À l’occasion de sa visite officielle à Paris, Denis Sassou Nguesso a établi de meilleures relations avec François Hollande. Au centre de leurs discussions, la sécurité du continent africain.
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad était attendu dimanche 14 avril au Bénin, première étape d’une courte tournée africaine qui doit le conduire ensuite au Ghana et au Niger, quatrième producteur mondial d’uranium.
Le président iranien Mahmoud Ahmadinejad entame dimanche une mini-tournée africaine qui doit le conduire au Bénin, au Ghana et au Niger, l’un des grands producteurs mondiaux d’uranium, a annoncé samedi l’agence iranienne Fars.
Le président soudanais Omar el-Béchir est arrivé à Juba, vendredi 12 avril. Les enjeux de cette visite, la première depuis l’indépendance du Soudan du Sud en juillet 2011, sont autant politiques qu’économiques.
Le chef de l’État ivoirien, Alassane Ouattara, rencontrera son homologue français, ce jeudi 11 avril, à 16 heures, à l’Élysée, à Paris. C’est sa troisième rencontre parisienne avec François Hollande, depuis le début de l’année.
Son deuxième mandat, qu’il achèvera en 2015, devrait être le dernier, selon la Constitution. Pourtant, le chef de l’État burundais, Pierre Nkurunziza, n’exclut pas de se lancer à nouveau dans la course.
Le président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, a consacré sa première journée de rencontres avec les dirigeants français, le 8 avril, à deux thématiques principales : les questions de sécurité sur le continent et les relations bilatérales.
La Russie, les sommets des Brics, l’Afrique : les étapes de la première tournée à l’étranger du nouveau président chinois Xi Jinping donnent une idée assez précise de ses priorités.
Face à la menace d’une reprise de la rébellion de Timan Erdimi au Tchad, le président Idriss Déby Itno a tenu à s’assurer de la solidité de l’alliance avec son voisin du Soudan, Omar el-Béchir.
Selon une source proche de la présidence béninoise, l’ambassadeur de France au Bénin, Jean-Paul Monchau, doit être rapidement remplacé par Aline Kuster-Ménager.
Le président français a achevé jeudi 4 avril au soir sa visite officielle au Maroc, perturbée par le retentissant scandale de l’affaire Cahuzac. Mais du côté des relations franco-marocaines, rien de bien nouveau sous le soleil. D’ailleurs… il pleuvait !
Le président français François Hollande a débuté, dans l’après-midi du mercredi 3 avril, une visite d’État au Maroc destinée à conforter les bonnes relations entre les deux pays. Un voyage diplomatique largement eclipsé, cependant, par la mise en examen de l’ex-ministre français du Budget Jérôme Cahuzac.
Le président congolais entame aujourd’hui, lundi 8 avril, ses rencontres à haut niveau, dans le contexte tendu des poursuites sur les « biens mal acquis ».
Si la droite française a son « réseau marocain », le président François Hollande ne manque pas non plus de relais et de canaux dans son entourage. En voici les principales personnalités.
L’Assemblée générale de l’ONU a adopté, mardi 2 avril, le premier traité sur le commerce international des armes conventionnelles. En discussion depuis sept ans, il s’agit du premier texte international majeur sur le désarmement depuis l’adoption du traité sur l’interdiction des essais nucléaires en 1996.
Après sa visite « historique » en Algérie fin 2012, François Hollande est attendu dans le royaume chérifien les 3 et 4 avril. L’occasion de dissiper certains malentendus. Mais aussi de marquer un rapprochement avec Mohammed VI, qu’il connaît mal.
Lors de son déplacement à Alger, lundi 1er avril, le ministre guinéen des Affaires étrangères, Lonsény Fall, a fait savoir que les autorités guinéennes souhaitaient recourir à un « facilitateur » pour parvenir rapidement à un accord avec l’opposition. De ce dernier dépend la tenue du scrutin législatif, repoussé depuis 2011.
Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Mohammed Kamel Amr, est pour la première fois en visite bilatérale à Paris, mardi 2 avril. L’occasion de resserer les liens avec la France, après des désaccords sur la crise malienne.
Le général rebelle Arda Hakouma, qui a mené la conquête de Bangui, a déclaré jeudi 28 mars à l’AFP que ses troupes avaient tué 35 militaires sud-africains, alors que le bilan officiel annoncé par le président Jacob Zuma est de 13 morts.
Diplomate expérimenté, le ministre marocain délégué aux Affaires étrangères joue un rôle de premier plan dans les dossiers de l’heure, notamment la guerre au Mali.
L’ambassadeur de France à Bamako, Christian Rouyer, a été remplacé par Gilles Huberson, au profil plus « militaire » que son prédécesseur. Dans le même temps, Jean Félix-Paganon remplaçait à Dakar Nicolas Normand. Et le poste de représentant spécial de la France pour le Sahel échoyait quant à lui à Reveyrand de Menthon.
L’actuelle tournée africaine du nouveau président chinois, Xi Jinping, illustre l’intérêt croissant de Pékin pour les pays du continent. Avant lui, ses prédécesseurs, Jiang Zemin puis, surtout, Hu Jintao, se sont rendus à maintes reprises dans de nombreux États du continent.
Les autorités de Pretoria sont sous le feu des critiques après la mort d’au moins 13 soldats sud-africains, le 23 mars lors de la prise de Bangui. Le président, Jacob Zuma, a déclaré, lundi 25 mars, qu’ils avaient « combattu des bandits animés de mauvaises intentions ».
À N’Djamena mi-février, la Communauté des États sahélo-sahariens a tourné la page Kadhafi. Avec un traité refondateur et un nouveau leadership, que le président tchadien semble tout disposé à assumer.