Les éditions Diane de Selliers publient en version luxueuse « Kaïdara », un conte initiatique retranscrit en vers libres dans les années 1960 par l’écrivain malien Amadou Hampâté Bâ. Et illustré aujourd’hui par le peintre sénégalais.
L’artiste gabonaise, dont l’œuvre est exposée au Musée du quai Branly jusqu’au 10 novembre, bénéficie aussi d’une rétrospective parisienne, Praesentia, au Palais de Tokyo, depuis le 17 octobre. Portrait.
L’artiste sud-africaine, qui saisit le quotidien de son township, a séduit le public et a reçu deux prix aux 55e Rencontres de la photographie d’Arles. Elle est aujourd’hui exposée dans le cadre de PhotoSaintGermain, à Paris.
Au travers de son exposition « Le Monde pour horizon », le Musée de la Bibliothèque nationale de France prend de la distance avec ses collections. Et invite l’artiste camerounais Barthélémy Toguo à questionner, avec ses œuvres, le regard occidental.
Depuis plusieurs semaines, un catamaran géant sillonne la Méditerranée et se transforme en musée à chaque débarquement. Une odyssée culturelle entièrement gratuite emmenée par le millionnaire français Frédéric Jousset.
La foire de l’art la plus importante du continent, qui se déroule à Johannesburg ce week-end des 7 et 8 septembre, suscite l’engouement d’un nombre croissant d’acheteurs locaux, ont souligné les exposants.
Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Cette semaine, les sapeurs congolais (pour Société des ambianceurs et des personnes élégantes), immortalisés par celui que l’on surnomme aujourd’hui « Photouin ».
L’historien tunisien passionné par l’archéologie et l’art moderne a pris la direction du département d’art du Moyen-Orient et de l’Afrique chez Christie’s depuis six mois. Portrait.
Cinq ans après sa création, à Dakar, la résidence artistique du célèbre peintre américain est confrontée à des problèmes de gestion qui mettent son existence en péril. Parviendra-t-elle à se renouveler ?
Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Aujourd’hui, la libération de Madiba vue par le photographe sud-africain.
Riche de plus de 200 œuvres, l’exposition présentée jusqu’au 25 août au MAM de Paris retrace l’histoire de l’art moderne arabe à travers les liens que 130 artistes ont tissés avec la capitale française durant le XXe siècle.
Performeur, peintre et globe-trotter, le Marocain créée une œuvre hétéroclite et audacieuse. Il vient de rejoindre la résidence de Port Tonic Art Center, dans le golfe de Saint-Tropez, où il expose depuis le 16 juillet.
Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Aujourd’hui, l’école de police d’Hammanskraal, en plein apartheid, vue par le photographe iranien.
Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Aujourd’hui, la série mondialement connue du photographe français, réalisée pendant la guerre d’Algérie.
En Tunisie, cet artisanat millénaire continue de faire vivre un écosystème basé principalement à Nabeul. Mais il peine à être valorisé et développé, beaucoup n’arrivant pas à transmettre cet héritage à leurs enfants.
Chaque semaine en juillet et en août, Jeune Afrique vous présente une photographie iconique. Aujourd’hui, ce père désespéré qui regarde le pied et la main de sa fille de cinq ans, tranchés par des gardes de l’Anglo-Belgian India Rubber Company.
Imaginée par la curatrice sud-africaine Zama Phakathi, l’exposition « The Narratives of black hair » s’intéresse à la question des cheveux des Noirs à travers plusieurs récits communs. Un parcours à la fois esthétique et politique.
La nouvelle exposition permanente du musée marseillais offre des clés pour comprendre les représentations du passé et les enjeux régionaux du pourtour méditerranéen.
L’artiste plasticien marocain a passé toute sa vie à vouloir « bricoler l’incurable ». Une quête existentielle et métaphysique, à l’échelle de la Terre et de l’univers, qui laissera son empreinte.
Avec sa nouvelle exposition, « Echoes of the Brother Countries », la HKW explore une zone d’ombre de l’ancienne RDA : la mémoire et l’histoire des populations immigrées venues des « pays frères ».
La Friche la Belle de mai, à Marseille, consacre un cycle et deux expositions aux artistes d’outre-mer. Un temps fort qui replace ces territoires au cœur de la scène artistique contemporaine.
Immigré marocain en France, exclu et marginalisé, l’artiste ne doit sa survie qu’à son travail sur le cosmos, loin des contingences terrestres. Et à une rencontre inattendue l’ayant conduit jusqu’au musée parisien d’art contemporain. Récit.
Avec « Arabofuturs, science-fiction et nouveaux imaginaires », l’Institut du monde arabe (Paris) ouvre ses portes à des artistes d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient et au regard qu’ils portent sur l’avenir. Pas forcément rassurant.
Sélectionné pour la Biennale de Dakar, décalée au 7 novembre 2024, le peintre et sculpteur a reçu Jeune Afrique dans ses ateliers de Nouakchott. Il nous décrit son œuvre, une ode à la liberté, puisée dans son enfance et ses racines.
Cette manifestation culturelle de renommée mondiale qui devait s’ouvrir le 16 mai est finalement reportée. Elle se tiendra entre le 7 novembre et le 7 décembre.