Du 30 novembre 2019 au 31 janvier 2020, la capitale malienne accueille la 12e édition des Rencontres de Bamako. Dans un pays où la situation politique reste inquiétante, le délégué général et le directeur artistique ont choisi pour thème « Courants de conscience ».
Le Musée des confluences de Lyon présente les coiffes réunies par le collectionneur Antoine de Galbert, dont plusieurs dizaines, issues du continent, symbolisent le statut des personnes qui les portaient.
Au Boxing Beats d’Aubervilliers, une trentaine de plasticiens célèbrent le « combat du siècle » entre Mohamed Ali et George Foreman. Une expo-vente pas comme les autres.
Le cinéma français compte certaines catégories dont le contenu laisse bien trop souvent perplexe. Parmi elles, les films « sans-papiéristes » et les « films de banlieue ».
Le photographe Youssef Nabil présente son univers recolorisé jusqu’au 12 janvier à l’Institut du monde arabe de Tourcoing, dans les Hauts-de-France. Son ambition : pérenniser l’âge d’or sensuel du cinéma égyptien.
Pour sa quatrième édition, la foire AKAA (Also Known As Africa), qui se tient au Carreau du Temple, à Paris, du 9 au 11 novembre, met l’accent sur le design.
À 31 ans, Rihanna est la chanteuse la plus riche du monde, selon le classement Forbes. En près de quinze ans, celle qui a vendu 280 millions d’albums, suivie par plus de 94 millions de twittos, est aussi devenue entrepreneuse, icône de la mode, égérie de beauté et star du petit écran.
La première Biennale internationale de sculpture de Ouagadougou met en lumière les interrogations des créateurs contemporains, héritiers d’une longue tradition.
Avec Hassan Hajjaj, la Maison européenne de la photographie (Paris) devient la maison marocaine de la photographie. Jusqu’au 17 novembre, l’artiste y a installé ses œuvres multicolores, son mobilier à base d’objets de récupération et son monde bigarré.
La première Biennale d’art contemporain de Rabat se tient jusqu’au 18 décembre. Audacieux, le commissaire Abdelkader Damani a choisi de n’y inviter que des artistes femmes.
Créée à l’initiative du photographe burkinabè Léon Nyaba Ouedraogo et du responsable des ventes d’art contemporain de la maison Piasa, Christophe Person, la première édition de la Biennale internationale de sculpture de Ouagadougou (BISO) a lieu jusqu’au 15 novembre.
À Paris, l’exposition « Filets obscurs », consacrée aux clichés du Français Pierre Gleizes, revient sur la campagne du navire Esperanza, déployé par Greenpeace au large des côtes africaines en 2017. Des images fortes, qui témoignent d’une situation dramatique pour les océans comme pour les hommes qui en dépendent.
Du 3 au 6 octobre, la Foire d’art contemporain africain 1-54, créée par la Marocaine Touria el Glaoui, occupe plusieurs ailes de Somerset House, dans la capitale britannique. Une visite qui s’annonce haute en couleur.
À 27 ans, l’Ivoirienne Lafalaise Dion est la créatrice de pièces réalisées à partir de cauris qui, depuis peu, lui valent un rayonnement à l’international… et en inspirent plus d’un.
Pour sa première édition, la Biennale d’art contemporain de Rabat a décidé de jouer la carte des femmes. Des Oudayas, au musée Mohammed VI, en passant par la Villa des Arts, ce sont 63 artistes qui investissent la capitale marocaine jusqu’au 18 décembre.
« Katanga : The River of Souls » propose une (trop) courte aventure horrifique, entre science-fiction et immersion sanglante dans le passé colonial du pays.
L’héritier de l’empire automobile Simca a fait une donation de 45 pièces de sa collection, dont des œuvres du Congolais Chéri Samba ou de l’Ivoirien Frédéric Bruly Bouabré, au Musée d’Art Moderne de New-York (MoMA).
Depuis décembre 2018, le collectif Bain de Foule organise presque chaque dimanche une soirée qui secoue la capitale ivoirienne. La dernière de la saison, avant la reprise en septembre prochain, s’est déroulée ce dimanche 4 août.
Le collectionneur congolais Sindika Dokolo signe « incarNations », une exposition « afrocentrée » au Palais des beaux-arts de Bruxelles. Restitutions, fin de l’ère Kabila, retour aux affaires en RD Congo : il se confie dans un grand entretien.
Trente artistes majeurs du continent ont confié leurs œuvres pour une exposition itinérante, qui voyagera du Maroc à l’Afrique du Sud en passant par plusieurs capitales africaines.
Unique Camerounaise désignée pour illustrer la page d’accueil de Google durant la dernière Coupe du monde féminine de football, Reine Dibussi a su s’imposer avec son style semi-réaliste. Avec sa deuxième BD, elle entend davantage donner de la visibilité aux femmes.
Présentée à Bruxelles, « IncarNations » est une exposition dont le commissariat est assuré par un artiste africain en dialogue avec un collectionneur africain et un mécène dont le point de vue est afro-centrique.
Soutenue par la puissante Fondation Calouste Gulbenkian, une résidence accueille à Mindelo des artistes de l’Afrique lusophone qui n’ont pas la possibilité de se professionnaliser dans leur pays.
L’hommes d’affaires et collectionneur congolais a co-réalisé l’exposition IncarNations, à Bruxelles. Au coeur du dispositif : une salle « projet Dundo » qui présente quelques une des œuvres qui avaient été pillées dans ce musée angolais.