Le court-métrage « Comme un Loup » s’invite dans l’intimité des adolescents d’une cité parisienne, captant les efforts de chacun pour réussir dans une société qui les laisse en marge.
« La Laine sur le dos », le dernier court-métrage de Lotfi Achour, est en lice pour obtenir le César du meilleur film de court-métrage 2018. Dans le film, visible en ligne, l’homme de théâtre et de cinéma offre un regard original sur un fait commun au Maghreb.
Le comédien le plus populaire des Français sera au Sénégal en février. Il y tournera son prochain long métrage sur le retour au pays d’un Sénégalais. La Malienne Fatoumata Diawara est également au casting.
A L’affiche en France ce mercredi 17 janvier, In The Fade, noueau film du réalisateur d’origine turque Fatih Akin, suit les traces de Katja – Diane Kruger – après un attentat tuant son compagnon et son fils. Un mélodrame qui peine à convaincre.
Hattie McDaniel a réussi à se faire un nom durant la ségrégation raciale aux États-Unis. Elle est la première actrice noire à avoir reçu un Oscar pour son rôle dans « Autant en emporte le vent » en 1940. Hollywood lui rendra hommage à travers un biopic.
Dans un premier long-métrage grinçant, I Am not a Witch, la Zambienne Rungano Nyoni dénonce un système archaïque et détraqué, gangrené par la corruption et les violences faites aux femmes.
Sa belle chevelure et ses longues tresses, pour moitié de couleur bleue, lui assurent un look original. Mais, bien que vedette d’un film qui a connu un vif succès critique, notamment au Festival de Cannes, Maggie Mulubwa ne joue pas à la star.
Accompagné de son partenaire Dieudo Hamadi, le réalisateur Joël Akafou a suivi le parcours de trois cyberarnaqueurs ivoiriens. Il en a tiré « Vivre riche », un film qui dresse le portrait d’une société du paraître.
Après « Paris, on t’aime aussi ! », Léo Bigiaoui revient avec un nouveau court-métrage, « Je suis une blessure », sorti ce mercredi. Lui qui avait déclaré « Paris, c’est aussi Barbès, La Chapelle et le métro », nous emmène à nouveau dans le Paris sous-terrain, cette fois-ci pour exposer la psychose de la décennie.
« Je voulais réaliser un conte » : le premier long métrage de la cinéaste zambienne Rungano Nyoni, « I am not a witch » narre, entre ironie et féerie, l’histoire d’une petite fille accusée de sorcellerie et envoyée dans un camp.
Avec son premier film, Les Bienheureux, la réalisatrice algérienne Sofia Djama frappe fort, radiographiant avec lucidité son pays, toutes générations confondues.
L’humoriste Nawell Madani raconte le parcours de Nawell Madani dans un film coréalisé et coscénarisé par Nawell Madani, « C’est tout pour moi ». Elle y incarne le premier rôle…
Chiwetel Ejiofor vient d’achever le tournage d’un film consacré à l’histoire de William Kwakamba, adolescent malawite qui construisit des éoliennes pour lutter contre la sécheresse dans son village.
La réalisatrice d’origine zambienne, Rungano Nyoni, signe son premier film, I’m not a Witch, qui sortira en salles le 27 décembre en France. Un conte campé dans la réalité des femmes sorcières en Afrique, isolées de la société. Entretien.
Son nom ne vous est sans doute pas familier. Pourtant Sonja Wanda a défilé pour les plus grands ! Aujourd’hui la Sud-Soudanaise ajoute une nouvelle corde à son arc grâce à son rôle dans le film « Par Instinct ». Entretien.
Enfant de la banlieue parisienne fraîchement inscrite à la faculté de droit, Neila Salah est confrontée dès le premier jour de sa vie d’étudiante aux provocations et aux saillies apparemment racistes du brillant et cynique professeur Pierre Mazard.
Si l’œuvre, la démarche et les pratiques du vibrionnant « mage blanc » font encore polémique, l’ethnocinéaste Jean Rouch est célébré partout pour les 100 ans de sa naissance.
Lors du dernier Fespaco, ce fut le film le plus applaudi. « L’Orage africain » fut même mieux accueilli que le superbe Félicité d’Alain Gomis, qui obtint l’Étalon d’or du festival.
« En attendant les hirondelles » confirme le talent de Karim Moussaoui, remarqué avec « Les Jours d’avant ». Et propose un beau portrait, entre rêve et désenchantement, de l’Algérie d’aujourd’hui.
Des lendemains de l’indépendance aux années 1980, le cinéma algérien, à forte tonalité nationaliste, fut le plus important et le plus influent du Maghreb.
Le chef de l’État togolais a inauguré mardi en présence de l’homme d’affaires français Vincent Bolloré une salle de cinéma CanalOlympia à Lomé, la septième ouverte sur le continent par le groupe Vivendi.
Le nouveau film « La Belle et la Meute » de la réalisatrice tunisienne Kaouther Ben Hania, revient sur le viol d’une jeune femme qui eut le plus grand mal à porter plainte contre les deux policiers qui l’avaient agressée.
Le documentaire This Is Congo, présenté à Venise, s’intéresse au défunt colonel de l’armée congolaise Mamadou Ndala. Malgré des lacunes, le film recèle quelques séquences exceptionnelles.
Juste après I Am Not Your Negro, le réalisateur haïtien présente Le Jeune Karl Marx sur les écrans français. Dans la logique d’un engagement artistique et politique qui irrigue toute son œuvre.
Défenseur d’un islam tolérant dans la vie, l’acteur d’origine algérienne Ramzy Bedia interprète un faux imam dans Coexister, le nouveau film religieusement incorrect de Fabrice Éboué.