Prisonnier politique au temps de Hassan II, il avait, à partir de 2004, animé l’Instance Équité et Réconciliation (IER), puis présidé le Conseil consultatif des droits de l’homme. Pour la majorité des Marocains, c’était « un saint ».
Alors que l’Institut du Tout-Monde qu’il a créé en 2005 organise ce 30 mai un grand colloque autour de la modernité, l’écrivain martiniquais vient de sortir un ouvrage sur la commémoration de l’esclavage.
Si beaucoup de régions sont bien parties pour atteindre les Objectifs du millénaire, l’Afrique subsaharienne, elle, reste à la traîne faute d’un développement humain suffisant.