L’agence de notation financière Fitch Ratings a passé en revue la situation économique, monétaire et budgétaire des pays subsahariens le 08 décembre au cours d’une rencontre organisée à Paris. Retour sur la situation des deux géants anglophones du continent : le Nigeria et l’Afrique du Sud, dans une conjoncture marquée par la chute des matières premières.
Fitch Ratings a passé en revue la situation économique, monétaire et budgétaire des pays subsahariens au cours d’une rencontre organisée à Paris, le 08 décembre. Les analystes de l’agence de notation ont offert un diagnostic assez contrasté de quatre poids lourds de l’Afrique subsaharienne francophone : le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Gabon et le Congo-Brazzaville.
L’agence américaine Standard & Poor’s (S&P) relève un peu son hypothèse de déficit public à 3% du PIB en 2015, au lendemain de l’élection de Roch Marc Christian Kaboré. La notation, elle, est maintenue à « B-/B » et la perspective de croissance inchangée.
Selon une enquête réalisée par le cabinet de conseil, les entreprises hexagonales prévoient que la part de chiffre d’affaires relative à l’Afrique va augmenter de 75 % au cours des 10 prochaines années. C’est l’un des résultats de la 6e édition de l’Observatoire de développement international, réalisé par BearingPoint.
Dans cette tribune, Kako Nubukpo, ancien ministre de la Prospective du Togo, plaide la recherche de « voies endogènes » pour la transformation structurelle du pays.
L’annonce de l’arrêt progressif « des subventions généralisées des prix » réitéré par le ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, marque un tournant dans la politique économique de l’Algérie. Et suscite déjà de nombreuses interrogations…
Dans les coulisses du Palais comme au sein du gouvernement togolais, sept personnalités forment une équipe de choc autour de Faure Gnasssingbé. Portraits.
Acteurs politiques, chefs d’entreprise et même artistes … Tous se mobilisent pour faire avancer la cause verte à leur façon. Anis Aouini a créé la « saphonienne », une version de l’éolienne sans pales ni rotation.
Standard & Poor’s fait passer les perspectives du pays de stables à négatives, alors que son homologue Fitch dégrade la note qu’elle accorde à l’État, placée désormais juste au-dessus de la catégorie spéculative.
Administrateur délégué de la banque Martin Maurel Sella, Frédéric Geerts livre sa vision du continent. Et rêve d’un plan concerté européen qui soutienne ses grands projets.
Conakry, Cotonou et Dakar devraient accueillir les premières pépinières menées par le groupe culturel français Scintillo, le pôle RSE de l’opérateur Orange, l’Institut du monde arabe et la Fondation Zinsou.
Tapera Industries produit 3 000 litres d’essence par mois, à partir d’huiles de cuisine recyclées, pour un chiffre d’affaires de 15 000 dollars environ. Les huiles proviennent des hôtels et restaurants de Lusaka.
Ils sont jeunes, connectés, et débordent d’idées pour accélérer a révolution numérique sur le continent. Mais parmi leurs projets, très peu rencontrent le succès. Difficultés de financement et mauvaise lecture du marché expliquent cet échec relatif.
Un prêt de 200 millions de dollars a été signé à Rabat le 02 décembre, deuxième volet d’un programme d’appui à la gouvernance conclu en 2012 entre le Maroc et l’institution internationale.
L’action de la principauté est passée du caritatif à une véritable aide au développement, ciblée sur dix pays du continent et dotée d’un budget de 16 millions d’euros.
Le Nigeria a lancé une nouvelle unité gouvernementale dédiée à l’amélioration de l’efficacité de la dépense publique et à la lutte contre le gaspillage.
À 48 ans, cette experte-comptable est bombardée ministre des Finances de la première économie d’Afrique. La tâche est immense, tant la chute des prix de l’or noir secoue le pays.
La démocratie fait-elle parfois obstacle au développement ? La question, volontairement polémique, était au centre des rencontres organisées par le mensuel anglophone du groupe « Jeune Afrique », le 20 novembre, à Accra.
Le Bissau-Guinéen analyse la position du continent sur l’échiquier environnemental mondial. Entre la nécessité de faire entendre sa voix et l’immensité du chantier à venir.
Voté le 24 novembre par l’Assemblée nationale, le budget de l’État sénégalais passe de peu la barre des 3 000 milliards de F CFA. Une première. Le gouvernement anticipe un taux de croissance du PIB à 6 % en 2016.
La loi de Finances 2016 présentée cette semaine à l’Assemblée populaire nationale (APN) avant son vote lundi 30 novembre a suscité de vifs débats dans l’hémicycle. Au cœur des critiques, les articles sur la rationalisation des dépenses mais aussi ceux sur l’investissement.
Une banque, un fonds souverain et un fonds de garantie pour financer les petites entreprises. Deux ans après son lancement, le plan du gouvernement ne convainc pas.
Alors que la croissance de la Chine ralentit et que, surtout, l’économie du géant asiatique se modifie structurellement, ce forum espère faire naître de nouveaux types de partenariats économiques, davantage porteurs de valeur ajoutée.
Lancée début novembre, l’initiative « Startupper de l’année par Total » entend soutenir de jeunes entreprises dans une trentaine de pays africains, sans distinction de secteur d’activité.
Malgré les nombreux projets d’infrastructures en cours, Djibouti n’assure toujours pas son avenir. Il frôle même le surendettement. Seule solution : se diversifier davantage.
Le groupe de jeux et loisirs Pefaco international a levé 15 millions d’euros, via une émission d’actions qui officialise l’entrée d’investisseurs institutionnels à son capital. Très implanté en Afrique francophone, le groupe prévoit son installation au Nigeria en 2016.