Le film « Meltem », du réalisateur Basile Doganis, est sorti mercredi 13 mars dans les salles de cinéma françaises. Il raconte l’histoire de trois jeunes partis de banlieue parisienne pour des vacances sur l’île grecque de Lesbos, où ils vont rencontrer un jeune réfugié syrien qui va peu à peu faire prendre une autre tournure leur séjour.
Nadia El Fani, réalisatrice franco-tunisienne, était cette année la présidente du Jury Documentaires de la 26e édition du Fespaco. Elle explique pourquoi elle n’y reviendra pas.
Jamais dans l’histoire de l’Académie des Oscars autant de talents issus de la communauté africaine-américaine n’avaient été récompensés, et plusieurs films primés en 2019 mettent l’accent sur le racisme subi par les Noirs.
Depuis une dizaine d’années, le catalogue de la plateforme de films et de séries en ligne Netflix ne cesse de s’étoffer. Notamment avec des contenus africains, entre acquisitions et créations originales.
Le réalisateur français d’origine mauritanienne Med Hondo, auteur de plusieurs films et devenu en France une figure du monde du doublage, est mort samedi à 82 ans, a annoncé sa famille.
Le film rwandais « The Mercy of the jungle » (La miséricorde de la jungle), de Joël Karekezi, a remporté samedi l’Étalon d’Or de Yennenga du 26e Fespaco, une édition marquée par la révélation d’agressions sexuelles contre les femmes dans le cinéma africain.
Le documentaire « Daraya, la bibliothèque sous les bombes » retrace l’histoire d’une bande d’amis qui a mené à bien le projet fou de rassembler les livres de cette ville syrienne assiégée par le régime Assad. La réalisatrice, Delphine Minoui, revient sur l’importance du travail de mémoire en temps de guerre, mais aussi la violence et la situation des réfugiés syriens en Turquie.
En parlant pour la première fois, en marge du Fespaco, du harcèlement dont elles ont été victimes, des professionnelles du cinéma africain entendent libérer la parole et assainir le secteur. Avec le mouvement #Memepaspeur, un #MeToo à l’africaine semble être né.
Très présent au festival panafricain du cinéma de Ouagadougou (Fespaco), le Rwanda, pays invité d’honneur, espère faire la preuve de son potentiel en matière de développement audiovisuel. Le président Paul Kagame est notamment attendu pour la cérémonie de clôture.
Dans son nouveau documentaire, le réalisateur sénégalais Alassane Diago fait longuement face à son géniteur, qui a quitté sa famille pendant vingt ans sans donner de nouvelles.
Apolline Traoré a livré un nouveau plaidoyer pour les femmes avec son film « Desrances », projeté en compétition mardi au Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco).
La menace terroriste vient un peu ternir le festival panafricain du cinéma de Ouagadougou (Fespaco), où le dispositif mis en place bloque professionnels et festivaliers sans parvenir à rassurer totalement.
« Green Book », de Peter Farrelly, a remporté l’Oscar du meilleur film, dimanche. Le film conte l’histoire controversée du pianiste Don Shirley parti en tournée dans le Sud ségrégationniste avec un chauffeur italo-américain.
Le festival de cinéma, qui célèbre ses 50 ans, a officiellement commencé samedi au stade municipal de Ouagadougou. Mais des problèmes d’organisation ternissent toujours la manifestation.
La 19e édition du Marché international du cinéma et de la télévision africains (Mica), rendez-vous entre producteurs, distributeurs, diffuseurs et porteurs de projets, s’est ouverte dimanche 24 février à Ouagadougou en marge du Fespaco.
Films du patrimoine restaurés, nombre d’invités en hausse, sélection mêlant valeurs sûres et nouveaux venus… Le festival phare du septième art africain fête dignement son demi-siècle.
Avec « Amal », le réalisateur égyptien Mohamed Siam signe un documentaire sur la jeunesse révolutionnaire en suivant la trajectoire d’une adolescente en quête de sens. Le film, qui sort en France le 20 février, a été interdit en Égypte.
Dans Black Snake, leur première comédie, Karole Rocher et Thomas Ngijol imaginent un sapeur masqué bien décidé à botter les fesses des dictateurs et des barbouzes.
Avec « Les Moissonneurs », le réalisateur Étienne Kallos explore le monde étrange des Afrikaners traditionalistes de la Bible Belt sud-africaine, ces fermiers qui n’ont pas voulu changer leur mode d’existence.
Le cinéma pour adultes est miné par les stéréotypes et les discriminations. Sous-payés et parfois victimes d’humiliations, les acteurs d’origine africaine tournent peu. Mais les lignes commencent à bouger.
Jacques Kolié, réalisateur du film « Les larmes de mon peuple », sera l’un des trois ambassadeurs de la Guinée au Festival panafricain du cinéma de Ouagadougou (Fespaco), du 27 février au 2 mars prochain. Nul ne prédestinait cet autodidacte, qui a vite quitté son pays pour le Sénégal, au septième art.
Depuis des années, au Maroc, la tendance est à la fermeture des salles obscures. Mais une inflexion se fait sentir, symbolisée par la réouverture de cette adresse mythique de Rabat.
Fatou N’Diaye rayonne dans « Un ange », du réalisateur belge Koen Mortier, une fable amoureuse inspirée d’un fait réel : la mort mystérieuse d’un coureur cycliste au Sénégal.
Mélange d’animation et de documentaire, le film « Another Day of Life » suit le reporter polonais Ryszard Kapuscinski et nous plonge dans les atrocités de la guerre civile.
La restauration du film culte du réalisateur sénégalais Djibril Diop Mambéty offre une occasion de mesurer à nouveau la puissance poétique et l’humour de son cinéma.
Avec « Yembi », la Centrafrique fait son grand retour au Festival panafricain du cinéma de Ouagadougou. L’occasion pour Ida Mabaya, l’une des actrices du long-métrage, de faire parler de son pays autrement que par la crise centrafricaine.