L’économiste était auparavant responsable du Sénégal, du Cap-Vert, de la Guinée-Bissau, de la Mauritanie et la Gambie au sein de la filiale de la Banque mondiale dévolue au secteur privé. Rencontre.
Grâce au mécanisme novateur dette-nature, Libreville devrait voir ses créances s’alléger de 450 millions de dollars. En contrepartie, le pays s’engage à protéger une partie de son écosystème marin. Explications.
Malgré un premier feu vert en octobre dernier, les négociations sont à l’arrêt à cause du refus du président tunisien d’appliquer les mesures demandées par l’institution financière. Explications.
Les industries extractives représentent 46 % des recettes de la RDC. Taxer les sociétés minières en monnaie locale pourrait donc faire les affaires de Kinshasa.
Relation avec le Maroc et l’Algérie, PPP, essor du pétrole et du gaz, création d’emplois… Sur tous ces sujets, le patron du groupe diversifié AON appelle les pouvoirs publics à faire confiance aux entreprises nationales.
Le plus haut responsable de la diplomatie chinoise, Wang Yi, en visite au Kenya, a vanté samedi la partenariat économique « gagnant-gagnant » entre les deux pays, alors que Pékin est accusée d’utiliser son statut de créancier pour arracher des concessions diplomatiques et commerciales.
Longtemps omniprésentes en Algérie, les entreprises chinoises y sont moins actives. La visite d’État du président algérien à Pékin et Shenzhen vise en partie à redynamiser cette coopération économique.
Tension sur les marchés, inflation, pénurie… Très dépendant de la Russie et de l’Ukraine pour ses importations en blé, que risque vraiment le continent africain ? Décryptage.
La Banque ouest-africaine de développement (BOAD) vient de souscrire à une police d’assurance-crédit. Une étape déterminante pour muscler sa capacité de financement au profit des États membres. Explications.
Dans quelques années, de nombreuses figures tutélaires de l’industrie vont devoir passer le témoin. Leur apport à l’économie africaine est incontestable. Mais leur départ constitue aussi une formidable chance de renouveau.
De l’avis de l’expert associé au sein du cabinet PwC pour l’Afrique francophone, les fonctions RH doivent progresser dans le maniement de la langue des dirigeants afin de mieux peser sur les grandes décisions.
Artisan de la restructuration de la dette de son pays, le ministre tchadien des Finances s’est fait un nom sur la scène internationale. Son credo : augmenter les revenus de l’État en modernisant ses services et en facilitant la vie des entrepreneurs.
Le traité de fusion entre les deux principales organisations patronales camerounaises a recueilli la majorité des suffrages le 11 juillet, malgré des actions en justice intentées par ses opposants.
Alors ministre des Finances, il aurait détourné jusqu’à deux milliards de dollars en signant des prêts pour des entreprises publiques auprès de banques internationales. Il doit être jugé aux États-Unis.
« Il faut accepter les crises et savoir rebondir ». Rita Zniber, qui dirige Diana Holding, premier producteur de vin et de spiritueux du Maroc, livre à Jeune Afrique sa vision des enjeux multiples auxquels son groupe est confronté.
Cession de l’activité d’embouteillage, pertes financières dans l’affaire Marie Brizard, succession… La patronne du premier producteur de vin au Maroc assure que recentrage des activités et partenariats sont la clé de l’avenir de son groupe.
Après le sommet de Paris pour un nouveau pacte financier mondial, Fati N’Zi-Hassane, la directrice Afrique d’Oxfam, appelle à la refonte complète du FMI et de la Banque mondiale, ainsi qu’à plus de solidarité financière des pays riches envers les pays pauvres.
En sollicitant les marchés financiers pour lever 100 milliards de F CFA, Bamako met les bouchées doubles pour attirer les investisseurs régionaux. Explications.
L’emprunt obligataire émis par le Cameroun est une réussite. Mais les souscripteurs, banques en tête, ont largement boudé les tranches aux maturités les plus longues. Analyse.
À l’approche de la présidentielle, l’analyste gabonais livre son évaluation des plans de relance engagés ces dernières années, et passe en revue les défis économiques et financiers que son pays doit relever.
Les PDG et hauts dirigeants aussi se font licencier. Une étude s’est intéressée à ceux qui ont su se relever de cet échec. Voici comment ils y sont parvenus.
Déjà bien ancré en Afrique subsaharienne, le groupe américain spécialiste de la cybersécurité et du renseignement dirigé par par le Camerounais Thierry Wandji met le cap vers le nord du continent. Il compte sur sa connaissance du contexte africain pour renforcer son rôle d’intégrateur technologique au sein des États.
Nommé à la tête de l’institution de financement international, le 1er juin, cet homme au profil atypique et aux qualités recherchées était soutenu par les États-Unis. Il succède à David Malpass.
L’agence de notation considère qu’en dépit de la restructuration de sa dette, le pays doit trouver un accord avec ses créanciers privés pour que sa note soit relevée.
L’institution de Bretton Woods a validé, le 28 juin, le déboursement de 203 millions de dollars à destination de Kinshasa dans le cadre du plan d’aide lancé en juillet 2021.
Dans un contexte international tendu, et grâce aux ressources propres à l’Afrique, la Zone de libre-échange continentale africaine promet de transformer le commerce intra-africain. Trente mois après son lancement officiel, quel premier constat peut-on dresser, et avec quelles pistes d’amélioration ?
D’ordinaire discrètes, de nombreuses entreprises familiales du royaume, grands groupes comme PME, se sont regroupées au sein d’un institut, en vue de préparer au mieux ces transmissions parfois délicates.
L’appui financier du Fonds monétaire international doit permettre au pays de résister à l’inflation, tout en répondant à l’urgence socio-économique et au changement climatique.
La CDEC du Cameroun a demandé à la cour d’appel du Littoral d’annuler des décisions judiciaires exigeant le transfert des fonds de la filiale de l’opérateur sud-africain. Explications.
Les créanciers de Lusaka, dont la Chine, ont accepté de verser une aide financière au premier pays africain en défaut de paiement après la pandémie de Covid-19. Pour les analystes, il convient de considérer cet accord avec un optimisme prudent.