Présenté hors compétition, le premier film du Franco-Algérien Élias Belkeddar suit les pérégrinations de deux bandits français en Algérie. Un exil sous forme d’errance délirante.
Pour « Chronique des années de braise », le réalisateur algérien obtenait la récompense suprême du Festival de Cannes. Le Tunisien Férid Boughedir, lui-même cinéaste, s’en réjouissait, à l’époque, dans JA.
L’acteur français révélé dans « Les Misérables » de Ladj Ly multiplie les projets. À l’affiche de cinq films et de deux séries cette année, il est sur orbite dans « La Gravité » de Cédric Ido, un film de genre brillant.
Un nouveau documentaire, diffusé ce 18 mai sur France 2, revient sur la disparition au Congo de l’animateur vedette. Une histoire trouble, qui peine, malgré les années, à trouver son épilogue.
Mehdi Hmili signe un deuxième long-métrage intense, inspiré de sa jeunesse passée dans une cité HLM de Tunis, entre précarité, rêves et désillusions. Un film en hommage aux oubliés de la révolution.
La bande-annonce du documentaire sur Cléopâtre « Queen Cleopatra », disponible sur Netflix à partir du 10 mai prochain, suscite de vives réactions. Le motif ? L’actrice choisie pour incarner la reine est noire.
Si son cru 2022 avait vu le continent sous-représenté, notamment le sud du Sahara, la Croisette met cette année à l’honneur pas moins de douze films africains.
Le rappeur d’origine congolaise vient d’achever le tournage d’une série écrite par son épouse, Wallen, tandis que le film Le Roi des ombres, dont Kaaris est la tête d’affiche, cartonne sur Netflix.
Dans son deuxième long-métrage, la réalisatrice marocaine Maryam Touzani dépeint avec tendresse et humanité un triangle amoureux sur fond d’homosexualité.
Ce premier long-métrage du réalisateur tunisien Youssef Chebbi a obtenu la plus prestigieuse des récompenses du Fespaco ce samedi 4 mars. Le film est une allégorie sur la révolution, dans un brasier où se mêlent mystique et mystère.
Discret dans la vie, le comédien illumine l’écran. Il est à l’affiche de deux films : « Pour la France », de Rachid Hami, et « Goutte d’Or », de Clément Cogitore.
Pour « Si tu es un homme », le documentariste a suivi, dans la mine de Perkoa, au Burkina Faso, Opio, un jeune garçon dont le salaire consiste en des sacs de pierres qui peuvent (ou pas) contenir de l’or.
Devenu célèbre sur les réseaux sociaux, le Franco-Algérien interprète avec justesse Yazid Ichemrahen, un pâtissier star, dans « À la belle étoile », long-métrage de Sébastien Tulard sorti le 22 février.
À l’affiche du « Marchand de sable » de Steve Achiepo, le Français d’origine sénégalaise tient, pour la première fois, le rôle principal. Et donne la réplique à Aïssa Maïga.
Le réalisateur Rachid Hami revient sur l’histoire de son frère, un brillant élève-officier de l’école militaire française, décédé lors d’un bahutage. Loin de l’affaire judiciaire, il signe avant tout un portait nuancé mais résolument politique d’une famille qui a fait beaucoup de sacrifices, sans renoncer à sa culture.
L’assassinat de cet adolescent noir dans le Mississippi en 1955 fut l’un des catalyseurs du mouvement des droits civiques. Le long-métrage de Chinonye Chukwu documente ces années de lutte des Africains-Américains pour l’égalité et la justice.
Financée en partie par la compagnie d’assurance, la dernière production de la Franco-Ivoirienne Alexandra Amon raconte une histoire d’amour très représentative de la société ivoirienne entre un fils de famille fortuné et une jeune femme de milieu modeste.
L’actrice crève l’écran aux côtés de Stéphane Bak et d’Ahmed Sylla dans « Un petit frère », de Léonor Serraille. Une fresque familiale qui suit la trajectoire d’une mère célibataire ayant quitté la Côte d’Ivoire pour la France, loin des poncifs habituels.
Pour son deuxième long-métrage, le réalisateur d’origine tunisienne suit la trajectoire d’une jeune fille noire pleine d’allant qui tente de trouver sa place au cœur du ballet blanc.
Dans ce très beau film d’animation, la réalisatrice syrienne Marya Zarif nous embarque dans la traversée d’une famille originaire d’Alep vers l’Europe, puis le Canada. Un conte sublime et onirique qui redonne chair à un peuple oublié.
Dans « Hawa », de Maïmouna Doucouré, Sania Halifa joue son premier grand rôle, aux côtés d’Oumou Sangaré. Si le film laisse sur sa faim, l’actrice albinos est une révélation. À JA, elle raconte sa trajectoire, des Comores à la France en passant par Madagascar.
Film de bande construit autour d’un groupe de copains issus des banlieues françaises, le premier long métrage de Jimmy Laporal-Trésor replonge le spectateur dans l’ambiance très particulière du milieu des années 1980 et de la montée de l’extrême droite.
Dans le long métrage réalisé par Mathieu Vadepied, seules deux langues ont droit de cité, le wolof et le peul. Jusqu’à quand se laissera-t-on abuser par le vocable réducteur de « tirailleur sénégalais » ?
Le Togolais Steven AF livre un drame politico-familial sur la course aveugle pour le pouvoir. Où toute ressemblance avec des situations ou personnages réels n’est pas totalement fortuite…
L’ouverture d’un multiplexe Pathé et de trois salles du groupe Teyliom a donné un coup de fouet au secteur cinématographique dakarois, qui en avait bien besoin.
L’acteur et réalisateur français signe « Les Miens », son sixième long-métrage. Un film autobiographique dans lequel il rend hommage tant à sa famille qu’à celle qu’il s’est créée au cinéma.