Amélioration du climat économique, lutte contre la corruption, découvertes pétrolières : le pays table sur une croissance de 4,7 % en 2010 et suscite à nouveau l’intérêt des investisseurs internationaux.
Le prix du pain ne cesse d’augmenter, s’aligant sur les cours du blé qui vont crescendo. Pour diminuer le poids économique de l’importation, le gouvernement propose de privilégier les producteurs locaux.
Si le groupe sauve les meubles sur ses terres, ses performances sont beaucoup moins brillantes à l’extérieur. Sans parler des accusations de malversations.
Pour la première fois dans son rapport annuel sur les indicateurs de développement, l’institution jette un regard sans concession sur un fléau qui gangrène l’économie subsaharienne.
Directeur général de la Sénégalaise des Eaux (SDE). Egalement président de l’Association africaine de l’eau (AAE), qui tiendra son congrès à Kampala du 15 au 18 mars, il revient sur les grands enjeux sénégalais et africains.
Les États africains doivent s’appuyer sur les opérateurs non publics pour alimenter les 350 millions d’habitants qui n’ont toujours pas accès à l’eau potable.
Le doute continue de planer sur l’avenir d’Areva au Niger. Un ministre a indiqué que tous les contrats miniers seraient audités, mais le porte parole de la junte dément. Pourtant, il y a quelques semaines, il avait évoqué la question devant la caméra de jeuneafrique.com
Lors du 9e Congrès du FLN, le secrétaire général de ce parti, Abdelaziz Belkhadem, a exhorté les autorités françaises à présenter leurs excuses pour les crimes coloniaux du passé.
Crise financière oblige, la banque d’investissement, arrivée en fanfare en Afrique en 2007, a remisé une partie de ses folles ambitions. Mais sans perdre de sa vigueur.
Malgré une tendance à la hausse sur le continent, le secteur connaît des jours difficiles dans le pays de la Téranga. La crise financière n’explique pas tout. Depuis dix ans, les (mêmes) annonces se succèdent sans réelle traduction sur le terrain.