Avec « Les Misérables », un long-métrage coup de poing dénonçant les violences policières, le jeune réalisateur a bouleversé le public du Festival de Cannes.
Avec « La Miséricorde de la jungle », qui raconte l’histoire de soldats rwandais égarés pendant la deuxième guerre du Congo, Joël Karekezi évoque avec brio la nécessité du pardon.
La Franco-Sénégalaise Mati Diop sera la première Africaine en lice pour la Palme d’or à Cannes avec son premier long-métrage, « Atlantique ». Tout, dans ses choix, traduit son refus du formatage et de la facilité.
La Franco-Sénégalaise Mati Diop, l’Algérienne Mounia Meddour ou encore la Marocaine Maryam Touzani côtoieront à Cannes Jim Jarmusch, Marco Bellochio et Pedro Almodovar lors d’un festival dont les émissaires africains seront exclusivement des femmes.
Malgré les tentatives d’intimidation de la ministre de la Culture, le fonds public israélien consacré au septième art continue de financer des films (très) critiques à l’égard de l’État hébreu.
Devenu une énorme machine, régulièrement critiqué pour son organisation chaotique, menacé par les attentats, le festival de Ouagadougou entend pourtant rester le temps fort du film africain.
Le film « Meltem », du réalisateur Basile Doganis, est sorti mercredi 13 mars dans les salles de cinéma françaises. Il raconte l’histoire de trois jeunes partis de banlieue parisienne pour des vacances sur l’île grecque de Lesbos, où ils vont rencontrer un jeune réfugié syrien qui va peu à peu faire prendre une autre tournure leur séjour.
Nadia El Fani, réalisatrice franco-tunisienne, était cette année la présidente du Jury Documentaires de la 26e édition du Fespaco. Elle explique pourquoi elle n’y reviendra pas.
Jamais dans l’histoire de l’Académie des Oscars autant de talents issus de la communauté africaine-américaine n’avaient été récompensés, et plusieurs films primés en 2019 mettent l’accent sur le racisme subi par les Noirs.
Depuis une dizaine d’années, le catalogue de la plateforme de films et de séries en ligne Netflix ne cesse de s’étoffer. Notamment avec des contenus africains, entre acquisitions et créations originales.
Le réalisateur français d’origine mauritanienne Med Hondo, auteur de plusieurs films et devenu en France une figure du monde du doublage, est mort samedi à 82 ans, a annoncé sa famille.
Le film rwandais « The Mercy of the jungle » (La miséricorde de la jungle), de Joël Karekezi, a remporté samedi l’Étalon d’Or de Yennenga du 26e Fespaco, une édition marquée par la révélation d’agressions sexuelles contre les femmes dans le cinéma africain.
Le documentaire « Daraya, la bibliothèque sous les bombes » retrace l’histoire d’une bande d’amis qui a mené à bien le projet fou de rassembler les livres de cette ville syrienne assiégée par le régime Assad. La réalisatrice, Delphine Minoui, revient sur l’importance du travail de mémoire en temps de guerre, mais aussi la violence et la situation des réfugiés syriens en Turquie.
En parlant pour la première fois, en marge du Fespaco, du harcèlement dont elles ont été victimes, des professionnelles du cinéma africain entendent libérer la parole et assainir le secteur. Avec le mouvement #Memepaspeur, un #MeToo à l’africaine semble être né.
Très présent au festival panafricain du cinéma de Ouagadougou (Fespaco), le Rwanda, pays invité d’honneur, espère faire la preuve de son potentiel en matière de développement audiovisuel. Le président Paul Kagame est notamment attendu pour la cérémonie de clôture.
Dans son nouveau documentaire, le réalisateur sénégalais Alassane Diago fait longuement face à son géniteur, qui a quitté sa famille pendant vingt ans sans donner de nouvelles.
Apolline Traoré a livré un nouveau plaidoyer pour les femmes avec son film « Desrances », projeté en compétition mardi au Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco).
La menace terroriste vient un peu ternir le festival panafricain du cinéma de Ouagadougou (Fespaco), où le dispositif mis en place bloque professionnels et festivaliers sans parvenir à rassurer totalement.
« Green Book », de Peter Farrelly, a remporté l’Oscar du meilleur film, dimanche. Le film conte l’histoire controversée du pianiste Don Shirley parti en tournée dans le Sud ségrégationniste avec un chauffeur italo-américain.
Le festival de cinéma, qui célèbre ses 50 ans, a officiellement commencé samedi au stade municipal de Ouagadougou. Mais des problèmes d’organisation ternissent toujours la manifestation.
La 19e édition du Marché international du cinéma et de la télévision africains (Mica), rendez-vous entre producteurs, distributeurs, diffuseurs et porteurs de projets, s’est ouverte dimanche 24 février à Ouagadougou en marge du Fespaco.
Films du patrimoine restaurés, nombre d’invités en hausse, sélection mêlant valeurs sûres et nouveaux venus… Le festival phare du septième art africain fête dignement son demi-siècle.
Avec « Amal », le réalisateur égyptien Mohamed Siam signe un documentaire sur la jeunesse révolutionnaire en suivant la trajectoire d’une adolescente en quête de sens. Le film, qui sort en France le 20 février, a été interdit en Égypte.