La Côte d’Ivoire a été sélectionnée par le Millennium Challenge Corporation (MCC), une agence américaine, pour un important programme de subventions à partir de 2016. Le Sénégal, bénéficiaire d’une aide de 540 millions de dollars entre 2009 et 2015, a lui été choisi pour un deuxième programme d’aide.
Des analyses préliminaires à la première émission d’obligations de la RDC sur les marchés internationaux sont en cours, selon le Premier ministre Augustin Matata Ponyo, cité par l’agence « Bloomberg ».
La 10e conférence ministérielle de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), la première organisée en Afrique, s’est soldée samedi à Nairobi sur un constat d’échec concernant le cycle de Doha, mais a offert des avancées sur le front des subventions aux exportations agricoles.
En 2014, le taux de croissance de la zone se situait à 4,9%. La Banque des États de l’Afrique centrale (BEAC) explique cette forte baisse par la chute des cours du brut et le climat d’insécurité suscité par Boko Haram.
À l’occasion d’une revue de son programme d’assistance opérationnel au gouvernement sénégalais, le Fonds monétaire international a relevé que l’objectif en matière de recettes fiscales n’a pas été atteint sans affecter réellement le déficit budgétaire.
Ce montant constitue la deuxième tranche de l’accord triennal de facilité élargie de crédit (FEC) portant sur 148,4 millions de dollars. Confronté à la chute des cours du brut et au choc sécuritaire en rapport avec Boko Haram, Ndjamena veut prévenir les difficultés de balance de paiements.
Dans le top 10 des plus réformateurs… et parmi les 25 plus pauvres du monde. Le point sur les grands indicateurs, la plupart au vert, d’un pays qui a renoué avec la croissance, mais où la vie reste chère.
La note « Baa2 » de l’Afrique du Sud, deux crans au-dessus de la catégorie spéculative, est maintenue mais la perspective passe de « stable » à « négative ». Un nouveau signe de la tension qui pèse sur la notation financière du pays.
Le ministre algérien des Finances a exclu l’ouverture du capital des grandes entreprises publiques dans le cadre des nouvelles dispositions de la loi de finances 2016.
Les African Rethink Awards (ARA) visent à mettre en valeur les start-up innovantes dans les domaines économique, social, ou environnemental, avec une activité centrée sur l’Afrique. Revue des lauréats de la première édition qui s’est achevée à Paris le 11 décembre.
Le Club des entrepreneurs monégasques en Afrique compte 14 membres qui, réunis, affichent un chiffre d’affaires sur le continent de plus de 1,5 milliard d’euros. Portraits des cinq fondateurs du Cema et de quelques-uns des patrons qui les ont rejoints.
Le président sud-africain Jacob Zuma a renvoyé dimanche son ministre des Finances, David van Rooyen, quatre jours après une nomination qui avait provoqué des soubresauts sur les marchés, a annoncé la présidence.
Le député David van Rooyen a été nommé ministre des Finances de l’Afrique du Sud, en remplacement de Nhlanhla Nene, dont la révocation inattendue a envoyé une onde de choc sur les marchés, plombant la devise nationale.
Après sa première année d’exercice, malgré la fronde menée par les puissants syndicats des régies financières, l’Office togolais des recettes affiche un bilan plutôt positif.
L’agence de notation financière Fitch Ratings a passé en revue la situation économique, monétaire et budgétaire des pays subsahariens le 08 décembre au cours d’une rencontre organisée à Paris. Retour sur la situation des deux géants anglophones du continent : le Nigeria et l’Afrique du Sud, dans une conjoncture marquée par la chute des matières premières.
Fitch Ratings a passé en revue la situation économique, monétaire et budgétaire des pays subsahariens au cours d’une rencontre organisée à Paris, le 08 décembre. Les analystes de l’agence de notation ont offert un diagnostic assez contrasté de quatre poids lourds de l’Afrique subsaharienne francophone : le Cameroun, la Côte d’Ivoire, le Gabon et le Congo-Brazzaville.
L’agence américaine Standard & Poor’s (S&P) relève un peu son hypothèse de déficit public à 3% du PIB en 2015, au lendemain de l’élection de Roch Marc Christian Kaboré. La notation, elle, est maintenue à « B-/B » et la perspective de croissance inchangée.
Selon une enquête réalisée par le cabinet de conseil, les entreprises hexagonales prévoient que la part de chiffre d’affaires relative à l’Afrique va augmenter de 75 % au cours des 10 prochaines années. C’est l’un des résultats de la 6e édition de l’Observatoire de développement international, réalisé par BearingPoint.
Dans cette tribune, Kako Nubukpo, ancien ministre de la Prospective du Togo, plaide la recherche de « voies endogènes » pour la transformation structurelle du pays.
L’annonce de l’arrêt progressif « des subventions généralisées des prix » réitéré par le ministre des Finances, Abderrahmane Benkhalfa, marque un tournant dans la politique économique de l’Algérie. Et suscite déjà de nombreuses interrogations…
Dans les coulisses du Palais comme au sein du gouvernement togolais, sept personnalités forment une équipe de choc autour de Faure Gnasssingbé. Portraits.
Acteurs politiques, chefs d’entreprise et même artistes … Tous se mobilisent pour faire avancer la cause verte à leur façon. Anis Aouini a créé la « saphonienne », une version de l’éolienne sans pales ni rotation.
Standard & Poor’s fait passer les perspectives du pays de stables à négatives, alors que son homologue Fitch dégrade la note qu’elle accorde à l’État, placée désormais juste au-dessus de la catégorie spéculative.
Administrateur délégué de la banque Martin Maurel Sella, Frédéric Geerts livre sa vision du continent. Et rêve d’un plan concerté européen qui soutienne ses grands projets.
Conakry, Cotonou et Dakar devraient accueillir les premières pépinières menées par le groupe culturel français Scintillo, le pôle RSE de l’opérateur Orange, l’Institut du monde arabe et la Fondation Zinsou.
Tapera Industries produit 3 000 litres d’essence par mois, à partir d’huiles de cuisine recyclées, pour un chiffre d’affaires de 15 000 dollars environ. Les huiles proviennent des hôtels et restaurants de Lusaka.
Ils sont jeunes, connectés, et débordent d’idées pour accélérer a révolution numérique sur le continent. Mais parmi leurs projets, très peu rencontrent le succès. Difficultés de financement et mauvaise lecture du marché expliquent cet échec relatif.