Premier entrepreneur privé d’Algérie, Issad Rebrab a fondé et dirige Cevital, un groupe diversifié qui affiche près de 3 milliards de dollars de revenus par an. Alors qu’il entame une importante stratégie de développement au sud du Sahara, il a accordé à Jeune Afrique, à l’occasion du Africa CEO Forum, une interview vidéo.
L’État ivoirien est parvenu à conclure un accord avec la compagnie Foxtrot sur le prix du gaz naturel livré pour l’approvisionnement des centrales thermiques. La filiale de Bouygues a par ailleurs obtenu l’autorisation d’exploiter le champs Manta.
Fondée à Buea au Cameroun, la jeune pousse Njorku a été sélectionnée par le prestigieux magazine Forbes pour figurer parmi les 20 start-up qui comptent en Afrique.
Routes, aéroport, production agricole, défi énergétique… Pas de doute, le chef de l’État a été ambitieux pour son pays. De quoi avoir le tournis et s’interroger sur le coût de certains projets.
Pleins feux sur le capitalisme africain. En 2010, le chiffre d’affaires cumulé des 500 premières entreprises africaines a progressé de 17,7% à 690 milliards de dollars. Avec de forts contrastes entre les pétrolières et les télécoms, en recul, et des minières en pleine forme. Lire la suite de l’analyse… {insertgrid ID = 2_so} Chiffres 2010 en millions de $ – (*): chiffres 2009
Le Printemps arabe redessine le marché. Les révolutions ont entraîné une redistribution des cartes économiques. Dégât collatéral : la croissance a très nettement ralenti.
Porte d’entrée sud-africaine. Ultradominante dans la région, la nation Arc-en-Ciel se transforme peu à peu en plateforme d’investissements vers le reste du continent.
Ces deux pays qui éclipsent les autres. Le Cameroun et le Gabon restent ultradominants dans la zone. Libreville, qui multiplie les investissements et les réformes, se positionne pour l’avenir.
Nairobi au centre de toutes les attentions. Idéalement positionnés pour profiter du boom économique de la région, les groupes kényans souffrent depuis le début de 2011 de l’explosion des prix.
Au service de la classe moyenne. Les groupes sud-africains sont aux avant-postes pour développer le secteur sur le continent. Les géants mondiaux s’y intéressent aussi.
Ruée sur les terres. Les géants africains ne cessent de grossir et, à l’instar de leurs concurrents asiatiques, multiplient leurs surfaces d’exploitation.
Un égyptien bientôt premier? Alors que les groupes sud-africains enregistrent un tassement de leur activité, Orascom Construction Industries prend la deuxième place.
Les barils bougent. Retrait des uns, avancée des autres: le secteur pétrolier a continué sa mue en 2010. Et consacré l’avènement de nouveaux pays producteurs.
La fébrilité reste de mise. Après un léger mieux en 2010 pour les compagnies maritimes, 2011 s’avère particulièrement difficile. Le secteur aérien est un peu mieux loti.
Attention, oligopole! Tenu par quatre brasseurs mondiaux, le marché est à la fois dynamique et rentable. Après la bière, le secteur des sodas se développe.
Poussée de production. Les projets d’usines se multiplient au sud du Sahara, où la demande peine à être satisfaite. À l’inverse, le marché nord-africain est saturé.
Télécoms et pétrole au menu. Avec une croissance impressionnante, les pays anglophones font la course en tête. Le reste de la zone a pâti de la crise ivoirienne.