Pour que le système marocain et ses institutions soient effectivement réorganisés, des dizaines de textes devront être élaborés et approuvés d’ici à 2016.
Lors de leur première rencontre, le 26 juillet, à Paris, le président ivoirien et son homologue français ont notamment évoqué le prochain sommet de la Francophonie, la situation au Mali, ainsi que celle des droits en de l’homme en Côté d’Ivoire.
Adoptée le 1er juillet 2011, la nouvelle loi fondamentale promettait de changer en profondeur l’équilibre politique marocain. Il y a eu les législatives anticipées en novembre, la nomination du gouvernement d’Abdelilah Benkirane en janvier. Mais la plupart des textes organiques prévus n’ont pas encore été soumis au Parlement. Ils seront déterminants.
Entre 2005 et 2009 une quarantaine de femmes auraient été stérilisées contre leur gré dans les hôpitaux publics de Namibie. Déjà 16 femmes séropositives ont porté plainte. Le premier procès de trois d’entre elles a reconnu la responsabilité des autorités.
Les Bédouins de la région se sont convertis à un business fort lucratif. Kidnapper des réfugiés subsahariens pour rançonner leurs familles ou vendre leurs organes au marché noir.
Cinq jeunes femmes sont jugées depuis le 23 juillet à Moscou. Leur crime ? Le 21 février, elles se sont introduites sans bruit dans la cathédrale du Christ-Sauveur de Moscou, avant d’enfiler des cagoules et d’entonner une chanson contre Vladimir Poutine. Ce coup d’éclat du groupe Pussy Riot n’a duré qu’une minute, mais n’a pas fini de faire des vagues.
La ministre française de la Francophonie, Mme Yamina Benguigui, s’est dite persuadée samedi, après une visite de quatre jours à Kinshasa, que le sommet de la francophonie qui se tiendra dans cette ville mi-octobre ne « sera pas un tribunal ».
Où se trouve le Premier ministre éthiopien, Mélès Zenawi, et de quel mal souffre-t-il ? Alors que les spéculations sur son état de santé vont bon train, la question de sa succession reste sensible.
Au moins sept jeunes opposants ont été interpellés par la police samedi matin en marge d’une tentative de manifestation dans le centre de la capitale angolaise Luanda, a constaté une journaliste de l’AFP.
Human Rights Watch (HRW) a appelé samedi les autorités libyennes à prendre les mesures nécessaires pour prendre sous leurs responsabilités les milliers de personnes encore détenues par des milices.
Pour le réalisateur belge Thierry Michel, auteur de « L’Affaire Chebeya, un crime d’État », le témoignage du policier congolais Paul Mwilambwe qu’il a rendu public mardi 10 juillet peut contribuer à faire éclater la vérité sur le meurtre du directeur de l’ONG La voix des sans voix. Pour Jeune Afrique, il revient sur les conditions de son expulsion de RDC, le 8 juillet, et sur sa rencontre avec Mwilanbwe.
Refoulé dimanche à son arrivée à l’aéroport de Kinshasa par les autorités congolaises, le réalisateur belge Thierry Michel, auteur du film « L’Affaire Chebeya », a rendu public, mardi 10 juillet, le témoignage d’un policier affirmant avoir assisté à l’assassinat du directeur de l’ONG La voix des sans voix. Un témoignage qui pourrait relancer le procès en appel qui doit rependre le 17 juillet.
Les négociations à l’ONU concernant un traité réglementant le commerce des armes ont fait long feu. Avant même d’avoir débuté, elles ont été bloquées par le dossier palestinien. L’Égypte, peu favorable au futur traité, réclamait la participation de la Palestine aux négociations, et Israël a menacé de quitter l’assemblée.
Particulièrement virulent à l’égard des autorités tunisiennes, Me Marcel Ceccaldi, l’avocat français de l’ex-Premier ministre libyen Baghdadi Mahmoudi, a estimé lundi 26 juin que l’extradition de son client vers la Libye est illégale.
Huit policiers congolais accusés de l’assassinat en 2010 du militant des droits de l’homme Floribert Chebeya et de son chauffeur, Fidèle Bazana, sont jugés en appel depuis mardi 19 juin devant la Haute cour militaire à Kinshasa. La partie civile continue de réclamer que le principal suspect, le général John Numbi, soit traduit en justice.
Il pourrait s’agir de la plus grande avancée dans le droit international depuis la création de la Cour Pénale Internationale en 2002. En juillet, les États membres des Nations unies vont se réunir à New York pour tenter d’adopter un traité réglementant le commerce des armes. Mais les points de discorde restent nombreux.
Expulsions massives, violences sexuelles… Human Rights Watch s’inquiète de la brutalité des méthodes utilisées par l’Angola contre les immigrés clandestins congolais.
Des groupes salafistes menacent les libertés en Tunisie, a estimé vendredi le président d’honneur de la Ligue tunisienne de la défense des droits de l’homme (Ltdh) l’avocat Mokhtar Trifi.
Amnesty International a rendu public, jeudi 24 mai, son rapport annuel sur l’état des droits de l’homme dans le monde. En ce qui concerne le continent africain, l’année 2011 a été incontestablement celle des pays du Maghreb, où le vent du Printemps arabe poursuit sa course.
La société d’ingénierie française Amesys est visée par une information judiciaire, lancée par le parquet de Paris, pour complicité d’actes de torture en Libye. Une décision qui fait suite à la plainte déposée en octobre 2011 par la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH) et la Ligue des droits de l’homme (LDH). Les deux organisations accusent la firme d’avoir fourni au régime de Kadhafi un système de surveillance des communications destiné à surveiller la population libyenne.
Condamné à un an de prison pour outrage à la police, le rappeur contestataire Mouad Lhaqed est en train de devenir une icône de la liberté d’expression. À son corps défendant.
Le Mali est « confronté à la plus grave crise depuis son indépendance en 1960 » estime Amnesty International dans un rapport publié mardi 15 mai. L’ONG y dénonce les « violations des droits de de l’Homme » commises par « toutes les parties » depuis le début de la crise.
L’opinion publique ne leur est pas favorable, les juges non plus ! Au Cameroun, les gays sont des boucs émissaires que l’on menace, frappe et emprisonne. Sans que personne y trouve à redire.
Un groupe se réclamant des activistes informatiques d’Anonymous a publié dimanche quelque 2 700 mails échangés entre les principaux responsables islamistes tunisiens, dont ceux du Premier ministre Hamadi Jebali.