À l’occasion de la journée internationale de l’humanitaire ce vendredi, une exposition à New York s’intitulant « When I grow up » propose les portraits d’enfants confrontés à des situations de crise particulièrement difficiles, qui mettent en scène leurs rêves et leurs espoirs pour l’avenir.
Le 27 juillet dernier, le Conseil des ministres béninois a approuvé une demande officielle de restitution des œuvres d’art emportées par le général Dodds en 1892 et aujourd’hui conservées dans l’Hexagone. Une première, qui soulève une fois de plus la question du patrimoine africain exposé à l’étranger.
Grafikama (Service peinture) réunit peintres et plasticiens du continent dans un ancien atelier industriel de Nantes. L’occasion de découvrir des créateurs peu présents dans les circuits habituels.
Tout au long de sa vie, le père de l’afrobeat aura bravé la mort et les militaires du Nigeria. La signification de son nom en yoruba évoque la grandeur d’un artiste charismatique et mystique qui aura porté sa musique en bandoulière comme une arme de revendication massive.
Annulée l’an dernier après les attentats de Paris, la première édition d’Also Known As Africa (AKAA), foire internationale d’art contemporain et de design centrée sur l’Afrique, aura lieu au Carreau du Temple du 11 au 13 novembre.
Actuellement exposé par la galerie Imane Farès, à Paris, le Congolais Sammy Baloji a trouvé dans le métal rouge le fil conducteur d’une histoire de Lubumbashi expurgée des non-dits coloniaux.
Du 18 octobre 2016 au 8 janvier 2017, à Paris, le Musée national de l’histoire de l’immigration exposera une partie de la collection agnès b., sous le commissariat de Sam Stourdzé, directeur des Rencontres d’Arles.
Jusqu’au 25 septembre, les Rencontres d’Arles, dans le sud de la France, font la part belle à la création du continent. Petit tour d’horizon et sélection de rendez-vous à ne pas manquer.
Plasticien en prise directe sur l’actualité, Kader Attia s’apprête à ouvrir à Paris, non loin de la gare du Nord, un espace consacré à la pensée et à la création.
Reporter de guerre réputé, observateur attentif des aspects les plus sombres de son pays, le photographe Britannique a réalisé un travail considérable sur les ruines romaines du Maghreb et du Moyen-Orient – avant que ne déferle la folie destructrice de Daesh.
Ouvertes ce 4 juillet, les Rencontres de la photographie d’Arles offrent une grande variétés d’expositions consacrées aux images contemporaines jusqu’au 25 septembre. Avec, cette année, une présence accrue de la création africaine.
À l’aide d’un drone, le photographe américain Johnny Miller survole l’Afrique du Sud pour dénoncer les inégalités qui rongent toujours le pays, vingt-deux ans après l’abolition de l’apartheid.
La France va enfin se doter d’une manifestation artistique à la hauteur de ses relations avec l’Afrique : la première édition d’Africa Aperta sera présentée à la Grande Halle de la Villette, du 22 mars au 16 avril 2017.
Donné pour mort, opéré en urgence en France, le plasticien sénégalais a profité d’une longue période d’hospitalisation pour réaliser plus d’une cinquantaine d’œuvres traversées d’un intense souffle vital.
Pour sa seconde vente aux enchères consacrée à l’art contemporain africain, la maison Piasa a attiré un grand nombre de spécialistes et vendu 57 % de ses lots.
La ville de Sfax a inauguré jeudi la campagne promotionnelle pour le grand événement « Sfax, capitale de la culture arabe 2016 », dévoilant une partie de la programmation ainsi que le budget attribué aux festivités.
Edson Arantes do Nascimento a aujourd’hui 75 ans. Il fut un dieu des stades, un prodige du ballon rond, et il demeure une légende sous le nom de Pelé. Toute son histoire, qui est aussi un peu celle du Brésil, est racontée en bande dessinée par Eddy Simon et Vincent Brascaglia dans « Le Roi Pelé. L’homme et la légende ».
Alors que le 12e Dak’Art prend fin début juin et que se pose déjà la question du 13e, la ville de Martigny en Suisse rend hommage à une manifestation qui a, malgré ses récurrents déboires, joué un rôle fondamental dans l’histoire de l’art contemporain africain.
Depuis quelques mois, la danse classique se pratique et s’admire dans les rues du Caire, à l’initiative de jeunes égyptiens désireux de mettre en avant les beautés cachées de leur pays. De belles photos, partagées sur les réseaux sociaux, immortalisent ces instants à la fois surprenants et magiques.
Une mosquée sous l’eau, un stade de foot rempli de couscous, un homme surfant sur un tramway, des théières géantes… À l’image du dernier clip merveilleusement déjanté de Coldplay, l’imagination des internautes marocains est en pleine effervescence !
Le festival gnaoua et musiques du monde à Essaouira a été l’occasion pour le célèbre photographe Hassan Hajjaj et son ami maâlem Marouane Lbahja de présenter des photos inédites des gardiens de l’histoire et du patrimoine gnaoui.
À l’occasion de la Biennale d’Irlande, la curatrice camerounaise Koyo Kouoh a rassemblé des œuvres qui explorent les rapports de domination. Une exposition forte qui bouscule nos préjugés.
Du 12 au 16 mai, la ville portuaire d’Essaouira vibrera au rythme des différentes scènes du festival gnaoua et musiques du monde, dédié cette année à la sagesse, à la mémoire et à la jeunesse.
Galeristes, curateurs, grands collectionneurs ou amateurs… Tous se croisent à Abidjan, devenue l’une des plus dynamiques places du marché de l’art contemporain en Afrique francophone.
Des couleurs vives et toujours la même bulle : « Hna Mansinach » (« nous, nous n’oublions pas »). En revisitant de vieilles images de guerre, l’artiste algérienne Seribell a voulu rendre hommage aux martyrs morts pour la liberté et (re)mettre en lumière les atrocités commises dans le pays pendant la guerre d’indépendance.
L’idée demeure, aujourd’hui, que le désert du Sahara serait une frontière séparant l’Afrique du Nord – un Maghreb à dominante blanche supposé appartenir au monde arabe – de l’Afrique dite « subsaharienne », à dominante noire.