La plus grande rencontre du septième art africain célébrera ses 40 ans du 28 février au 7 mars prochain. Avec une sélection riche qui signe le retour en force de la production nord-africaine. L’occasion de revenir avec le nouveau délégué général du festival, Michel Ouédraogo, sur un secteur en difficulté. Interview.
Djamel Ouahab revient sur les essais menés par la France dans le Sud algérien de 1960 à 1966. Au témoignage de ceux qui vivaient près d’Hamoudia se mêle celui de vétérans français. Comme autant de victimes…
Véritable serpent de mer de la politique culturelle, la relance du septième art refait surface depuis quelques mois. Et il semble que cette fois-ci pourrait être la bonne.
APA – Ouagadougou (Burkina Faso) – Des films présélectionnés pour les oscars ou récompensés dans des festivals internationaux sont présentés à la compétition officielle du 21ème Festival panafricain du cinéma de Ouagadougou (Fespaco), attestant du niveau relevé de l’édition de cette année.
De nombreux Britanniques Noirs, talentueux, seront honorés par les principales chaînes de télévisions britanniques dès la semaine prochaine avec le passage d’un grand nombre de films (à travers l’Afrique) tout au long de l’année.
APA – Ouagadougou (Burkina Faso) – Dix-sept réalisateurs ont remporté, de 1972 à 2007, l’Etalon d’or de Yennega du Festival panafricain de cinéma de Ouagadougou (Fespaco), dont la 21ème édition est prévue du 28 février au 7 mars 2009 dans la capitale burkinabè.
Peu primée dans la catégorie long métrage au Festival panafricain de cinéma de Ouagadougou (Fespaco), l’Afrique du Nord arrive à la 21ème édition du festival avec plus du tiers des films en compétition pour l’Etalon d’or de Yennega, le plus important des prix de la rencontre.
Cent vingt-sept (127) œuvres cinématographiques et télévisuelles ont été retenues dans la sélection officielle du Festival panafricain du cinéma de Ouagadougou (Fespaco), prévu du 28 février au 7 mars 2009, a appris APA à Ouagadougou.
Plusieurs films à l’affiche traitent de sujets très sérieux (terrorisme, religion, Shoah). Mais leurs réalisateurs ont choisi des genres différents. Comédie ou drame. Pour un résultat mitigé.
La réalisatrice sénégalaise Fatou Kandé Senghor, a annoncé le lancement, en marge de la sélection officielle de la 21ème édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco), prévue du 28 février au 7 mars prochain, d’un projet destiné à faire découvrir aux festivaliers des genres cinématographiques peu accessibles intitulé «Out Fespaco 2009. Filmer l’Afrique : Esthétique et narration».
De nombreux films politiques ou sociaux marquent ce début d’année. Deux d’entre eux méritent intérêt : le très attendu Che, avec Benicio Del Toro, et le plus esthétique Barrage contre le Pacifique.
En France, les acteurs d’origine africaine peinent à trouver des rôles à la hauteur de leur talent. Une situation imposée en partie par les chaînes de télévision qui financent le septième art. Enquête.