Pour renforcer des relations commerciales qui s’intensifient depuis quelques années, le Premier ministre russe a effectué une visite de travail de deux jours dans le royaume, au cours de laquelle onze accords de partenariat ont été signés, notamment dans les domaines de l’énergie et de l’agriculture, mais aussi sur le plan militaire.
L’Institut Choiseul publie chaque année depuis 2014 un palmarès des futurs décideurs économiques. Jeune Afrique vous livre en exclusivité le palmarès 2017 du think tank français.
L’agence de notation Fitch Ratings a annoncé, dans un communiqué publié mardi 10 octobre, avoir attribué au Maroc la note BBB- avec perspective stable. Elle estime que la croissance du PIB atteindra 4,6% en 2017.
Le Sénégal est sur une trajectoire de croissance soutenue. Mais pour tenir le cap, il faut renforcer la compétitivité du privé, en soutenant les PME-PMI et en remobilisant l’investissement direct étranger.
Associant fonds d’investissement et groupes sénégalais ou étrangers spécialisés dans le renouvelable, les parcs photovoltaïques montent en puissance. Et ce n’est pas fini.
L’économiste sénégalais Ahmadou Aly Mbaye, doyen honoraire des la faculté des sciences économiques et de gestion à l’Université Cheikh-Anta-Diop de Dakar, analyse les performances économiques des pays de la zone du franc CFA et notamment du Sénégal.
Pour classer les 100 leaders de demain, l’Institut Choiseul utilise cinq groupes de critères : l’image et la réputation, le parcours et les compétences, le pouvoir et la fonction, l’influence et les réseaux, le potentiel et le leadership.
Les trois entreprises publiques mozambicaines impliquées dans l’affaire de la dette cachée, qui avait conduit le FMI et d’autres grands bailleurs de fonds à suspendre leur aide budgétaire aux pays, ont contesté des conclusions de l’audit réalisé par le cabinet Kroll LLC, rapporte Bloomberg.
L’Algérien, Slim Othmani, président du conseil d’administration de NCA Rouiba analyse la crise économique du pays ainsi que le traitement du nouveau premier ministre Ahmed Ouyahia pour l’enrayer.
Pour « sauver l’État de la faillite », le Premier ministre algérien, Ahmed Ouyahia a opté pour la planche à billets. À cet effet, les députés ont adopté dimanche 8 octobre un texte autorisant le Trésor à emprunter directement à la Banque centrale. Au-delà de cette arme à double tranchant, quelles sont les mesures urgentes à prendre pour sortir du marasme ? L’avis des experts et des opérateurs privés.
Le Parlement algérien a adopté dimanche un texte autorisant le Trésor à emprunter directement à la Banque centrale, laissant craindre un recours à la « planche à billets » et un risque d’inflation dans un pays qui souffre de la chute des revenus pétroliers.
Comme l’annonçait quelques heures plus tôt un responsable de l’administration américaine, les États-Unis ont décidé vendredi de renoncer formellement à certaines sanctions économiques qui pèsent sur le Soudan depuis 1997.
Au sortir de la réunion des ministres des Finances de la zone franc, qui s’est tenue à Paris ce 5 octobre, la France et les autres pays membres ont répondu en filigrane aux critiques visant la devise.
Le conseil des ministres ivoirien a avalisé le 4 octobre un budget ambitieux, avec 1 833 milliards de francs CFA consacrés à l’investissement et un déficit ramené à 3,75 %. Mais pour tenir cet engagement, l’activité économique devra suivre : les chiffres du gouvernement s’appuient sur une croissance à 8,3 %.
La dette publique de la République du Congo s’élevait à quelque 9,14 milliards de dollars américains fin juillet, représentant 110% du PIB, a annoncé mercredi le Fonds monétaire international à l’issue d’une mission menée dans le pays.
L’événement était attendu : il n’est donc pas passé inaperçu. Mais je pense qu’il aurait dû marquer davantage l’actualité, susciter plus de commentaires. Révélateur et chargé de signification, il aura été, en ce mois de septembre, un tournant dans l’actualité sociopolitique mondiale. Je crois utile de vous le soumettre et de le commenter pour vous.
Enthousiaste quant à l’impact des technologies de l’information et de la communication sur l’activité économique, la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) estime toutefois qu’il faudra légiférer pour que les pays en voie de développement et les petites entreprises ne soient pas les laissés-pour-compte de ces avancées.
Conscientes des opportunités qu’offre le continent, de grandes entreprises hexagonales y prospèrent, mais les petites et moyennes entreprises peinent à suivre. De nouvelles perspectives semblent cependant s’ouvrir avec l’engagement du gouvernement français en matière d’aide aux financements.
Le FMI a annoncé que son conseil d’administration avait révisé le cadre d’évaluation de la viabilité de la dette pour les pays à faibles revenus. Un cadre que l’institution partage avec la Banque Mondiale et qui conditionne les politiques de prêts de nombreux bailleurs de fonds.
Pour leur deuxième édition, les Rencontres Africa se sont transportées en Côte d’Ivoire, où Paris bénéficie du soutien des autorités pour faire la promotion d’une coopération économique renforcée entre les entreprises des deux pays.
Mohammed VI a reçu ce lundi le rapport d’audit qu’il avait demandé sur l’exécution du programme de développement de cette ville. Verdict : il n’y a pas eu de malversation ou de fraude, mais par contre d’énormes retards dans la mise en œuvre.
L’aide du FMI ne suffira pas à relancer les économies de la zone. Nouvelles sources de financement, recettes fiscales, diversification… JA fait le tour des réformes à engager d’urgence pour renouer avec la croissance.
Des zones économiques spéciales restées lettre morte, des industries en perte de vitesse, l’émergence projetée à l’horizon 2030 de plus en plus hypothétique… Décidément, côté industrialisation, la RDC peine à redécoller. Non sans inquiéter les entrepreneurs privés regroupés dans le réseau « Makutano ».
Un nouveau round de négociations avec les syndicats devrait démarrer le 9 octobre prochain. En attendant, les principales centrales fourbissent leurs armes…
Le recours au financement non conventionnel est la seule issue possible pour sauver l’État de la faillite, a tonné le Premier ministre algérien, lundi matin, devant les sénateurs.
Cheville ouvrière de l’investissement, notamment extérieur, la haute instance pour l’investissement est le premier interlocuteur des institutions et partenaires étrangers.
L’industrie tunisienne est plongée dans une profonde léthargie. Une manière de résister à la crise que traverse le pays et aux importations de produits équivalents à ceux qu’elle propose.
Avec un déficit des caisses sociales et de l’assurance maladie avoisinant 2 milliards de dinars en 2017, des mesures urgentes, comme le prolongement de l’âge du départ à la retraite et la diversification des sources de financement, s’imposent.