions culinaires, source de croissance et d’exportation. Plus en retrait, les pays d’Afrique de l’Ouest ne connaissent pas encore le même succès.
Montée en qualité, diversification, meilleure orientation des investissements… Telles sont les grandes lignes du plan stratégique qui doit permettre au secteur de rebondir à l’horizon 2016.
La pâte nutritive Plumpy’nut va pouvoir être produite par des entreprises des pays du Sud, moyennant un reversement d’une partie du chiffre d’affaire à la société française détentrice du brevet, Nutriset.
Les chiffres publiés par l’institution soulignent le retour à une croissance de 5 % en 2010. Les politiques macroéconomiques saines mises en place par la plupart des États avant la crise n’y sont pas étrangères.
Selon de nouvelles estimations, les réserves prouvées d’or noir du pays s’élèvent désormais à 143 milliards de barils, soit 10 % des réserves mondiales.
Le tourisme spatial a de beaux jours devant lui : une société russe envisage de constuire un hôtel sur une station spatiale privée, afin d’y accueillir scientifiques, millairdaires et originaux…
Outre la « guerre des monnaies », la question du rééquilibrage des sièges, souhaité par les États-Unis, était au coeur de l’assemblée annuelle du Fonds monétaire international (FMI), qui s’est tenue à Washington les 8 et 9 octobre 2010 sans arriver à trancher le problème. Car celui-ci est fort complexe : les premiers à faire les frais de la nouvelle politique américaine ne seraient pas les Européens, mais des pays émergents comme le Brésil, l’Inde ou le Rwanda…