Le ministre de la Promotion des investissements et du secteur privé attend beaucoup du forum Invest in Mali 2017, qui se tiendra à Bamako les 7 et 8 décembre. Objectif : changer l’image du pays, montrer que le cadre et le climat des affaires sont propices aux capitaux étrangers, et persuader les investisseurs qu’il fait bon y travailler.
L’agence de notation Moody’s a déclaré, dans une analyse annuelle publié ce lundi, que le profil de crédit du gouvernement de la république du Congo présentait un risque de défaut élevé. L’agence de notation a pointé les risques de pertes pour les créanciers privés, à cause d’une crise de liquidité aiguës et d’un bilan fragile.
À l’occasion de la publication de l’édition 2017 des « Statistiques des recettes publiques en Afrique », co-rédigé par l’OCDE, Federico Bonaglia, Directeur adjoint du Centre de développement de l’OCDE revient pour Jeune Afrique sur les évolutions fiscales sur le continent.
Principal initiateur de la rénovation du port d’Owendo, Gagan Gupta, président d’Olam Gabon, revient pour Jeune Afrique sur la manière dont son groupe et le groupe Bolloré ont fini par trouver un accord dans le litige qui les opposaient. Il expose également ses attentes en termes de résultats pour ce nouvel outil.
Le port d’Owendo, inauguré ce samedi 14 octobre, offre une « nouvelle porte maritime » au Gabon et va « accélérer les échanges et générer une économie de plusieurs milliards par an », promet le chef de l’État. Opérationnel depuis juin, le port entièrement rénové a finalement été lancé après un bras de fer tendu entre l’État, Bolloré Transport & Logistics et Olam Gabon.
L’État gabonais a adopté son projet de loi de finances pour 2018, avec un budget en légère baisse dans un contexte économique difficile et un pays confronté à des détournements massifs d’argent public.
L’institution européenne vient de valider le versement de la première des trois tranches du Programme d’assistance macrofinancière de 500 millions d’euros en faveur de la Tunisie, validé en 2016. Des fonds affectés au budget général, qui doivent aider le pays à faire face à la crise de balance des paiements qu’il traverse.
Pour renforcer des relations commerciales qui s’intensifient depuis quelques années, le Premier ministre russe a effectué une visite de travail de deux jours dans le royaume, au cours de laquelle onze accords de partenariat ont été signés, notamment dans les domaines de l’énergie et de l’agriculture, mais aussi sur le plan militaire.
L’Institut Choiseul publie chaque année depuis 2014 un palmarès des futurs décideurs économiques. Jeune Afrique vous livre en exclusivité le palmarès 2017 du think tank français.
L’agence de notation Fitch Ratings a annoncé, dans un communiqué publié mardi 10 octobre, avoir attribué au Maroc la note BBB- avec perspective stable. Elle estime que la croissance du PIB atteindra 4,6% en 2017.
Le Sénégal est sur une trajectoire de croissance soutenue. Mais pour tenir le cap, il faut renforcer la compétitivité du privé, en soutenant les PME-PMI et en remobilisant l’investissement direct étranger.
Associant fonds d’investissement et groupes sénégalais ou étrangers spécialisés dans le renouvelable, les parcs photovoltaïques montent en puissance. Et ce n’est pas fini.
L’économiste sénégalais Ahmadou Aly Mbaye, doyen honoraire des la faculté des sciences économiques et de gestion à l’Université Cheikh-Anta-Diop de Dakar, analyse les performances économiques des pays de la zone du franc CFA et notamment du Sénégal.
Pour classer les 100 leaders de demain, l’Institut Choiseul utilise cinq groupes de critères : l’image et la réputation, le parcours et les compétences, le pouvoir et la fonction, l’influence et les réseaux, le potentiel et le leadership.
Les trois entreprises publiques mozambicaines impliquées dans l’affaire de la dette cachée, qui avait conduit le FMI et d’autres grands bailleurs de fonds à suspendre leur aide budgétaire aux pays, ont contesté des conclusions de l’audit réalisé par le cabinet Kroll LLC, rapporte Bloomberg.
L’Algérien, Slim Othmani, président du conseil d’administration de NCA Rouiba analyse la crise économique du pays ainsi que le traitement du nouveau premier ministre Ahmed Ouyahia pour l’enrayer.
Pour « sauver l’État de la faillite », le Premier ministre algérien, Ahmed Ouyahia a opté pour la planche à billets. À cet effet, les députés ont adopté dimanche 8 octobre un texte autorisant le Trésor à emprunter directement à la Banque centrale. Au-delà de cette arme à double tranchant, quelles sont les mesures urgentes à prendre pour sortir du marasme ? L’avis des experts et des opérateurs privés.
Le Parlement algérien a adopté dimanche un texte autorisant le Trésor à emprunter directement à la Banque centrale, laissant craindre un recours à la « planche à billets » et un risque d’inflation dans un pays qui souffre de la chute des revenus pétroliers.
Comme l’annonçait quelques heures plus tôt un responsable de l’administration américaine, les États-Unis ont décidé vendredi de renoncer formellement à certaines sanctions économiques qui pèsent sur le Soudan depuis 1997.
Au sortir de la réunion des ministres des Finances de la zone franc, qui s’est tenue à Paris ce 5 octobre, la France et les autres pays membres ont répondu en filigrane aux critiques visant la devise.
Le conseil des ministres ivoirien a avalisé le 4 octobre un budget ambitieux, avec 1 833 milliards de francs CFA consacrés à l’investissement et un déficit ramené à 3,75 %. Mais pour tenir cet engagement, l’activité économique devra suivre : les chiffres du gouvernement s’appuient sur une croissance à 8,3 %.
La dette publique de la République du Congo s’élevait à quelque 9,14 milliards de dollars américains fin juillet, représentant 110% du PIB, a annoncé mercredi le Fonds monétaire international à l’issue d’une mission menée dans le pays.
L’événement était attendu : il n’est donc pas passé inaperçu. Mais je pense qu’il aurait dû marquer davantage l’actualité, susciter plus de commentaires. Révélateur et chargé de signification, il aura été, en ce mois de septembre, un tournant dans l’actualité sociopolitique mondiale. Je crois utile de vous le soumettre et de le commenter pour vous.
Enthousiaste quant à l’impact des technologies de l’information et de la communication sur l’activité économique, la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) estime toutefois qu’il faudra légiférer pour que les pays en voie de développement et les petites entreprises ne soient pas les laissés-pour-compte de ces avancées.
Conscientes des opportunités qu’offre le continent, de grandes entreprises hexagonales y prospèrent, mais les petites et moyennes entreprises peinent à suivre. De nouvelles perspectives semblent cependant s’ouvrir avec l’engagement du gouvernement français en matière d’aide aux financements.
Le FMI a annoncé que son conseil d’administration avait révisé le cadre d’évaluation de la viabilité de la dette pour les pays à faibles revenus. Un cadre que l’institution partage avec la Banque Mondiale et qui conditionne les politiques de prêts de nombreux bailleurs de fonds.
Pour leur deuxième édition, les Rencontres Africa se sont transportées en Côte d’Ivoire, où Paris bénéficie du soutien des autorités pour faire la promotion d’une coopération économique renforcée entre les entreprises des deux pays.
Mohammed VI a reçu ce lundi le rapport d’audit qu’il avait demandé sur l’exécution du programme de développement de cette ville. Verdict : il n’y a pas eu de malversation ou de fraude, mais par contre d’énormes retards dans la mise en œuvre.