Après les dix numéros d’« Off the Wall », la Franco-Ivoirienne Anna-Alix Koffi s’est lancée dans la publication d’un magazine consacré à la création africaine. Chic et percutant.
Récemment redécouvert, le Ghanéen James Barnor expose plus de cinquante ans de travail au Musée du district de Bamako, à l’occasion de la Biennale de la photographie africaine. Rencontre avec un artiste exceptionnel, dont une grande partie de l’œuvre dort encore dans des classeurs.
À l’automne 2018, le musée La Piscine, à Roubaix en France, exposera un vitrail représentant Mamadou N’Diaye. Ce Sénégalais décédé en 1985 aurait soigné des dizaines de milliers de personnes.
Depuis quelques années, de nombreux créateurs de mode et décorateurs d’intérieur s’affranchissent du wax. Au profit du tissu traditionnel malien, le bogolan.
Au Musée de l’Orangerie, l’exposition « Dada Africa » montre comment ce courant iconoclaste qui révolutionna l’histoire de l’art a en partie puisé son inspiration sur le continent africain.
Cette militante associative d’origine camerounaise promeut à Lille la culture afro, qui peine encore à exister dans cette grande ville du nord de la France.
Présentées à la villa Soudan (Bamako), les photographies de l’artiste marocain Abdessamad El Montassir exhume des récits oubliés, dans le sud du pays. Une superbe exposition du programme « OFF » de la 11e Biennale de la photographie africaine.
La guerre imbibe les images de Camille Lepage, photographe de guerre française tuée le 12 mai 2014 alors qu’elle effectuait un reportage en Centrafrique.
Afrique in visu a été lancée en 2006, au Mali, par Jeanne Mercier et Baptiste de Ville d’Avray. C’est une plateforme participative autour de la photographie en Afrique.
La ministre malien de la Culture, N’Diaye Ramatoulaye Diallo, a donné le coup d’envoi de l’événement le 2 décembre, au Musée national du Mali. Expositions jusqu’à la fin janvier 2018 sur le thème « Afrotopia ».
Le président français Emmanuel Macron a créé la surprise lors de sa tournée en Afrique de l’Ouest en déclarant vouloir « un retour du patrimoine africain à l’Afrique ». Une phrase qui redonne de l’espoir au Bénin, après des mois de tractations.
La capitale malienne s’apprête à accueillir la 11e biennale africaine de la photographie – organisé par l’Institut français, le ministère malien de la Culture, en partenariat avec Jeune Afrique -, qui rassemble les travaux de nombreux artistes. Une occasion de montrer qu’elle n’a rien perdu de sa flamme ni de sa ferveur créatrice.
Voilà trois ans que le designer malien Cheikh Diallo s’est réinstallé dans sa ville natale, où il continue de récupérer pour mieux créer. Il nous fait aujourd’hui découvrir les coins de la ville qui nourrissent sa créativité.
Exposé en grande pompe à la Fondation Cartier, à Paris, le photographe malien Malick Sidibé n’en finit pas d’inspirer les jeunes créateurs. Au risque de la répétition.
Les deux artistes ont imaginé une collection capsule inspirée par l’œuvre du photographe malien et présentée en marge de l’exposition qui lui est actuellement consacrée à la Fondation Cartier de Paris.
Also Known as Africa, c’est le nom de la foire d’art contemporain africain qui se tient désormais tous les ans à Paris, au Carreau du Temple. Sa seconde édition vient d’ouvrir pour trois jours.
La foire d’art contemporain africain AKAA, Also Known As Africa, est de retour jusqu’au 12 novembre à Paris. Le sous-sol du Carreau du Temple est investi pour la première fois avec la création de AKAA UNDERGROUND. Lady Skollie s’est appropriée cet espace avec succès.
L’Égypte a récupéré auprès des Émirats arabes unis 354 objets antiques présumés volés de diverses périodes, a indiqué le ministère égyptien des Antiquités.
À l’instar de la Zimbabwéenne Kudzanai-Violet Hwami ou de la Sud-Africaine Zanele Muholi, nombre de femmes artistes utilisent leur corps dans leur art pour défendre leurs droits et leurs choix.
A quelques jours de l’inauguration du Louvre d’Abou Dhabi, aux Émirats arabes unis, Jeune Afrique a pu accéder au site. Ouvriers et ingénieurs s’affairent pour porter la dernière main à ce futur temple du classicisme européen construit au milieu des sables brûlants, qui doit ouvrir ses portes au public le 11 novembre prochain.
Hafiz Adem, Soudanais de 26 ans arrivé en France en février 2017, publie un petit ouvrage illustré qui raconte son parcours migratoire, démarré à Kordofan, au Soudan, en février 2014. Un témoignage fort.
Après avoir bâti sa renommée internationale depuis la France, le designer Cheick Diallo est revenu s’installer à Bamako en 2014. Au plus proche de ses rues et de ses artisans.