Unifrance films, l’organisme chargé de la promotion des films français dans le monde, vient de rendre public un rapport sur le cinéma en Afrique. Destiné à évaluer le continent comme marché potentiel pour le cinéma français, ce document dresse au passage un panorama inquiétant de la situation du septième art dans cette zone.
Réalisatrice au caractère bien trempé, la jeune Sénégalaise Rama Thiaw achève un documentaire sur le groupe de hip-hop Keur Gui, membre fondateur du collectif Y’en a marre lors de la dernière présidentielle.
Scénariste, réalisateur, musicien et père, ce banlieusard d’origine algérienne, ancien professeur agregé, est impliqué dans le Marrakech du rire comme dans le Bondy Blog. Et déborde de projets.
En voulant prendre la défense de Mel Gibson dans une interview, l’acteur à succès Gary Oldman a tenu des propos antisémites. Et suscité la consternation à Hollywood.
La dixième édition du festival Ciné droit libre s’est clôturée samedi soir à Ouagadougou (Burkina Faso). Le film « Sept jours à Kigali », de Mehdi Ba et Jérémy Frey, a reçu le premier prix du jury.
Le remplacement annoncé de Noureddine Saïl, qui menait dans le royaume une très dynamique politique de développement du secteur, suscite de vives réactions. L’affaire est sérieuse…
La dixième édition du festival Ciné droit libre s’est ouverte dimanche à Ouagadougou, en présence de l’ancien président ghanéen Jerry John Rawlings. Pendant une semaine, une quarantaine de films et documentaires consacrés aux droits humains seront présentés au public.
Très remarqué au Festival de Cannes, Reda Kateb fait parler de lui. Ce touche-à-tout du cinéma est à l’affiche de trois films, sélectionnés dans différentes catégories.
Amelle Chahbi et Noom Diawara se sont rencontrés au Jamel Comedy Club, et depuis ils ne se quittent plus. Sur scène et derrière la caméra, en tout bien tout honneur.
Le cinéma du Moyen-Orient et du Maghreb s’est démarqué cette année au Festival de Cannes avec des oeuvres fortes et originales comme « Winter Sleep » du Turc Nuri Bilge Ceylan qui a remporté la Palme d’or.
Le festival de Cannes rend hommage à douze dessinateurs de presse du monde entier, parmi lesquels quatre Africains. Armés de leurs seuls crayons, ces « Fantassins de la démocratie » tentent de percer les chapes de plomb aussi bien démocratiques qu’écologiques. Même maladroitement.
Le festival de Cannes rend hommage à douze dessinateurs de presse du monde entier, parmi lesquels quatre Africains. Armés de leurs seuls crayons, ces « Fantassins de la démocratie » tentent de percer les chapes de plomb aussi bien démocratiques qu’écologiques. Même maladroitement.
Le festival de Cannes rend hommage à douze dessinateurs de presse du monde entier, parmi lesquels quatre Africains. Armés de leurs seuls crayons, ces « Fantassins de la démocratie » tentent de percer les chapes de plomb aussi bien démocratiques qu’écologiques. Même maladroitement.
Film policier tourné en plein désert avec un casting hollywoodien, La Voie de l’ennemi, du réalisateur franco-algérien, est ambitieux. Forest Whitaker y livre un jeu puissant plein d’émotion.
Sélectionné dans la catégorie Un certain regard avec son film « Run », l’Ivoirien Philippe Lacôte évoque la crise qui a agité la Côte d’Ivoire de 2002 à 2011.
En lice pour la Palme d’or du Festival de Cannes, le cinéaste mauritanien Abderrahmane Sissako présente son dernier film, « Timbuktu », dont l’action se déroule pendant l’occupation de « La Ville aux 333 saints » par les islamistes, au Mali. Un entretien paru en intégralité dans « Jeune Afrique » n° 2784.
Timbuktu, le long-métrage du réalisateur mauritanien Abderrahmane Sissako a été l’un des premiers films en compétition au Festival de Cannes à être présenté à la presse. Il a reçu, pour le moment, d’excellentes critiques. « Jeune Afrique » a rencontré le cinéaste.
Les films africains n’ont pas attiré beaucoup de spectateurs dans les salles. Aucun des neufs longs-métrages africains présents au box-office français n’ont atteint les 100 000 spectateurs.
On connaissait l’écrivain marocain et son courage dans l’affirmation de son identité homosexuelle. On découvre un cinéaste, qui adapte à l’écran l’un de ses romans très autobiographique. Chapeau l’artiste !