Entre intentions affirmées de s’implanter et protocoles d’accord paraphés, les organisateurs du forum « Investir au Congo Brazzaville 2015 », du 19 au 21 novembre, se satisfont d’ores et déjà de la présence de 700 participants sur les 800 attendus.
Ces ressources serviront à régler les subventions aux carburants. La hausse des dépenses prévues et les pressions sur les recettes devraient entraîner un doublement du déficit budgétaire attendu au Nigeria en 2015.
La première édition du forum Investir au Congo Brazzaville (ICB 2015) a débuté ce jeudi au Palais des congrès de la capitale congolaise. Environ 800 participants échangeront deux jours durant sur les opportunités d’investissement dans le pays.
Quand ils ne leur sont pas favorables, les classements du FMI, de la Banque mondiale et consorts ont le don de les irriter. Après le Cameroun, le Rwanda ou la France, c’est le Sénégal qui fait la tête.
L’empire du Milieu est en pleine mutation. Pour continuer à profiter de sa croissance, les pays africains devront s’adapter. Et devenir des industriels à bas coût.
Les MEdays 2015 se sont ouverts mercredi à Tanger pour la 8e année consécutive. Invité d’honneur, le président rwandais Paul Kagamé y a reçu un accueil triomphal, lors d’une soirée d’inauguration où les pays participants ont affiché leur volonté d’une plus grande solidarité mutuelle.
Les députés burkinabè ont adopté un nouveau texte régissant les lois de Finances qui consacre l’instauration du budget-programme, conformément aux consignes de l’Uemoa. Son entrée en vigueur est prévue à partir de 2017.
La cérémonie d’investiture du gouvernement de Muhammadu Buhari s’est déroulée le 11 novembre. Portraits des ministres en charge des questions économiques.
Afin de définir le cap à tenir pour que son pays puisse résister à la crise pétrolière, le président Muhammadu Buhari peut compter sur son entourage. Voici les six personnalités avec lesquelles il compte établir son programme économique.
Evariste Adda, directeur de la Société de gestion des marchés autonomes du Bénin (Sogema), revient sur les causes de l’incendie du grand marché de Cotonou et les mesures que le gouvernement entend prendre pour éviter des drames similaires. Interview.
L’économiste sénégalais Chérif Salif Sy est le grand invité de l’économie RFI/Jeune Afrique. Retrouvez la vidéo de cette interview : migrations, Banque mondiale et FMI, économie sénégalaise, politique agricole…
Alors que son pays est ébranlé par la crise pétrolière, le président tarde à définir un cap. Cent cinquante jours après son investiture, cet ancien général devrait finalement faire émerger un État fort.
Inquiètes des effets de la polémique entre le milliardaire algérien, première fortune du pays, et le ministre de l’Industrie, les autorités algériennes tentent une conciliation. Pas facile.
Plus de cinquante États représentés, des promesses de dons importantes… Le sommet Inde-Afrique qui s’est déroulé à New Delhi du 26 au 29 octobre a été un succès.
Malgré la chute des cours des matières premières et des recettes en diminution, la croissance reste soutenue. Mais le retard du développement des infrastructures risque d’en limiter l’impact.
Malgré les trois places gagnées dans la dernière édition de ce rapport de la Banque mondiale sur le climat des affaires, la Côte d’Ivoire, classée 142e, reste encore loin de son objectif : le top 50. Abidjan entend redoubler d’efforts.
Le secrétaire exécutif du Groupement inter-patronal du Cameroun (GICAM), le principal syndicat des chefs d’entreprises du pays, analyse le classement du Cameroun dans la nouvelle édition du Doing Business de la Banque mondiale.
En dépit de l’effondrement des cours de l’or noir, le ministre des Finances du Cameroun, Alamine Ousmane Mey, projette un budget en hausse, à 4249,8 milliards de F CFA, afin de permettre notamment l’achèvement des grands projets structurants.
L’Algérie continue de reculer dans le classement Doing Business de la Banque Mondiale et perd deux places supplémentaires par rapport à l’an dernier rejoignant le groupe des derniers pays du tableau.
Sixième sur le continent et dans la zone Afrique du Nord et Moyen-Orient (MENA), le Maroc progresse de cinq places dans la nouvelle édition du rapport Doing Business de la Banque mondiale. Le royaume enregistre néanmoins des contre-performances dans des domaines clés. Décryptage.
Le Sénégal grignote 3 points dans le classement Doing Business 2016 de la Banque mondiale, se place parmi les meilleurs réformateurs et rêve d’intégrer les 100 pays les mieux classés de ce rapport.
La Banque mondiale vient de publier la nouvelle édition de son rapport « Doing Business », qui mesure chaque année la qualité et l’évolution du climat des affaires à travers le monde. Si le haut du classement, en Afrique, a peu évolué depuis l’an dernier, les pays du continent continuent d’enregistrer en moyenne une nette progression : cinq d’entre eux se placent parmi les dix premiers réformateurs du classement.
Durant cette année de transition, le ministre de l’Économie et des Finances s’est attelé à regagner la confiance des partenaires étrangers et à apurer la dette de l’État. Mission quasi accomplie.
Face au déclin de la croissance en Afrique subsaharienne – 3,8 % prévus cette année et 4,3 % en 2016, contre 5 % en 2014 – le Fonds monétaire international (FMI) prône la réduction des inégalités et met en garde contre l’interventionnisme monétaire, dans son rapport régional semestriel publié mardi à Dakar.