Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Aujourd’hui, la série mondialement connue du photographe français, réalisée pendant la guerre d’Algérie.
En Tunisie, cet artisanat millénaire continue de faire vivre un écosystème basé principalement à Nabeul. Mais il peine à être valorisé et développé, beaucoup n’arrivant pas à transmettre cet héritage à leurs enfants.
Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Aujourd’hui, ce père désespéré qui regarde le pied et la main de sa fille de cinq ans, tranchés par des gardes de l’Anglo-Belgian India Rubber Company.
Imaginée par la curatrice sud-africaine Zama Phakathi, l’exposition « The Narratives of black hair » s’intéresse à la question des cheveux des Noirs à travers plusieurs récits communs. Un parcours à la fois esthétique et politique.
La nouvelle exposition permanente du musée marseillais offre des clés pour comprendre les représentations du passé et les enjeux régionaux du pourtour méditerranéen.
L’artiste plasticien marocain a passé toute sa vie à vouloir « bricoler l’incurable ». Une quête existentielle et métaphysique, à l’échelle de la Terre et de l’univers, qui laissera son empreinte.
Avec sa nouvelle exposition, « Echoes of the Brother Countries », la HKW explore une zone d’ombre de l’ancienne RDA : la mémoire et l’histoire des populations immigrées venues des « pays frères ».
La Friche la Belle de mai, à Marseille, consacre un cycle et deux expositions aux artistes d’outre-mer. Un temps fort qui replace ces territoires au cœur de la scène artistique contemporaine.
Immigré marocain en France, exclu et marginalisé, l’artiste ne doit sa survie qu’à son travail sur le cosmos, loin des contingences terrestres. Et à une rencontre inattendue l’ayant conduit jusqu’au musée parisien d’art contemporain. Récit.
Avec « Arabofuturs, science-fiction et nouveaux imaginaires », l’Institut du monde arabe (Paris) ouvre ses portes à des artistes d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient et au regard qu’ils portent sur l’avenir. Pas forcément rassurant.
Sélectionné pour la Biennale de Dakar, décalée au 7 novembre 2024, le peintre et sculpteur a reçu Jeune Afrique dans ses ateliers de Nouakchott. Il nous décrit son œuvre, une ode à la liberté, puisée dans son enfance et ses racines.
Cette manifestation culturelle de renommée mondiale qui devait s’ouvrir le 16 mai est finalement reportée. Elle se tiendra entre le 7 novembre et le 7 décembre.
Cette manifestation culturelle de renommée mondiale doit s’ouvrir le 16 mai, mais un report semble désormais inévitable. En cause notamment, un manque de financement.
Pour sa participation inaugurale à l’évènement avec un pavillon national, le Bénin veut révéler son art contemporain au monde et mettre la lumière sur les grands chantiers culturels en cours dans le pays.
L’artiste représentera la France à la Biennale de Venise, qui s’ouvre le 20 avril. Rencontre avec un créateur qui réinvente les espaces d’exposition et propose de décentrer le regard que l’on porte sur le monde.
Alors qu’un beau livre vient d’être publié sur l’œuvre du sculpteur malien, décédé en 2022, une exposition lui est consacrée à partir du 4 avril à la galerie Christophe Person (Paris).
L’artiste africaine-américaine dévoilera, le 23 juin, la sculpture qui lui a été commandée par le CIO et par la Ville de Paris à l’occasion des prochains Jeux olympiques.
Classée Maison des illustres, cette habitation créole pourrait bien voir le rêve du poète martiniquais se concrétiser. Ce futur lieu de résidence d’artistes accueillera aussi la bibliothèque personnelle et la collection d’art de l’écrivain.
Le plan touristique d’envergure que le gouvernement béninois a conçu s’appuie sur le volet culturel et historique de Porto-Novo, Cotonou et Ouidah. Objectif, attirer tous les publics en proposant une offre muséale « occidentalisée ».
De plus en plus connus à l’étranger, ils s’imposent dans les foires et les biennales internationales. Et, bien souvent, réimportent leur savoir-faire dans leur pays natal.
Créé par des artistes volontiers transgressifs, l’art contemporain africain est plus souvent soutenu par de riches collectionneurs que par les États. Mais le public et le privé semblent complémentaires pour construire un marché en devenir.
L’Iziko South African National Gallery consacre une rétrospective à l’artiste sud-africaine. Considérée comme une « légende vivante », elle verra ensuite son œuvre exposée aux États-Unis et en Europe.
L’artiste d’origine martiniquaise représentera la France à la Biennale d’art contemporain de 2024. Il expose actuellement ses créations créoles à Grenoble.
Le président Patrice Talon a inauguré, le 14 décembre dernier, en Martinique, l’exposition Révélation ! Art contemporain du Bénin, fer de lance du soft power béninois.
Jusqu’au 20 mars 2024, dix artistes africains redonnent vie à l’artisanat tunisien. Chaque œuvre de l’exposition Hirafen questionne le rapport à un savoir-faire ancestral, dont certains métiers et matériaux sont en voie de disparition, notamment à cause du réchauffement climatique et de la pollution.