La comédie musicale de la Sénégalaise Dyana Gaye nous convie à un voyage en taxi-brousse en compagnie de personnages pittoresques. Sur fond de soul, de blues et de pop.
Décédé le 7 juin dernier, l’artiste gabonais Oliver N’Goma a été enterré après deux jours de cérémonies d’hommage et de deuil organisées dans la capitale.
Dès vendredi, le monde aura les yeux tournés vers l’Afrique du Sud pour la grand-messe du football. L’occasion pour Jeune Afrique de mettre en lumière les artistes qui portent la voix du pays au-delà de ses frontières. Musique, danse, littérature, cinéma, arts plastiques… Revue de détail d’une culture arc-en-ciel éclatante, avec le « Zoulou blanc » pour débuter cette série.
Le célèbre compositeur de musique de longs métrages, l’Américain Hummie Mann, a estimé samedi que « le partage du savoir est une excellente chose pour promouvoir le cinéma africain », au deuxième jour du festival international du film de Dakhla (Sahara occidental).
Mahamat-Saleh Haroun a reçu le prix du jury du Festival de Cannes. Cela faisait vingt ans qu’un réalisateur africain ne s’était pas distingué en sélection officielle.
Le cinéaste Mehdi Ben Attia s’attaque à un sujet tabou. Mais en filmant l’homosexualité de façon frontale dans un milieu privilégié, il prend le risque de la caricature.
Ce photographe égyptien établi à New York et passionné de cinéma navigue entre journal intime et portraits d’artistes. Sa principale ambition ? L’immortalité.
Souvent évoqué dans des films étrangers, et, surtout, fortement représenté par ses cinéastes et ses comédiens, le continent a créé l’événement de cette édition 2010.
Le réalisateur tchadien Mahamat Saleh-Haroun a reçu le prix du Jury du Festival de Cannes pour son film « Un homme qui crie n’est pas un ours qui danse ». C’était le premier film africain en compétition officielle depuis treize ans.
Raja Amari, la réalisatrice tunisienne du très remarqué « Satin rouge », revient avec « Les Secrets ». Un conte de fées moderne et noir magnifiquement interprété par Hafsia Herzi.
Son dernier film, « Un homme qui crie », est en compétition pour la Palme d’or au Festival de Cannes. Portrait d’un cinéaste rigoureux, passionné et acharné.
« L’Afrique a raté ce qui est fondamental dans sa culture : la transmission » entre « les pères de l’indépendance » et « la génération suivante », estime le Tchadien Mahamat-Saleh Haroun, qui entre en lice pour la Palme d’or, dimanche, avec « Un homme qui crie n’est pas un ours qui danse ».
Le réalisateur tunisien Mehdi Ben Attia confie à jeuneafrique.com le message du « Fil », son premier long métrage. Il parle d’homosexualité dans les pays arabes, du tournage et de la difficulté de trouver des comédiens pour jouer des scènes d’amour entre hommes.
Avant même sa projection au festival de Cannes, le 21 mai, le dernier long-métrage du réalisateur franco-algérien Rachid Bouchareb, « Hors-la-Loi », suscite la polémique en France. Car le film revient sur un sujet sensible et un enjeu de la « guerre des mémoires » : les massacres de Sétif et la guerre d’Algérie. Décryptage.
Réalisé par Florent de la Tullaye et Renaud Barret, « Benda Bilili ! » retrace l’épopée incroyable de huit musiciens congolais autodidactes. Il ouvrira la Quinzaine des réalisateurs le 13 mai à Cannes. Reportage.
Relations hommes-femmes, politique, cinéma… À l’occasion de la sortie de son film « Femmes du Caire », le réalisateur Yousry Nasrallah livre, pour jeuneafrique.com, son regard sur la société égyptienne.
Le 21 mai, au Festival de Cannes, une cérémonie en hommage aux victimes de la guerre d’Algérie accompagnera la projection d’ « Hors-la-loi », le nouveau film de Rachid Bouchareb qui suscite déjà une vive polémique.
Face aux difficultés à acheter, à transporter et à conserver les films en 35 millimètres, le numérique peut garantir un accès instantané aux films. Une solution qui a, hélas, un coût élevé.
Le député français UMP des Alpes-Maritimes, Lionel Luca, fustige le caractère « négatif et négationniste » du dernier film du Franco-algérien Rachid Bouchareb, « Hors-la-loi », qui relate notamment le massacre de Sétif, en 1945. Un film que l’élu n’a pas encore vu, et qui sera présenté au prochain Festival de Cannes.