Plus que jamais, l’essor des entreprises françaises à l’étranger est une priorité pour le Quai d’Orsay. En Afrique, ses diplomates sont missionnés pour défendre leurs intérêts.
La délégation du Fonds monétaire international a trouvé un accord avec les autorités tunisiennes pour la mise à disposition de 304 millions de dollars dans le cadre du programme d’aide de 1,7 milliard de dollars approuvé par l’institution internationale en 2013.
Un comité exécutif réuni par le Premier ministre congolais a revu à la baisse la prévision de croissance de la RDC en 2015 à 8,4 %, en raison notamment du ralentissement constaté au premier semestre.
L’Éthiopie a vu ses exportations vers les États-Unis exploser de 150 % depuis 2001. Le conseiller spécial du Premier ministre éthiopien – avec rang de ministre – explique les raisons de ce succès.
Alors que l’African Growth Opportunity Act, qui ouvre le marché américain aux pays subsahariens, est prorogé jusqu’en 2025, « Jeune Afrique » dresse le portrait de sept PME qui tentent leur chance outre-Atlantique.
Le président du holding ivoirien Snedai Group n’en finit pas de se diversifier, du biométrique au BTP. Un essor qui s’est accéléré sous Alassane Ouattara, pour qui il fait inlassablement campagne…
Le président français a annoncé le rapprochement de l’Agence française de développement et de la Caisse des dépôts, à l’image du modèle allemand. C’était l’une des recommandations du rapport Védrine-Zinsou de 2013.
Le débat est régulièrement remis au goût du jour. Dernier en date : Idriss Déby Itno, qui estime que le franc CFA empêche l’Afrique de l’Ouest et l’Afrique centrale de se développer.
L’économie sud-africaine s’est contractée au deuxième trimestre 2015, à la surprise générale des analystes, qui pariaient sur une progression, faible certes, mais positive.
Alors que le 14e forum international de l’African growth opportunity Act (Agoa) s’ouvre ce lundi 24 août à Libreville au Gabon, Peter Henry Barlerin, le directeur des affaires économiques et régionales au sein du bureau Afrique du département d’État américain a répondu aux questions de « Jeune Afrique ».
Entre janvier et juillet, le déficit commercial de l’Algérie a atteint 8,041 milliards de dollars, en raison notamment d’une chute de 40 % des recettes d’exportations.
Pour contenir le déficit budgétaire et stimuler l’activité économique, le gouvernement égyptien a adopté une série de mesures réduisant l’imposition sur les plus hauts revenus.
Le PIB de la Tunisie a crû de 1,2 % sur les six premiers mois de l’année, par rapport à la même période l’an dernier. C’est près de la moitié du taux de croissance enregistré durant le premier semestre 2014.
L’Assemblée nationale a approuvé mardi 18 août la proposition de loi faite par le gouvernement, destinée à interdire les licenciements massifs qui touchent les entreprises publiques et privées du pays.
Avec cette décision, la Banque centrale de l’Algérie, espère freiner les importations mais risque d’accroître l’inflation dans le pays d’Afrique du Nord, durement affecté par le recul du prix du pétrole.
Chaque année, dans l’espace de l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), et notamment en Côte d’Ivoire, ils sont de plus en plus nombreux à se lancer dans l’aventure entrepreneuriale.
L’administration fiscale algérienne se met en ordre de marche pour le démarrage du programme d’amnistie fiscale prévu dans la loi de finances complémentaire 2015.
Pour concurrencer le FMI et la Banque mondiale, deux institutions multilatérales de développement ont été lancées coup sur coup. Leur principal promoteur ? Pékin, qui compte bien financer à travers elles ses ambitions commerciales à l’échelle mondiale.
Dans cette tribune, le financier nigérian Tony Elumelu, président de Heirs Holdings, plaide pour « l’injection dans les veines du capitalisme de valeurs allant au-delà de la maximisation du profit ».
Brutalement démis de ses fonctions, le ministre du Commerce était pourtant un soutien d’Abdelaziz Bouteflika. Une décision surprenante prise alors qu’il dénonçait les pratiques financières du secteur automobile.
Retour à l’équilibre budgétaire, suppression des subventions sur les produits de base, réduction des inégalités… Le ministre des Finances explique la stratégie du gouvernement.
Annoncé à 3 % au début de l’année, le taux de croissance de la Tunisie attendu en 2015 a été drastiquement réduit depuis. Il vient de subir sa deuxième révision à la baisse en un mois.
Revenus pétroliers à la baisse et crise de la gouvernance font sombrer l’Algérie dans une grande incertitude. Le pays, qui doit rationaliser ses dépenses publiques, a pourtant plusieurs grands chantiers en cours : le point en infographies.
Dans la loi de finances complémentaire qu’il soumettra aux députés à la fin des vacances parlementaires prévue début août, le gouvernement algérien prévoit une série de mesures censées réduire l’attrait du secteur de l’informel.
Le gouvernement algérien a approuvé le 23 juillet un ensemble de mesures fiscales visant à réduire le déficit budgétaire du pays. Parmi elles : la baisse des dépenses annoncées en 2015.
Les délégués de l’Organisation mondiale du commerce ont trouvé un accord sur la réduction des droits de douane sur des produits tels que les logiciels, les appareils de géolocalisation et les consoles de jeux vidéos.