Place de l’Afrique dans la diplomatique chinoise, bras de fer commercial avec les États-Unis, rôle de la Belt and Road Initiative… Entretien avec Chen Xiaodong, ministre assistant des Affaires étrangères, chargé des affaires d’Asie de l’Ouest et d’Afrique du Nord, des affaires africaines et des archives.
Après le Bénin et la Gambie, le président indien est attendu ce 1er août à Conakry. Durant son séjour de trois jours, une série de conventions seront signées dans divers secteurs pour un montant total de 251 millions de dollars.
Les stations-service Shell et Engen du groupe Vivo Energy serviront désormais de point de collecte et de dépôt pour les clients de la plateforme de e-commerce Jumia. L’expérience sera d’abord lancée au Sénégal, en Côte d’Ivoire, au Maroc et au Kenya.
Lors de la visite du président comorien, Azali Assoumani, à l’Élysée, Emmanuel Macron a accepté de parrainer la réunion des bailleurs de fonds que Moroni souhaite organiser dans la capitale française avant la fin 2019.
« Centré sur la satisfaction des besoins des citoyens » et sur la réduction des inégalités, un projet de nouveau modèle de développement est à l’étude. Quels sont les principaux domaines concernés ? Éléments de réponse.
Le président ivoirien Alassane Ouattara a fait part de son agacement quant à la non-réciprocité qui prévaut, selon lui, dans le milieu des affaires au sein de la Cedeao.
Dès les années 1950, la toute nouvelle Chine populaire et la jeune Afrique indépendante se découvrent une communauté de destin. Des relations diplomatiques depuis basées sur les principes d’égalité et de non-ingérence.
« Centré sur la satisfaction des besoins des citoyens » et sur la réduction des inégalités, un projet de nouveau modèle de développement est à l’étude pour le Maroc. Quels sont les principaux domaines concernés ? L’exemple de l’OCP.
De par les montants en jeu et le nombre de pays concernés, la Belt and Road Initiative – les « nouvelles routes de la soie » – est la stratégie la plus ambitieuse jamais lancée par la Chine. Avec un objectif : remodeler le contexte géopolitique.
De l’usine du monde à l’usine à rêves, Pékin déploie ses routes en vue d’affirmer sa puissance par-delà ses frontières. Sur la voie de son propre développement, la Chine n’entend pas laisser ses partenaires africains sur le bord du chemin.
Quarante-sept propositions sont énumérées dans le rapport sur la présence économique française en Afrique, rédigé par l’ancien ministre français Hervé Gaymard. Mais la postérité de cette énième étude reste douteuse.
Suite aux propos de l’ambassadeur de l’Union européenne en Tunisie, Patrice Bergamini, qui accusait certains groupes privés de gripper les négociations avec l’UE, Walid Bel Hadj Amor, vice-président de l’Institut arabe des chefs d’entreprises (IACE) et représentant de la plateforme du secteur privé pour l’Aleca-Tunise, défend le secteur privé tunisien, dont il rappelle le libéralisme et le pragmatisme.
Le ministre sud-africain des Finances a annoncé mardi une rallonge de 59 milliards de rands (3,8 milliards d’euros) afin de venir en aide au géant public de l’électricité Eskom, cinq mois après un premier plan de sauvetage substantiel.
Ébranlé par les démissions successives, le président de la CGEM, Salaheddine Mezouar, veut éteindre les polémiques mais dit s’attendre à d’autres départs. Depuis son élection en 2018 à la tête de l’organisation patronale marocaine, les tensions n’ont pas manqué.
Né de la fusion des activités de Saham et de Bertelsmann, le groupe Majorel spécialisé dans les services externalisés, qui veut se développer sur le continent, vient d’inaugurer un centre au Togo.
Ce montant a été décaissé dans le cadre d’un accord triennal signé en 2017. Le dossier du pays n’avait pas été examiné lors de la précédente session du conseil d’administration du FMI à cause de la non-déclaration par Yaoundé de l’échéance de remboursement d’une dette vis-à-vis de l’Espagne.
Le Fonds monétaire international (FMI) a accordé, en juin, 245 millions de dollars à la Tunisie dans le cadre de son programme quinquennal (2016-2020) de Facilité élargie de crédit (FEC). Dans le compte-rendu de son 5e examen de la FEC, publié ce 18 juillet, l’institution internationale distribue ses bons et mauvais points.
Le responsable de la mission du FMI au Maroc salue les réformes déjà entreprises par le royaume mais juge qu’il reste des mesures à adopter pour l’accessibilité au marché du travail et la lutte contre les inégalités.
Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé, le 16 juillet que le conseil d’administration avait accepté la démission, effective à partir du 12 septembre, de sa directrice générale. L’institution doit lancer « rapidement » le processus de sélection du successeur de Christine Lagarde, laquelle doit prendre la tête de la Banque centrale européenne (BCE).
La Tunisie a émis un eurobond le 10 juillet dernier. Elle a obtenu 700 millions d’euros à rembourser sur sept ans à un taux de 6,375 %. Que disent ces chiffres de la situation financière du pays ? Décryptage.
Un événement « historique » ; un « vieux rêve qui se réalise » ; un pas de géant vers « la paix et la prospérité en Afrique »… Le 7 juillet à Niamey, les pays membres de l’Union africaine (UA) ont lancé en grande pompe la « phase opérationnelle » de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zleca).
Suite à l’article de Jeune Afrique annonçant la validation par le conseil d’administration du FMI d’un programme d’aide à destination du Congo-Brazzaville, l’avocate de la République du Congo, Simone Bernard-Dupré, a tenu à apporter des précisions.
À un an de l’entrée en vigueur théorique de l’eco, le président ivoirien a assuré à son homologue français qu’il n’y aurait pas de rupture brutale avec le Trésor français, tout en maintenant l’objectif d’une monnaie flexible adossée à un panier de devises.
Entretien avec Papa Amadou Sarr, délégué général à l’entrepreneuriat rapide, un concept imaginé par le président Macky Sall pour dynamiser la création d’entreprises par les femmes et les jeunes et accompagner la formalisation de l’économie.
Le conseil d’administration du FMI a approuvé le 11 juillet un programme triennal à destination de la République du Congo portant sur un montant de 448,6 millions de dollars. Une première tranche, de 44,9 millions de dollars, doit être immédiatement débloquée.
Après la suspension des avantages commerciaux relatifs aux exportations de vêtements vers les États-Unis, le Rwanda renforce son industrie textile et soutient ses créateurs.