« De nombreux adolescents sénégalais n’ont jamais vu de film, sur écran géant. Ceci est psychologiquement dramatique, je ne sais pas comment cet enfant sera forgé culturellement, lorsqu’il aura 30 ans », a déclaré à APA le cinéaste sénégalais Ousmane William Mbaye.
Le cinéaste sénégalais Ousmane William Mbaye voit dans l’élection de Barack Obama à la Présidence des Etats-Unis, l’aboutissement logique d’une longue lutte pour la reconnaissance des droits des Noirs et un message aux Africains, qui « doivent savoir que tout est possible à force de travail ».
À Libreville, Le Komo, l’un des plus grands cinémas d’Afrique centrale, vient d’être restauré. Premières séances à la fin de novembre, après dix ans de fermeture.
Différent du Fespaco et de Carthage, des festivals à paillettes des Émirats, mais aussi de Cannes ou de Venise, Marrakech a du mal à se définir. A l’occasion du festival 2008, Jeune Afrique avait interviewé Noureddine Saïl, le directeur du Centre national du cinéma marocain.
À Libreville, Le Komo, l’un des plus grands cinémas d’Afrique centrale, vient d’être restauré. Premières séances à la fin de novembre, après dix ans de fermeture.
Moins glamour que les précédentes éditions, le Festival de Marrakech a néanmoins tenu ses promesses. Et confirmé le renouveau du cinéma de l’est et du nord de l’Europe.
Alors que l’on assiste à une recrudescence des enfants-soldats en RD Congo, Johnny Mad Dog sort en salles, en France. Un film tourné au Liberia avec d’anciens jeunes combattants. Retour sur ces vies brisées.
Différent du Fespaco et de Carthage, des festivals à paillettes des Émirats, mais aussi de Cannes ou de Venise, Marrakech a du mal à se définir. Éléments de réponse avec Noureddine Saïl, à l’occasion de la 8e édition, qui se tient jusqu’au 22 novembre.
Face à la concurrence des festivals à paillettes et des rendez-vous argentés des pays du Golfe, les Journées de Carthage, la plus vieille manifestation cinématographique du continent, peinent à tenir leur rang.