Homme et femme d’affaires à succès, ou ingénieur hydraulique aux commandes du barrage d’Inga… Rencontre avec ces Congolais qui construisent leur pays de demain.
Homme et femme d’affaires à succès, ou ingénieur hydraulique aux commandes du barrage d’Inga… rencontre avec ces congolais d’aujourd’hui qui construisent leur pays de demain.
La cinquième édition de ce rendez-vous incontournable du secteur privé africain aura lieu à Genève, en mars 2017. Environ 1 000 décideurs y sont attendus.
Si l’Accord de partenariat économique (APE) avec les pays de la Communauté économique des États d’Afrique de l’Ouest (Cedeao) n’est pas ratifié avant le 1er octobre 2016, la Côte d’Ivoire et le Ghana perdront les préférences douanières dont ils bénéficient, selon une décision de la Commission européenne, consultée par « Jeune Afrique ». Seule alternative : signer à temps les APE ou rétablir, en ordre dispersé, les accords bilatéraux antérieurs.
C’est l’affaire des « tuna bonds » (obligations thonières), autour de la société Ematum, créée en août 2013 par les autorités, qui a mis le feu aux poudres.
Depuis la prise des sanctions de l’Union européenne contre le Burundi, Bujumbura est confrontée à un manque criant de devises. Une situation qui commence à se faire ressentir sur le marché des biens et services.
Dans le cadre de la loi de finances pour 2017, qui sera présentée au Parlement entre octobre et novembre, le gouvernement algérien envisage d’instaurer de nouvelles hausses sur le prix des carburants, de l’eau, du gaz et de l’électricité.
Objets connectés, drones, robotique, e-santé, impression 3D, e-commerce, cloud computing… dix start-up africaines seront du voyage pour le prochain CES de Las Vegas, le rendez-vous mondiale des nouvelles technologies. Une sélection est ouverte jusqu’au 31 août.
Selon Kemi Adeosun, ministre des Finances du Nigeria, la situation économique du pays devrait être de courte durée. Un rebond est attendu avant la fin de l’année.
Si la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (Cnuced) juge que le niveau d’endettement des pays africains reste encore « soutenable », l’institution les presse de trouver d’autres sources de financement (transferts des migrants, partenariats publics-privés, lutte contre les flux financiers illicites) pour éviter une répétition des crises de la dette des décennies 80 et 90.
Les « incertitudes » qui planent sur l’économie mondiale depuis le Brexit ont conduit la Banque centrale de Maurice à baisser son taux directeur. Fixé à 4,4% depuis plusieurs années, le Repo Rate est passé à 4%, a annoncé Bank Of Mauritius mercredi.
On croyait que le gouvernement mauritanien avait compris qu’il lui fallait développer d’urgence l’entreprise privée, qu’elle soit nationale ou à capitaux étrangers.
Dans un communiqué au ton surprenant, la Primature dénonce une « mafia financière connectée à la Banque centrale » au sein de la Biac, la troisième banque du pays, actuellement sous administration provisoire. La Banque centrale dément et s’offusque.
C’est ce que met en avant un rapport de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement consacré aux fausses factures dans l’import-export de matières premières, rendu public samedi. Les cas du cacao en Côte d’Ivoire ou des hydrocarbures au Nigeria sont notamment passés au crible.
Dans une nouvelle mise à jour de son rapport « Perspectives de l’économie mondiale », le Fonds monétaire international a drastiquement réduit sa prévision de croissance en Afrique subsaharienne ramenée à +1,6 % contre un taux de +3 % évoqué en avril.
Le gouvernement ghanéen a ramené à +4,1 % sa prévision du taux de croissance du PIB du pays cette année, contre un taux de +5,4 % annoncé auparavant. Un taux de croissance encore plus bas (+3,2 %) avait été évoqué début juillet.
Exportations, aide publique au développement, transferts de revenus… Dans un rapport publié mi-juillet, le think tank britannique Overseas Development Institute (ODI) tâche de jauger les répercussions du Brexit sur les pays en développement, notamment africains. Facture estimative due à la chute de la livre sterling et au ralentissement de l’économie outre-Manche : 3,8 milliards de dollars. Explications.
Le Conseil de la nation a approuvé dimanche le nouveau Code de l’investissement, validé en juin dernier par les députés. Le nouveau texte affecte notamment les dispositifs relatifs à la promotion de l’investissement mais n’élimine pas du droit algérien la clause 49 %-51 %, qui exige une participation locale majoritaire dans les principaux projets d’investissement.
Les entreprises ivoiriennes ont surclassé leurs consœurs marocaines en devenant le premier investisseur dans le pays au premier semestre 2016, avec 31 % des investissements contre 15 % pour les opérateurs du royaume chérifien.
Les réserves de change de l’Algérie devraient chuter à 116 milliards de dollars fin 2016, a estimé le Premier ministre Abdelamalek Sellal. La loi de finances prévoyait un niveau de 121 milliards de dollars à la fin de cette année.
Pour nombre d’observateurs, c’est avant tout une question politique. Pour se libérer de ses créanciers, l’État doit relâcher sa tutelle sur l’économie. Comprendre : privatiser.
Secrétaire exécutif de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique depuis 2012, Carlos Lopes a accordé un entretien à Jeune Afrique en marge du Conseil exécutif du 27e sommet de l’Union africaine (UA), réuni à Kigali les 13 et 14 juillet.
Theresa May est la deuxième femme après Margaret Thatcher à accéder à la plus haute fonction politique du Royaume-Uni. Quels sont ses rapports avec les États africains ? Éléments de réponse avec The Africa Report.
Dans son rapport national sur l’emploi en Tunisie, l’Institut arabe des chefs d’entreprises (IACE) fait un état des lieux du marché du travail, avec ses perspectives et ses failles. Quels secteurs recrutent le plus ? Pourquoi les délais de recrutement sont-ils si longs ? Réponses en quelques chiffres.
Dans un contexte marqué par un recul de la valeur ajoutée du secteur agricole, le PIB du Maroc ne devrait croître que de +1,5 % cette année, contre 4,5 % en 2015. Selon les estimations du Haut-Commissariat au Plan, une reprise est attendue en 2017, avec une croissance anticipée à 3,5 %.
Le gouvernement angolais a abaissé ses prévisions de croissance pour l’année 2016 à 1,3 %, contre 3 % annoncés auparavant. Le budget a été réduit de 6 milliards de dollars.