Qui est capable de citer un grand film français consacré à l’esclavage ? A fortiori, un film consacré au passé esclavagiste de la France ? Personne, pour la simple raison qu’un tel film n’existe pas.
Accusée d’exploiter le viol d’une Éthiopienne pour un film et d’avoir organisé à Londres un sommet contre les viols en zone de conflit pour un coût exorbitant, l’actrice américaine Angelina Jolie se retrouve au cœur de la tourmente. Gênant pour une ambassadrice de bonne volonté des Nations unies.
Diffusé sur Arte le 3 juillet, le documentaire « Trop noire pour être française ? » réalisé par Isabelle Boni-Claverie interroge le racisme plus ou moins ordinaire de la société française. En fil directeur, l’histoire des grands parents de la réalisatrice, l’un des premiers couples mixtes mariés en France.
Ce Togolais est l’un des rares Africains à avoir réussi une carrière dans le cinéma pornographique. Acteur, producteur, il rêve secrètement de se lancer à la conquête du continent.
Elles s’appellent Nur, Lale, Selma, Ece et Sonay. Se croient libres de tout dans un village reculé en Turquie et vont se trouver confrontées à la lourdeur des traditions.
Le Malien Cheick Oumar Sissoko, secrétaire général de la Fédération panafricaine des cinéastes, entend redynamiser un secteur mal en point. Mais en a-t-il réellement les moyens ?
Vent de révolution sur les planches parisiennes ? Tout porte à croire qu’en matière de stand-up, les femmes de la diaspora africaine prennent le pouvoir. Claudia Tagbo, Tatiana Rojo, Selavie Newway et Roukiata Ouedraogo font de l’ombre à leurs pairs masculins.
Vent de révolution sur les planches parisiennes ? Tout porte à croire qu’en matière de stand-up, les femmes de la diaspora africaine prennent le pouvoir. Roukiata Ouédraogo a tout tenter avant de s’essayer enfin au théâtre à l’âge de 27 ans. Quatrième et dernier portrait de notre série sur le one-(wo)man-show à l’africaine.
Vent de révolution sur les planches parisiennes ? Tout porte à croire qu’en matière de stand-up, les femmes de la diaspora africaine prennent le pouvoir. Connue et reconnue au Cameroun, Selavie Neway a tout recommencé à zéro en France. Troisième portrait de notre série sur le one-(wo)man-show à l’africaine.
Vent de révolution sur les planches parisiennes ? Tout porte à croire qu’en matière de stand-up, les femmes de la diaspora africaine prennent le pouvoir. Née en France, Tatiana Rojo a grandi en Côte d’Ivoire. Aujourd’hui à Paris, elle n’en oublie pas le continent. Deuxième portrait de notre série sur le one-(wo)man-show à l’africaine.
Vent de révolution sur les planches parisiennes ? Tout porte à croire qu’en matière de stand-up, les femmes de la diaspora africaine prennent le pouvoir. Claudia Tagbo a conquis le public français avec son humour. Un humour qui lui a aussi permis de tenir bon. Premier portrait de notre série sur le one-(wo)man-show à l’africaine.
Déjà sujet à polémique en raison du sujet qu’il traite, le film de Nabil Ayouch reste au cœur des débats après que le gouvernement marocain, emmené par les islamistes du Parti pour la Justice et le Développement (PJD), a annoncé son interdiction.
Le prochain Disney, encore dans les cartons, s’appuie sur l’histoire vraie d’un Américain venu planter l’étendard familial dans le nord du Soudan pour faire de sa fille une « princesse »… Au mépris du respect des droits des Africains.
Présenté lors de la Semaine de la critique, « Dégradé » est un huis clos original au scénario habile. Ce film revient sur les déchirements entre Palestiniens et le vécu des femmes. Entre drame et comédie.
Invitée à siéger au jury du Festival de Cannes, qui se tient du 13 au 24 mai, la chanteuse et musicienne malienne n’en finit pas de se battre pour faire avancer son continent, en gardant un pied en Occident.
Trois ans après « Le Repenti », Merzak Allouache est de retour avec « Les Terrasses », un film unanimement salué par la critique. Sélectionné au 70e Festival de la Mostra de Venise, il a reçu le Grand prix du film arabe au Festival d’Abu Dhabi, ainsi que le prix de la critique internationale. Rencontre avec un réalisateur qui regarde en face la société algérienne.
Le continent ne sera guère présent au Festival de Cannes 2015, qui se tiendra du 13 au 24 mai. Deux réalisateurs africains participeront à la sélection officielle mais tous deux hors compétition.
« Le Challat de Tunis », film de Kaouther Ben Hania, revient sur un fait divers qui a traumatisé la Tunisie : l’histoire d’un pervers en scooter qui essayait de balafrer avec son couteau les fesses des passantes.
Au Maroc, une nouvelle génération a pris les devants sur des chantiers d’avenir. Jeune Afrique a dressé le portrait de 20 femmes et hommes amenés à jouer, demain, un rôle déterminant dans le royaume. Leïla Kilani, cinéaste, en fait partie.
Au Maroc, une nouvelle génération a pris les devants sur des chantiers d’avenir. Jeune Afrique a dressé le portrait de 20 femmes et hommes amenés à jouer, demain, un rôle déterminant dans le royaume. Hicham Ayouch, cinéaste, en fait partie.
Faute d’être « anglais-anglais », Idris Elba ne pourra pas incarner James Bond, a déclaré l’ancien agent 007 Roger Moore, dans une interview accordée à « Paris Match ». Face à la polémique, l’acteur plaide l’erreur de traduction.
Avec son film « Dear White People », le réalisateur africain-américain Justin Simien dénonce les préjugés raciaux toujours vivaces dans le pays d’Obama… et suscite la polémique.
Alors que le Fespaco et ses traditionnelles bousculades viennent de s’achever, les salles obscures du Burkina continuent d’attirer les mordus du septième art.