Cette artiste aux multiples talents a rencontré le succès en incarnant Aïcha dans la fameuse série « Lalla Fatima ». À l’affiche des films « Citoyens d’honneur » et « Jouj », elle continue de produire et d’exposer ses oeuvres, animée par le besoin de créer. Rencontre chez elle, à Tanger.
Une exposition à l’Institut du monde arabe-Tourcoing (nord de la France) met en lumière la broderie marocaine, à l’heure où ce patrimoine et les pratiques qui lui sont liées suscitent l’intérêt d’artistes modernes.
À l’occasion de l’ouverture de son nouvel espace à Tananarive, la fondation d’Hassanein Hiridjee accueille, jusqu’en février 2024, une vaste exposition consacrée à l’artiste tisserande Madame Zo. Découverte.
Sotheby’s Tel-Aviv accueillait jusqu’au 5 mai dans ses murs sa première exposition consacrée à l’art du continent. Rien à vendre, juste pour le plaisir des yeux.
Après le pavillon du Ghana à la biennale de Venise et la Tate Britain, à Londres, c’est au tour du Guggenheim de Bilbao d’accueillir une grande exposition de l’artiste, connue pour ses étonnants portraits à l’huile.
« Ma fille s’est battue jusqu’à son dernier jour contre les inégalités », confie Christine Alaoui, la mère de la photographe assassinée en 2016 à Ouagadougou. Une fondation perpétue sa mémoire et continue de promouvoir son riche travail.
Créée en 2017 à l’initiative du patron franco-malgache du groupe Axian, la Fondation H ouvre à Antananarivo un nouvel espace de 2200 m2. Son objectif : contribuer au rayonnement de la création africaine. Rencontre avec un mécène passionné.
Pionnier des ventes aux enchères consacrées à la création africaine contemporaine, cofondateur de la Biennale internationale de sculpture de Ouagadougou, ce fin connaisseur du marché de l’art vient d’ouvrir une galerie à Paris. Rencontre.
Le fondateur du Comptoir des mines à Marrakech, vingt ans d’expérience à son actif, dresse un état des lieux du marché de l’art local. Rencontre à Guéliz.
De plus en plus de galeries installées en région parisienne offrent la possibilité de voir – et d’acheter – des œuvres contemporaines créées par des artistes africains, d’origine africaine ou afro-descendants. Jeune Afrique a sélectionné pour vous cinq expositions en cours actuellement.
Avec une exposition mêlant œuvres d’art contemporaines et pièces archéologiques, le Mucem , à Marseille, s’essaie à un exercice difficile : présenter la réalité de la cité égyptienne en regard de sa légende.
En choisissant le commissaire d’exposition nigérian Azu Nwagbogu pour la première participation du Benin au grand rendez-vous mondial de l’art contemporain, le président Patrice Talon montre à nouveau sa volonté d’imposer son pays sur la scène culturelle internationale.
Jusqu’au 2 juillet 2023, le Musée Picasso accueille la première rétrospective en France consacrée à l’artiste africaine-américaine Faith Ringgold, âgée de 92 ans.
Le peintre franco-algérien fait l’objet d’une vaste rétrospective au musée Fabre de Montpellier (sud de la France) jusqu’au 16 avril 2023. Une œuvre forte qui raconte une humanité confrontée à la violence.
La foire d’art contemporain africain a fait son grand retour dans la ville rouge du 9 au 12 février, alors que se lançait aussi le Festival africain du livre de Marrakech.
À Marseille, une vaste rétrospective consacre le travail de l’artiste française d’origine égyptienne, connue pour son engagement féministe et ses toiles brodées. Jusqu’au 16 avril 2023.
Jusqu’en septembre 2023 se tient au Zeitz Mocaa (Cape Town), l’exposition « When We See Us : A Century of Black Figuration in Painting ». Un tour d’horizon complet de la peinture figurative portée par les artistes noirs de tous horizons.
La présence de certaines tapisseries du XVIIIe siècle sur les murs de ce haut-lieu patrimonial français situé à Rome crée des tensions. Au cœur du débat : la représentation de l’Histoire dans l’espace public.
La BIC a lancé sa cinquième édition. Jusqu’au 17 décembre, dix-sept artistes présentent des œuvres engagées contre les discriminations, dans trois galeries de la ville.
Sous la tutelle du peintre africain-américain portraitiste d’Obama, le jeune franco-sénégalais Alexandre Diop puise aux sources de la pensée africaine et sature ses œuvres de références historiques.
Dix ans après sa création, la foire d’Art contemporain africain, créée par Touria El Glaoui, ouvre ses portes du 13 au 16 octobre à Londres. Une édition marquée par l’abondance des portraits féminins.
Jusqu’au 9 octobre, le festival Dream City permet aux Tunisois de redécouvrir leur ville à travers l’art et la création. Avec en vedette la chanteuse Emel Mathlouthi, la dramaturge Essia Jaïbi ou le chorégraphe Radhouane El Meddeb.
Après une œuvre du Nigérian Yinka Shonibare, le quatrième socle de Trafalgar Square accueille aujourd’hui une sculpture de Samson Kambalu qui rend hommage à un opposant à la colonisation.
Jusqu’au 19 février, l’Institut du monde arabe accueille l’exposition « Habibi, les révolutions de l’amour ». Vingt-trois artistes y parlent de corps, de sexualité et d’identité multiples.
En marge de son exposition In the Black Fantastic à la Hayward Gallery de Londres, le critique et commissaire Ekow Eshun publie, avec « Black Infinity », un riche catalogue d’images, entre sombre passé et futur onirique.
Le sculpteur malien s’est éteint le 21 août à Bamako, à l’âge de 67 ans. L’écrivain, philosophe et critique Chab Touré rend hommage à l’enfant de Gogoli, son ami.
À la fin du mois de juillet, Cotonou s’est enrichie de trois nouveaux monuments qui représentent, chacun, un symbole de l’histoire du Bénin et constituent de nouvelles attractions dans un pays qui mise sur le tourisme pour son développement.