La troisième réunion du Comité mixte algéro-français (Comefa) s’est déroulée lundi 26 octobre à Paris, en présence des ministres algériens des Affaires étrangères et de l’Industrie Ramdane Lamamra et Abdeslam Bouchouareb, aux côtés de leurs homologues français Laurent Fabius et Emmanuel Macron.
Grands chantiers, climat des affaires, lutte contre la vie chère… Le ministre du Commerce et de la Promotion du secteur privé expose la stratégie de l’État pour stimuler l’économie.
L’engagement des partenaires au Mali devrait représenter 2 120 milliards de F CFA (3,2 milliards d’euros) pour la période 2015-2017, a indiqué l’OCDE à l’issue d’une rencontre internationale organisée jeudi à Paris.
La banque britannique solidement implantée en Afrique affirme que malgré la forte baisse des réserves de change en Afrique centrale, la zone reste compétitive en raison notamment de la baisse de l’euro face au dollar.
Selon le nouveau projet de loi de Finances, l’enveloppe consacrée aux subventions devrait baisser à 15,5 milliards de dirhams contre 31 milliards de dirhams prévus dans celui de 2015.
Pour la première fois depuis son lancement en 2006, les Cartier Women’s Initiative Awards a récompensé une Marocaine. Il s’agit de Mouna Abbassi qui est à la tête de la société Izil Beauty aux Émirats arabes unis.
Cette somme, versée entre mi-2015 et fin 2017, s’ajoutera aux 300 millions d’euros de prêts et aides déjà accordés par Paris lors d’une conférence des donateurs pour le Mali tenue en mai 2013 à Bruxelles.
Le communiqué final de la réunion des ministres des Finances et des gouverneurs des banques centrales de la zone franc, qui s’est tenue à Paris le 2 octobre, ne mentionne pas un seul mot sur le sujet.
Annoncée il y a plus d’un an mais jamais concrétisée, l’émission de cet emprunt obligataire conforme aux règles de la finance islamique devrait avoir lieu l’an prochain, selon le gouvernement tunisien.
L’économie de l’Angola va croître de 4 % cette année, contre un objectif précédent de 6 %, a annoncé le vice-président Manuel Vincente au Parlement le 15 octobre.
La dette s’envole, le chômage s’enkyste, les investissements sont en berne… Anerood Jugnauth parviendra-t-il à redresser la situation, comme dans les années 1980 ?
Le grand patron algérien accuse certains cercles du pouvoir de travailler à sa perte et se dit visé par un mandat d’arrêt pour une obscure affaire de surfacturations. Les autorités démentent.
Avec pour thème « Dynamiser le monde ! », le Women’s Forum Global Meeting se tient à Deauville du 14 au 16 octobre. Il mettra notamment à l’honneur le combat des femmes tunisiennes pour leur liberté.
Trop exigu, le marché national ? Qu’importe, les entreprises et l’État mauriciens cinglent vers une Afrique en plein essor. Au programme : ouverture d’usines et partenariats commerciaux.
Depuis que la Commission européenne a maintenu son pays sur la liste des pays non coopératifs en matière d’échange d’informations financières, Vishnu Lutchmeenaraidoo, le ministre mauricien de l’Économie et des Finances, ne décolère pas.
Pour donner un coup de fouet à une économie en berne, les autorités vont devoir privatiser nombre d’entreprises. Mais, si possible, sans provoquer un désastre sur le front de l’emploi. Pas simple.
Confronté à une baisse drastique des revenus pétroliers et des recettes fiscales, le gouvernement de Kalzeubet Pahimi Deubet a décidé de prendre plusieurs mesures d’économie contenues dans une nouvelle feuille de route.
Trois semaines après la visite de Muhammadu Buhari à Paris, une trentaine d’entreprises françaises, dont certaines découvrent le Nigeria, sont venues vendre le savoir-faire hexagonal dans la première économie d’Afrique. Si pour elles les opportunités sont immenses, l’environnement des affaires et les exigences de production locale sont aussi des défis.
L’Algérie estime « nécessaire » la réévaluation des relations économiques et commerciales avec l’Union européenne, misant sur davantage d’investissements de l’UE dans le pays. Le gouvernement a adopté de nouvelles mesures favorables aux investissements étrangers.
Le Fonds monétaire international a abaissé mardi ses prévisions de croissance économique mondiale pour 2015 et 2016 à 3,1 % et 3,6 % respectivement. En Afrique subsaharienne, la croissance devrait ralentir cette année à 3,8 %, contre 5,0 % en 2014, soit une révision à la baisse de -0,7 point par rapport aux prévisions d’avril.
Sessions plénières, ateliers sectoriels et conférences pratiques consacrées à la réalisation de projets… Découvrez le programme du forum Investir au Congo-Brazzaville 2015 qui se tient du 19 au 21 novembre.
La septième édition de l’indice Mo Ibrahim qui, depuis 2007, mesure les progrès de la gouvernance africaine, vient à point nommé pour mettre un bémol à l’afro-optimisme débridé du moment. Car, son fondateur, le milliardaire Mo Ibrahim n’hésite pas à dire à l’occasion de cette publication, lundi 5 octobre, que « les progrès sont en panne ».
L’extrême pauvreté devrait reculer cette année à un niveau sans précédent et frapper moins de 10% de la population mondiale en dépit d’une situation encore « très inquiétante » en Afrique, selon un rapport de la Banque mondiale (BM) publié dimanche.
Boubacar Camara, président du conseil d’administration du cimentier sénégalais Sococim, est le grand invité de l’économie Jeune Afrique/RFI du mois d’octobre 2015. Pour le patron sénégalais, l’arrivée du groupe nigérian Dangote Cement, son nouveau concurrent, au pays de la teranga s’est faite en violation des règles environnementales et sans étude d’impact.
Cette aide, indique l’institution internationale, vise à soutenir les mesures de restructuration des banques publiques et d’allégement des procédures administratives.
Réuni en fin d’après-midi, le 1er octobre à Yamoussoukro pour le dernier Conseil des ministres du quinquennat du président Alassane Ouattara, le gouvernement ivoirien a adopté pour l’année 2016 un projet de budget s’élevant à 5 873 milliards de F CFA en progression de 12 % par rapport à 2015.