Une association de Camerounais vivant en France vient de porter plainte contre le président camerounais Paul Biya. Mais l’ouverture d’une procédure judiciaire paraît bien incertaine.
La plainte qui avait été établie contre l’État congolais par la famille vivant en RDC d’Armand Tungulu a été retirée à la demande de la famille vivant en Belgique, dont la veuve de l’opposant et ses enfants.
Les Organisations de défense des droits de l’homme (ODDH) togolaises sont en colère. Leur marche pacifique pour dénoncer les nombreuses violations des droits humains au Togo a été violemment réprimée par les forces de l’ordre.
La secrétaire d’État aux Sports est revenue sur le discours de Dakar, dans lequel Nicolas Sarkozy avait affirmé que « l’homme africain n’était pas entré dans l’histoire ». Selon elle c’est tout le contraire.
Selon RFI, des membres de la famille d’Armand Tungulu auraient déposé une plainte à Kinshasa contre l’État congolais. À Bruxelles, les proches de l’opposant mort en détention au début du mois démentent cette information et accusent les autorités congolaises de chercher à « brouiller les pistes ».
À l’issue des travaux du XIIIe sommet de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF), à Montreux (Suisse), du 22 au 24 octobre, la capitale congolaise a été désignée pour accueillir la prochaine grand-messe dans deux ans.
Des opposants au président congolais Joseph Kabila se sont heurtés à la police samedi à Bruxelles alors qu’ils manifestaient pour protester contre la mort en prison de l’opposant congolais Armand Tungulu, selon l’agence Belga.
Les députés de la République démocratique du Congo (RDC) devaient se prononcer vendredi 22 octobre sur un texte qui criminalise l’homosexualité et toute activité associative concernant les gays et les lesbiennes.
À 75 ans, l’ancien chef de l’État sénégalais briguera lors du sommet de Montreux (du 22 au 24 octobre) un troisième mandat à la tête de l’OIF. Retour sur un parcours commencé à l’aube des années 1960.
L’ONG basée à Paris Reporters sans Frontières a publié le 20 octobre son rapport 2010 sur la liberté de la presse dans le monde. Portant sur 178 pays, cette neuvième livraison conforte les pays du nord de l’Europe, consacre quelques belles progressions comme le Mali, mais fustige aussi quelques États comme le Rwanda ou la Tunisie. Et la France.
Condamné en 2008 à 12 ans de prison pour « atteinte à la sécurité de l’État », le colonel franco-marocain Kaddour Tehrzaz a effectué une demande de grâce auprès du roi Mohammed VI. Celle-ci n’ayant pas abouti, la défense demande désormais au président français Nicolas Sarkozy de se saisir du dossier.
Privés de moyens et d’assise populaire, intégrés à la mouvance présidentielle ou marginalisés, les partis politiques – toutes tendances confondues – ne semblent guère en mesure d’inquiéter le tout-puissant RCD, qui appelle déjà le chef de l’État à briguer un sixième mandat en 2014. Ce qui pourrait étendre la durée au pouvoir de Zine el-Abidine Ben Ali à 32 ans.
Dans une lettre ouverte adressée au Conseil de sécurité de l’ONU, la plateforme de l’opposition rwandaise demande l’intervention de l’organisation internationale auprès du président Paul Kagamé pour la libération de personnalités politiques, dont celle de Victoire Ingabire.
Plusieurs associations regroupées au sein du Gravdesc, une organisation de la société civile togolaise appelle les populations à une journée « Togo Mort » ce 15 octobre, pour protester contre la vie chère et la hausse vertigineuse des prix de première nécessité.
Retour à la case prison pour Victoire Ingabire, toujours poursuivie pour « propagation de l’idéologie du génocide », « négationnisme » et « divisionnisme ». Des accusations que ses partisans jugent infondées.
Armand Tungulu Mudiandambu, mort dans des circonstances mystérieuses en détention début octobre, après avoir caillassé le véhicule du président congolais Joseph Kabila, faisait partie de l’opposition congolaise en Belgique.
Avec lui, pas de propos de va-t-en guerre, le ton est calme et mesuré. Pour la troisième fois candidat à l’élection présidentielle ivoirienne, Francis Vangah Wodié a exposé à jeuneafrique.com ses chances de succès et sa vision de la campagne électorale. Rencontre.
Le sort du prix Unesco-Obiang Nguema, du nom du président équato-guinéen, doit être fixé cette semaine. Les États-Unis proposent l’abrogation de cette distinction, mais les représentants africains la soutiennent.
Le président des États-Unis décrète des sanctions individuelles contre huit dignitaires de la République islamique d’Iran accusés de violations des droits de l’homme.
La Cour pénale internationale (CPI) a ordonné vendredi en appel la reprise du procès pour crimes de guerre de l’ex-chef de milice de République démocratique du Congo (RDC) Thomas Lubanga, suspendu depuis le 8 juillet. Les magistrats de la CPI avaient alors ordonné sa libération arguant que « l’équité des procédures à l’encontre de l’accusé n’était plus garantie ».
Pour ses partisans, cet homme usé par trois décennies de lutte au cours desquelles il fut plus d’une fois emprisonné, banni, condamné et torturé, est une sorte de mythe, celui qui avec une rare obstination s’est opposé à trois régimes successifs. Pour ses adversaires, c’est une relique du passé que son intransigeance a fini par marginaliser. Pour conforter les uns et démentir les autres, Étienne Tshisekedi, 78 ans, a décidé de se porter candidat à l’élection présidentielle de 2011.
D’après le classement 2010 de la fondation Mo Ibrahim, de nombreux pays africains connaissent des « avancées » en matière de développement économique et humain. Mais dans certains pays, l’État de droit recule.
Le Congolais, Armand Tungulu qui avait jeté une pierre sur le convoi du président Joseph Kabila, a été retrouvé mort samedi. Le cabinet du procureur général évoque un suicide, ce qui ne convainc pas les organisations de défense des droits de l’homme.
Les Nations unies publient une nouvelle version de leur rapport sur les crimes en RD Congo commis entre 1993 et 2003. Le Rwanda et l’Ouganda, mis en cause, en rejettent les conclusions.
L’ONU publie le 1er octobre, son rapport sur les crimes en RD Congo de 1993 à 2003. En prenant de nombreuses précautions dans l’emploi du mot « génocide » pour qualifier les crimes imputés à l’armée rwandaise.
Un an après le massacre du stade de Conakry, les responsables présumés n’ont toujours pas été inquiétés. En attendant, les deux candidats à la présidentielle guinéenne promettent la constitution d’une Commission Vérité et Réconciliation.