Pour « Si tu es un homme », le documentariste a suivi, dans la mine de Perkoa, au Burkina Faso, Opio, un jeune garçon dont le salaire consiste en des sacs de pierres qui peuvent (ou pas) contenir de l’or.
Devenu célèbre sur les réseaux sociaux, le Franco-Algérien interprète avec justesse Yazid Ichemrahen, un pâtissier star, dans « À la belle étoile », long-métrage de Sébastien Tulard sorti le 22 février.
À l’affiche du « Marchand de sable » de Steve Achiepo, le Français d’origine sénégalaise tient, pour la première fois, le rôle principal. Et donne la réplique à Aïssa Maïga.
Le réalisateur Rachid Hami revient sur l’histoire de son frère, un brillant élève-officier de l’école militaire française, décédé lors d’un bahutage. Loin de l’affaire judiciaire, il signe avant tout un portait nuancé mais résolument politique d’une famille qui a fait beaucoup de sacrifices, sans renoncer à sa culture.
L’assassinat de cet adolescent noir dans le Mississippi en 1955 fut l’un des catalyseurs du mouvement des droits civiques. Le long-métrage de Chinonye Chukwu documente ces années de lutte des Africains-Américains pour l’égalité et la justice.
Financée en partie par la compagnie d’assurance, la dernière production de la Franco-Ivoirienne Alexandra Amon raconte une histoire d’amour très représentative de la société ivoirienne entre un fils de famille fortuné et une jeune femme de milieu modeste.
L’actrice crève l’écran aux côtés de Stéphane Bak et d’Ahmed Sylla dans « Un petit frère », de Léonor Serraille. Une fresque familiale qui suit la trajectoire d’une mère célibataire ayant quitté la Côte d’Ivoire pour la France, loin des poncifs habituels.
Pour son deuxième long-métrage, le réalisateur d’origine tunisienne suit la trajectoire d’une jeune fille noire pleine d’allant qui tente de trouver sa place au cœur du ballet blanc.
Dans ce très beau film d’animation, la réalisatrice syrienne Marya Zarif nous embarque dans la traversée d’une famille originaire d’Alep vers l’Europe, puis le Canada. Un conte sublime et onirique qui redonne chair à un peuple oublié.
Dans « Hawa », de Maïmouna Doucouré, Sania Halifa joue son premier grand rôle, aux côtés d’Oumou Sangaré. Si le film laisse sur sa faim, l’actrice albinos est une révélation. À JA, elle raconte sa trajectoire, des Comores à la France en passant par Madagascar.
Film de bande construit autour d’un groupe de copains issus des banlieues françaises, le premier long métrage de Jimmy Laporal-Trésor replonge le spectateur dans l’ambiance très particulière du milieu des années 1980 et de la montée de l’extrême droite.
Dans le long métrage réalisé par Mathieu Vadepied, seules deux langues ont droit de cité, le wolof et le peul. Jusqu’à quand se laissera-t-on abuser par le vocable réducteur de « tirailleur sénégalais » ?
Le Togolais Steven AF livre un drame politico-familial sur la course aveugle pour le pouvoir. Où toute ressemblance avec des situations ou personnages réels n’est pas totalement fortuite…
L’ouverture d’un multiplexe Pathé et de trois salles du groupe Teyliom a donné un coup de fouet au secteur cinématographique dakarois, qui en avait bien besoin.
L’acteur et réalisateur français signe « Les Miens », son sixième long-métrage. Un film autobiographique dans lequel il rend hommage tant à sa famille qu’à celle qu’il s’est créée au cinéma.
Dans son nouveau long-métrage, le réalisateur français Philippe Faucon s’intéresse aux supplétifs de l’armée française abandonnés après l’indépendance d’Alger. Et revisite son histoire personnelle à hauteur d’homme.
Avec son nouveau film d’animation, le réalisateur de « Kirikou et la sorcière », Michel Ocelot, propose une œuvre d’une grande beauté plastique affaiblie par les stéréotypes qu’elle diffuse.
Simon Coulibaly Guillard présente son premier long-métrage, l’histoire d’une jeune fille qui vit son passage à l’âge adulte à Lahou, un village ivoirien peu à peu englouti en raison de la montée des eaux.
Le nouveau film des frères Dardenne a obtenu le prix du 75e anniversaire du Festival de Cannes. C’est un drame social émouvant sur l’accueil des enfants immigrés. Quand le destin tient à un papier…
Le film de la réalisatrice afro-américaine Gina Prince-Bythewood, qui rend hommage aux célèbres amazones du Bénin, a reçu un accueil mitigé à Cotonou, en raison des libertés prises avec les faits historiques.
Depuis que Disney a dévoilé le teaser de La Petite Sirène, mettant en scène une Ariel noire incarnée par Halle Bailey, les réseaux sociaux se déchaînent en commentaires racistes. Un phénomène hélas récurrent.
Avec leur nouveau film, « Ordalies, le tribunal de l’invisible », Corto Vaclav et Hadrien La Vapeur nous font découvrir un tribunal bien particulier du Congo. Sans commentaires ni jugements.
Les souvenirs de la cité Gagarine ou de l’Algérie des années 1960, l’actualité brûlante d’une jeunesse qui joue avec le danger : les films de la rentrée racontent l’urgence du temps qui passe. Une sélection Jeune Afrique.
Ce documentaire suit l’entraînement de quatre immigrés zimbabwéens formés à la sommellerie en Afrique du Sud pour participer au championnat du monde de dégustation. Un film « feel good » réjouissant sur l’intégration par le travail.
Le premier cow-boy était-il Africain-Américain ? Vous le saurez en allant voir le dernier film du réalisateur de « Get out » et de « Us », un mélange réussi de western, de comédie, d’horreur et de SF.