L’urgence sécuritaire, l’amicale médiation de certains socialistes et la collaboration de deux ministres de la Justice que tout oppose auront permis à Rabat et Paris de se réconcilier après un an de brouille diplomatique. Ouf…
Le séjour dans un grand hôtel parisien de la délégation qui accompagnait le Premier ministre Abdelmalek Sellal lors de sa dernière visite à Paris (4-5 décembre 2014) a coûté pas moins de 70 000 euros.
Le Premier ministre éthiopien Hailemariam Desalegn était à Djibouti du 6 au 9 février. Cette première visite d’État d’un chef de gouvernement éthiopien en terre djiboutienne avait pour but de resserrer les liens économiques entre les deux pays.
Ostracisé par les Occidentaux, le président zimbabwéen, Robert Mugabe, revient sur le devant de la scène. Déjà à la tête de la SADC depuis août 2014, il vient d’être élu président de l’Union africaine.
À la suite de l’interview d’Ismaïl Omar Guelleh dans « Jeune Afrique » paru cette semaine, le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian a décidé d’aller rendre visite dès avril au président de Djibouti, « en fonction des disponibilités » de ce dernier.
Mohammed VI sera reçu par le président français François Hollande ce lundi, au terme d’un an de crise diplomatique entre Paris et Rabat. Le roi du Maroc est attendu à 17h00 au palais de l’Élysée.
Le diplomate chinois Kuang Weiling a été nommé jeudi chef de sa mission permanente auprès de l’Union africaine (UA). Il prendra ses fonctions durant la deuxième moitié de février, selon Pékin.
Après avoir convaincu ses pairs d’élaborer une stratégie commune en matière de lutte antiterroriste et les avoir sensibilisés à la question du climat, le président français espère doper le business avec le continent. Ce sera l’enjeu du forum franco-africain, qui se tient à Paris ce vendredi 6 février.
Terrorisme dans les pays voisins, relations avec les États-Unis, liberté de la presse… Emmanuel Issoze-Ngondet, le ministre des Affaires étrangères du Gabon, livre à Jeune Afrique son analyse des dossiers chauds du moment. Et défend le bilan du président Ali Bongo Ondimba, au pouvoir depuis 5 ans.
Après une visite en 2011 en tant que Premier ministre, puis en 2013 et en 2014 en tant que fondateur de Nidaa Tounès, c’est désormais en tant que président de la Tunisie que Béji Caïd Essebsi a été reçu à Alger, les 4 et 5 février.
Cela fait maintenant près de dix jours qu’Armel Sayo, ministre de la Jeunesse et des Sports, est détenu par des membres d’une milice anti-balaka. Les négociations pour obtenir sa libération bloquent toujours. Explications.
L’Union européenne (UE) a annoncé mardi que le président du Zimbabwe, Robert Mugabe, sera autorisé à se rendre dans l’UE malgré les sanctions qui le lui interdisent, à condition cependant qu’il voyage pour représenter l’Union africaine dont il vient de prendre la présidence tournante pour un an.
Unis par l’Histoire mais séparés par l’idéologie, Rabat et Le Caire ont toujours su éviter le pire. Comme l’atteste le réchauffement en cours après une guerre médiatique larvée.
Les chef d’État du continent se sont réunis les 26 et 27 juin à Malabo en Guinée équatoriale. Voici quelques indiscrétions rapportées par nos journalistes sur place.
Le Maroc et la France ont décidé samedi de « tourner la page » de près d’un an de brouille diplomatique, en rétablissant leur coopération judiciaire et antijihadiste, un réchauffement que le président François Hollande et le roi Mohammed VI pourraient concrétiser par une rencontre à Paris.
L’armée de la République démocratique du Congo (RDC) a « engagé » une offensive contre les rebelles hutu rwandais des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR), qui sévissent depuis 20 ans dans l’est du pays, a assuré samedi le ministre congolais des Affaires étrangères.
Le ministre marocain des Affaires étrangères, Salaheddine Mezouar, a appelé samedi à tourner la page de la crise diplomatique entre son pays et la France, confirmant un plein rétablissement de la lutte antiterroriste commune.
Parce qu’un sommet de chefs d’État se déroule aussi en coulisses, voici quelques informations glanées dans les couloirs du siège de l’Union africaine et dans les grands hôtels d’Addis-Abeba.
Le 24e sommet des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africain (UA) s’est ouvert ce vendredi matin à Addis-Abeba. Un de ses objectifs annoncé est la concrétisation d’une force multinationale contre Boko Haram.
Le président zimbabwéen Robert Mugabe, 90 ans, a été désigné vendredi par ses pairs pour prendre la présidence tournante de l’Union africaine, lors du 24e sommet de l’organisation panafricaine à Addis-Abeba.
Les négociations interlibyennes, qui se déroulent actuellement à Genève, pourraient se délocaliser en Libye, du moins si les conditions de sécurité y sont « suffisantes », a indiqué jeudi l’ONU.
Ils sont restés chez eux, trop occupés par leurs affaires internes. Plusieurs poids lourds du continent ne seront pas sur la photo de famille du 24e sommet des chefs d’État et de gouvernement de l’Union africaine, qui s’ouvre vendredi matin à Addis-Abeba.
Le président congolais rejette les conclusions des négociations qu’il avait lui-même initiées au Kenya. Il en a officiellement informé le président Kenyatta dans un courrier dont « Jeune Afrique » a obtenu copie.
Présent à Addis-Abeba pour le Sommet de l’Union africaine, le ministre algérien des Affaires étrangères et médiateur en chef des négociations de paix au Mali, Ramtane Lamamra, se dit confiant dans un réglement prochain de la crise malienne. Interview.
La médiation kényane a annoncé mercredi la signature à Nairobi d’un accord sur le cessez-le-feu et l’arrêt des hostilités en Centrafrique entre les ex-Séléka et les anti-balaka. Un texte immédiatement rejeté par Bangui. Mais quel en est le contenu ?
Le conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine s’est fermement engagé jeudi soir en faveur de la création d’une force multinationale contre Boko Haram. Les dirigeants africains plaident aussi pour le vote d’une résolution à l’ONU et la mise en place d’un fonds dédié.
Réunis ce mercredi à Addis-Abeba à l’occasion du sommet de l’UA, les pays membres du groupe international de contact sur la Libye se sont prononcés en faveur d’une solution politique au détriment d’une intervention militaire.
Les relations entre la présidente de la transition centrafricaine Catherine Samba-Panza et le président congolais Denis Sassou Nguesso (DSN), médiateur officiel pour la Centrafrique, sont aujourd’hui glaciales. État des lieux.