Le distributeur panafricain a ouvert une première enseigne Supeco à Douala, où son concurrent BAO, porté par le groupe français, dispose de cinq années d’avance et d’un réseau de quatre magasins, appelé à se développer grâce à la franchise.
Les prix de la majorité des produits alimentaires de base flambent sur le continent, mettant les États, les consommateurs et le secteur privé sous pression. Aucune solution à court terme ne semble satisfaisante.
Loin de se recroqueviller dans ses frontières, le Tunisien SAH Lilas prévoit une expansion massive pour maintenir sa position de leader continental des produits hygiéniques. Le Sénégal sera la tête de pont de cette nouvelle stratégie commerciale.
Après l’ouverture de deux supermarchés à Touba et Dakar, l’enseigne Elydia, créée par feu Abdoulaye Elimane Dia, ambitionne de s’imposer dans la grande distribution et de contrarier les plans des géants du secteur. Oumar Seck, successeur du fondateur, mettra tout en œuvre pour remporter ce pari.
Lancée il y a près de deux ans, la plateforme d’achat et de vente en ligne Wiikko a réussi à se faire une bonne place à Kinshasa en adaptant ses services aux particularités de la capitale congolaise.
Des frites de pommes de terre égyptiennes pour accompagner votre « Chicken Bucket » ? Le recours de la chaîne américaine à des importations a fait des vagues au Kenya, après une pénurie début janvier.
Distributeur de fruits et légumes frais à Lambaréné, Libreville et Port-Gentil, la centrale d’achat veut se développer davantage au Gabon et exporter son modèle au Congo, en Centrafrique, en Guinée équatoriale, au Tchad et au Nigeria.
Installé dans la région de Djelfa au mitan des années 2000, l’homme a su mettre en valeur des terres parfois ingrates en y plantant ses oliviers. Aujourd’hui, son huile traverse les océans. Reportage.
Avec environ 5 millions de tonnes de pommes de terre produites chaque année, l’Algérie fait partie des vingt plus gros producteurs du monde…mais se retrouve aujourd’hui dans l’obligation d’en importer. Une situation révélatrice des failles de l’économie du pays.
Financée par Rijaal Holding SAS, une société d’investissements mouride, la marque de distribution alimentaire Senchan a ouvert quatre boutiques et ambitionne d’en ouvrir treize autres dans une ville qui échappe pour le moment à l’emprise du géant français.
La pandémie a mis en évidence la dépendance de l’Afrique à l’égard de l’étranger : 90 % des médicaments du continent sont importés. Ce qui laisse un boulevard pour développer l’industrie pharmaceutique locale.
Si le visage de la directrice générale de la Société d’articles hygiéniques (SAH-Lilas) est connu de tous, son cofondateur a aussi toute sa place dans la réussite de ce fleuron industriel tunisien, présent en Libye, en Algérie, en Côte d’Ivoire et au Sénégal.
Après deux années difficiles, entre crise judiciaire et Covid-19, le fabricant d’électroménager veut regagner ses positions à l’export et repasser le cap de 80 millions de dollars.
Avec sa plateforme digitale au service des magasins de proximité, la centrale d’achats réussit à séduire de grands fonds d’investissement… et de plus en plus de petits commerçants.
L’organisation créée à l’initiative de l’économiste congolais a ouvert son premier supermarché en mars dernier, à Kinshasa. Objectif : donner aux consommateurs le goût des produits locaux, au juste prix.
Le brasseur néerlandais Heineken a annoncé être en discussion avec le sud-africain Distell pour racheter la majorité de ses activités. Une acquisition qui devrait nourrir ses ambitions continentales.
À la pointe sud du Continent, au Cap, le spécialiste du e-commerce veut construire un nouveau siège. Des activistes répliquent qu’il s’agit d’un terrain sacré.
La crise du Covid a accéléré la transformation de la filiale distribution du holding royal Al Mada. Mais ses ambitions vont bien au-delà de la digitalisation.
Le spécialiste camerounais des produits de beauté pour peaux noires et métissées réfléchit à implanter des unités de fabrication au Nigeria ou en Angola pour éviter les barrières douanières.
Le géant mondial, qui revendique plus de 100 millions de dollars investis en trois ans au Maroc, anticipe une révolution des habitudes de ses clients – en Afrique également. Et plaide pour une réglementation plus flexible.
Après seulement deux ans de présence sur le marché kényan, Shoprite jette l’éponge. Un retrait qui suit ceux de Choppies et TFG, et la faillite du géant Nakumatt.
Les magasins discount de type Supeco ont attiré de nouveaux clients pendant la période de restrictions liées à la pandémie. Reste maintenant à les fidéliser.
Toujours discrète sur ses chiffres, l’enseigne d’articles de sport accélère en Côte d’Ivoire et vise pas moins de dix implantations, rien qu’à Abidjan, d’ici à 2025.
Partenariat avec le turc Ayka textile, labellisation du Faso Dan Fani, fraudes… Le ministre du Commerce, de l’Industrie et de l’Artisanat fait le point sur la situation du textile burkinabè.
Rocket Internet, l’actionnaire historique et créateur de la plateforme panafricaine de e-commerce a vendu la totalité de ses parts. Entre opérateurs télécoms, gestionnaires d’actifs et industriels, le groupe ne compte plus à son capital de spécialistes de la vente en ligne.