Les ambassadeurs du Conseil de sécurité de l’ONU ont prôné samedi une solution « par étapes » avec les dirigeants de l’Union africaine pour tenter d’enrayer l’escalade des violences au Burundi, dont le président Pierre Nkurunziza s’oppose à toute ingérence internationale.
Les ambassadeurs du Conseil de sécurité de l’ONU qui ont rencontré vendredi le président du Burundi Pierre Nkurunziza, ont reconnu qu’il y avait eu peu de progrès concernant le déploiement d’une force africaine et une reprise des discussions avec les opposants.
À l’occasion d’une visite à Paris du Premier ministre tunisien Habib Essid, la France a annoncé vendredi le lancement d’un plan de soutien d’un milliard d’euros à la Tunisie sur les cinq prochaines années. Une bouffé d’oxygène pour le pays, confronté à une grogne sociale croissante ?
Alors que les ambassadeurs des pays membres du Conseil de sécurité de l’ONU doivent rencontrer vendredi le président burundais Pierre Nkurunziza pour tenter de le convaincre d’accepter le déploiement d’une force de paix africaine, Bujumbura a été une nouvelle fois la proie des violences jeudi.
Les ambassadeurs du Conseil de sécurité de l’ONU ont décollé mercredi pour le Burundi. Ils vont tenter de persuader le gouvernement d’ouvrir un dialogue avec l’opposition et d’accepter le déploiement d’une force de l’Union africaine.
Le président ivoirien Alassane Ouattara a réagi mardi au mandat d’arrêt international émis par la justice burkinabè contre Guillaume Soro, président de l’Assemblée nationale ivoirienne.
Quelle mouche a donc piqué les dirigeants du royaume wahhabite ? En exécutant un chef chiite respecté, ils ont provoqué une crise majeure avec l’Iran. Pas vraiment utile, et très imprudent.
Sur le plateau télé de l’émission « On n’est pas couché », le Premier ministre français Manuel Valls a affirmé samedi dernier que Ali Bongo Ondimba n’avait pas été élu « comme on l’entend ». Matignon a tout de suite tenté de circonscrire le début d’incident diplomatique entre Paris et Libreville, non sans succès.
De source diplomatique à Kinshasa, Edem Kodjo, ancien Premier ministre togolais, est arrivé lundi soir dans la capitale congolaise pour entamer des « préconsultations » en vue du dialogue politique préconisé par le président Joseph Kabila. Un forum boudé par une frange d’opposition dite « radicale ».
Samedi, dans une émission de télévision, le Premier ministre français a en effet estimé que le chef de l’État gabonais n’avait pas été élu « comme on l’entend ». Des propos qui secouent d’ores et déjà la classe politique gabonaise.
Le Premier ministre malien, Modibo Keïta, a affirmé dimanche que Bamako et Ouagadougou devaient « mutualiser » leurs efforts contre le terrorisme, après les attaques qui ont fait 29 morts dans la capitale burkinabè.
L’accord nucléaire historique entre l’Iran et les grandes puissances est entré en vigueur samedi après le feu vert de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), entraînant une levée des sanctions économiques qui frappent le pays.
Stockholm a renoncé à son projet de reconnaissance du Sahara occidental et le Maroc s’est dit satisfait de cette annonce. Après quatre mois de tension sur ce sujet, les deux pays reviennent à de meilleurs sentiments.
Pour désamorcer le blocage dans la mise en œuvre de l’accord de paix au Mali, Alger convoque les différentes parties à une réunion d’urgence de haut niveau les 18 et 19 janvier.
La nomination par l’Arabie Saoudite d’un nouvel ambassadeur à Rabat, fin connaisseur du Maroc, consolide l’alliance entre les deux monarchies dans un contexte de guerre contre le terrorisme et de crise avec l’Iran.
Réunis au Caire, les pays de la Ligue arabe ont exprimé dimanche leur « solidarité totale » avec l’Arabie saoudite face aux « actes hostiles » de l’Iran.
Le chef de la Ligue arabe Nabil al-Arabi a dénoncé dimanche les « actes de provocation » de Téhéran dans le cadre de la crise diplomatique opposant l’Iran à l’Arabie Saoudite depuis que Ryad a exécuté un dignitaire religieux chiite.
La chancelière allemande Angela Merkel s’est prononcée samedi en faveur d’un très net durcissement des règles d’expulsion des demandeurs d’asile condamnés par la justice en Allemagne, demandant que même ceux auxquels est infligée une peine avec sursis puissent être renvoyés.
Pour faire pression sur l’Union européenne, le Maroc a mis en stand-by son agenda de réunions avec les institutions de Bruxelles pour les pousser à obtenir rapidement la révision de la décision de la Cour de justice de l’Union européenne annulant l’accord agricole et de pêche. La tension monte…
Il y a vingt ans, disparaissait l’ancien président français François Mitterrand. Pour l’occasion, Jeune Afrique a sorti de ses archives l’article paru juste après sa mort, le 8 janvier 1996.
Canadienne née en Haïti, la nouvelle secrétaire générale de l’OIF a officiellement pris ses fonctions il y a un an. Est-elle parvenue à relancer l’institution de l’avenue Bosquet, à Paris ? Premier bilan.
Plusieurs pays africains se sont alignés sur la décision de l’Arabie saoudite de rompre ses relations diplomatiques avec l’Iran, le 3 janvier. De quel côté penche votre pays ? Le point avec une carte interactive.
Dans un rapport rendu public mardi, l’ONU envisage de réduire à nouveau les effectifs de la force des Nations unies en République Démocratique du Congo (Monusco). Une proposition qui sera examinée la semaine prochaine par le Conseil de sécurité.
Le ton ne cesse de monter entre l’Iran et l’Arabie saoudite. Ali Vaez, analyste senior sur l’Iran à l’International crisis group (ICG) explique, dans cette interview, les répercussions de ce conflit.
Le monde musulman commence la nouvelle année sur fond d’escalade entre l’Iran et l’Arabie saoudite après l’exécution le 2 janvier à Riyad du chef religieux chiite Nimr al-Nimr, figure emblématique de la contestation contre le régime saoudien. L’onde de choc a gagné la presse maghrébine qui n’a pas tardé à réagir. Revue de presse.
Omar el-Béchir, président du Soudan, a annoncé lundi que son pays rompait ses relations diplomatiques avec l’Iran. Une décision similaire à celles prises quelques heures plus tôt par les autorités de l’Arabie Saoudite et de Bahreïn.
Les tensions sont à nouveau montées d’un cran entre les deux grandes puissances rivales. Le ministre saoudien des Affaires étrangères Adel al-Jubeir a en effet annoncé dimanche 3 janvier la rupture des relations diplomatiques de l’Arabie saoudite avec l’Iran.