L’amélioration du profil de la dette du pays encourage le chef de l’État mauritanien à avancer sur ce projet, appuyé par des conseils français. Des agences de notation vont être approchées.
Une semaine après sa dernière levée de fonds, Bamako lance un nouvel emprunt obligataire de 200 milliards de F CFA pour financer des infrastructures de développement.
Président du groupe suisse Richemont, de la société sud-africaine Remgro et de l’organisme de placement luxembourgeois Reinet Investments, Johann Rupert est aujourd’hui l’un des hommes les plus riches d’Afrique du Sud. Au sein de son carnet d’adresses, les hommes d’affaires influents côtoient les politiques les plus puissants.
Protéines durables, produits premium, technologies pour fluidifier la chaîne de production… Les start-up EntomoNutris, Jus Délice et Releaf parient sur l’innovation pour valoriser les richesses du continent.
Coup sur coup, les trois principales agences de notation internationales, Moody’s, Standard and Poor’s et Fitch ont dégradé la note souveraine du Ghana, qualifiant sa dette de spéculative. Le gouvernement se rebiffe.
Outre les tensions avec Kigali et la présidentielle de 2023, le secrétaire d’État américain a discuté partenariats économiques stratégiques, appui au commerce et investissements avec les autorités congolaises.
Selon Filipe Nyusi, le président mozambicain, ce nouvel outil devrait aider le pays à financer son développement et à supporter les « chocs externes » et la volatilité des prix.
À l’heure où les Kényans se rendent aux urnes pour élire leur nouveau président, Jeune Afrique fait le point sur la situation économique dont héritera le futur chef de l’État.
Le ministre ivoirien des Transports s’est entretenu avec Jeune Afrique autour des principaux projets d’infrastructures du gouvernement et de l’avenir de la compagnie aérienne nationale.
Le Trésor malien lance ce 9 août un emprunt de 270 milliards de F CFA, un mois après la levée des sanctions économiques et financières imposées par la Cedeao. Mais quelles sont ses chances de réussite ?
L’inefficacité des réponses aux précédentes crises alimentaires qui ont frappé le continent invite à la prudence, alors que se prolongent le conflit en Ukraine et ses effets sur les marchés internationaux.
« Buhari, le bilan économique » (5/5). Dans son fief politique, au nord du pays, le président laisse ses soutiens sceptiques devant le peu d’efficacité de sa politique de protectionnisme agricole. Reportage.
« Buhari, le bilan économique » (4/5) Malgré son devoir d’indépendance et sa fonction régulatrice, la Banque centrale du Nigeria a du mal à se départir de l’influence du chef de l’État sur sa politique.
« Buhari, le bilan économique » (3/5) Le gouvernement estime que son plan d’autosuffisance en matière de production de riz a donné des résultats positifs. Une affirmation que réfutent les analystes… et les chiffres.
« Buhari, le bilan économique » (2/5). Cadre réglementaire, fiscalité, maillage des entreprises… Le chef de l’État a signé cinq initiatives pour clarifier l’environnement des affaires.
La Banque des États de l’Afrique centrale est à nouveau au cœur d’une vive polémique liée au processus de recrutement de ses agents. Accusé de népotisme, le gouverneur tchadien Abbas Mahamat Tolli est dans la tourmente. Jeune Afrique livre les détails de l’affaire.
« Buhari, le bilan économique » (1/5). Après deux mandats à la tête de l’État mais aussi du ministère du Pétrole, le président sortant affiche un bilan en demi-teinte. La diversification de l’économie reste un vœu pieu et le premier producteur de pétrole du continent semble prisonnier d’une rente pétrolière faussée par la dette et les subventions.
Alors que Bola Tinubu et Atiku Abubakar s’affronteront dans les urnes pour prendre sa succession à la présidence en 2023, l’heure du bilan a sonné pour Buhari. Quels ont été ses réussites et ses échecs ? Décryptage.
À l’approche de la huitième Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (Ticad 8), rencontre à Paris avec Ryuichi Kato, le vice-président de l’Agence japonaise de coopération internationale (Jica).
Agacé par les dettes accumulées par certaines sociétés publiques, le chef de l’État a mis en garde le gouvernement. Et imposé une surveillance accrue sur leurs comptes.
Un début de diversification économique, la montée des prix du pétrole et, surtout, la flambée de la demande de gaz, suffiront-ils à redresser en profondeur une économie algérienne très perméable aux aléas de la conjoncture ? Décryptage.
Censée améliorer le rendement du portefeuille public, la nouvelle Agence nationale de gestion stratégique des participations de l’État se met en branle. À sa tête, Abdellatif Zaghnoun devra suivre les performances de 57 sociétés, dont certaines seront privatisées.
Abidjan a opté pour un nouveau mode d’endettement axé sur des produits financiers mettant en avant le climat et l’environnement, et ambitionne de s’engager pleinement dans cette dynamique mondiale.
Les progrès sont encore timides, mais les performances macroéconomiques « satisfaisantes », juge l’institution de Bretton Woods, qui accorde un nouveau soutien à Yaoundé au titre du programme triennal approuvé en juillet 2021.
Bangui gèle l’application de sa loi sur les cryptomonnaies contre une réglementation de la BEAC sur les cryptoactifs. Tel est le terrain d’entente trouvé dans la capitale économique camerounaise, les 20 et 21 juillet.
Années de formation à l’étranger, parcours dans l’administration puis en entreprise… Le nouveau grand argentier d’Alger présente un profil différent de celui de ses prédécesseurs.
Arrimé à l’euro par une parité fixe, le franc CFA utilisé par quatorze pays d’Afrique de l’Ouest et d’Afrique centrale s’est déprécié face au dollar en même temps que la monnaie européenne. Une très mauvaise nouvelle pour les importations et le remboursement de la dette.
Une mission du FMI s’est rendue à Tunis du 4 au 18 juillet. Dans quelques mois, l’institution devrait se prononcer sur l’octroi ou non d’un prêt crucial pour l’avenir du pays… Mais les obstacles sont encore nombreux.
Dangote Industries dissipe les inquiétudes concernant le financement de ses activités de raffinerie et de ciment en levant 187,6 milliards de naïras à la bourse nigériane. Le groupe donne ainsi un coup d’accélérateur à son projet de méga-raffinerie à Lagos.