Un célèbre blogueur irano-canadien, emprisonné depuis 2008 en Iran sous diverses accusations, est menacé de mort, ont affirmé jeudi deux associations canadiennes de défense de la liberté d’expression.
Un rapport préliminaire des Nations unies sur les violences au RD Congo fait état d’au moins 303 viols commis dans 13 villages du territoire de Walikale au Nord-Kivu en 4 jours.
L’arrestation de Mustapha Salma Ould Sidi Mouloud par les milices du Front Polisario, le 21 septembre au soir, a suscité de vives réactions dans le monde des ONG. Ce qui n’est pas sans déplaire à Rabat…
Dans une interview au journal Tribune d’Afrique, le président de l’Assemblée nationale du Togo, Abass Bonfoh, a tenu des propos qui ont provoqué la colère des militants des droits de l’homme. Ils exigent sa démission.
Le rapport rendu mercredi 22 septembre par les experts de la Commission des droits de l’homme de l’ONU réclame que les auteurs des exactions commises lors du raid meurtrier contre la flottille humanitaire en mai dernier soient traduits en justice. Israël qualifie ce travail de « partial et partisan ».
L’inspecteur général de la sûreté du Front Polisario a été arrêté dans la nuit de mardi à mercredi alors qu’il se rendait dans les camps de Tindouf, selon l’agence de presse marocaine Amap.
Tortures, sévices ou viols. Dans un rapport publié mi-septembre, l’organisation de défense des droits de l’homme dénonce le comportement des forces de sécurité.
Ancien chef de la diplomatie et actuel ministre de l’Éducation, Charles Murigande répond au rapport de l’ONU accusant son pays d’exactions en RD Congo.
Premier acte de ce qu’on pourrait appeler les (més)aventures de Sidi Mouloud, dont on ne sait s’il sortira victorieux du bras de fer qui l’oppose aux autorités du Polisario. Ces dernières ont menacé de l’arrêter s’il tentait de rentrer à Tindouf, ce qui ne semble pas refroidir ses ardeurs.
En retournant à Tindouf pour défendre la solution marocaine d’autonomie pour le Sahara occidental, l’inspecteur général de la sûreté du Front Polisario ne manque pas de courage. Pourtant, il se défend d’être un « rallié ». Retour sur le parcours d’un homme dont la position actuelle est aussi inconfortable que téméraire.
Trois mois après la mort de Floribert Chebeya, l’ONG dont il était président dénonce les lenteurs de la justice et demande l’ouverture d’une commission d’enquête internationale indépendante.
Sept membres de la confrérie islamiste Al Adl wal Ihsane, arrêtés en juin dans le cadre d’une sombre histoire d’enlèvement, viennent de porter plainte pour torture contre la police.
C’est désormais officiel : le Rwanda a préparé un plan de retrait de ses troupes stationnées au Soudan si le rapport de l’ONU suspectant ses soldats de « génocide » en RD Congo entre 1997 et 1998 venait à être publié. Pour les ONG qui luttent contre l’impunité, en revanche, les coupables présumés de massacres doivent être traduits en justice.
La demande est directe. Lundi 30 août à Rome, Mouammar Kadhafi a sollicité de l’Union européenne une participation annuelle de cinq milliards d’euros pour contenir l’immigration clandestine. Une requête qui a peu de chance d’être entendue étant donné la situation des droits de l’homme en Libye.
La réponse du gouvernement rwandais ne s’est pas fait attendre. Suite aux fuites parues dans la presse concernant un rapport de l’ONU qui suspecte ouvertement Kigali de « génocide » en RD Congo, le Rwanda menace de se retirer « des divers engagements pris avec les Nations unies » et se défend en dénonçant un document qui pourrait « amener l’instabilité dans la région des grands Lacs ».
Le Conseil de sécurité de l’ONU s’indigne et condamne les violences contre les femmes en RD Congo. Une attitude ferme et peu fréquente qui coincide avec les fuites concernant la publication par l’organisation d’un rapport mettant en cause le Rwanda pour des crimes qui, s’ils étaient prouvés, pourraient être qualifiés de « génocide ».
Après les sorties de l’Union pour un mouvement populaire (UMP) sur la composition d’un comité d’experts onusiens qui a vivement critiqué la discrimination raciale en France, la presse algérienne fustige un « climat détestable » et une droite « en cours de lepénisation » en France.
Les violences perpétrées par les groupes armés à travers la RD Congo entre 1993 et 2003 ont été minutieusement recensées par le Haut-Commissariat aux droits de l’homme de l’ONU, dans un rapport destiné à servir de base à l’élaboration d’un tribunal spécial.
Un comité de l’ONU critique vertement la France pour sa politique de répression à l’encontre des minorités et pour les récentes déclarations du président Nicolas Sarkozy sur sa volonté de déchoir de leur nationalité certains « Français d’origine étrangère ». En France, la polémique enfle.
La commissaire aux droits de l’homme en Sierra Leone veut que les diamants reçus par Naomi Campbell lors d’un dîner auquel assistait Charles Taylor servent à financer l’aide aux victimes de la guerre civile, qu’il est accusé d’avoir soutenue en échangeant des armes contre des diamants.
Pour le cinquantième anniversaire des indépendances, Barack Obama a reçu à la Maison Blanche cent quinze jeunes leaders africains. Une manière de signifier que, pour faire avancer le continent, il compte avant tout sur la société civile.
Ramadan, sexe et terrorisme… Le mélange de ces ingrédients aussi étonnant que détonant a amené le gouvernement indonésien à censurer toute pornographie sur Internet. Pendant le mois de jeûne.
S’exprimant lors d’un forum organisé à la Maison Blanche avec des représentants de la jeunesse africaine, Barack Obama a renouvelé son message du discours d’Accra. Et critiqué assez durement la génération des indépendances.
L’ONG de défense de la liberté de la presse et des droits des journalistes réagit de manière virulente à la récente décision de Kigali d’interdire une trentaine de médias. À quelques jours de la présidentielle du 9 août, à laquelle le président Paul Kagamé est pourtant le grandissime favori.