L’aide du FMI ne suffira pas à relancer les économies de la zone. Nouvelles sources de financement, recettes fiscales, diversification… JA fait le tour des réformes à engager d’urgence pour renouer avec la croissance.
Des zones économiques spéciales restées lettre morte, des industries en perte de vitesse, l’émergence projetée à l’horizon 2030 de plus en plus hypothétique… Décidément, côté industrialisation, la RDC peine à redécoller. Non sans inquiéter les entrepreneurs privés regroupés dans le réseau « Makutano ».
Un nouveau round de négociations avec les syndicats devrait démarrer le 9 octobre prochain. En attendant, les principales centrales fourbissent leurs armes…
Le recours au financement non conventionnel est la seule issue possible pour sauver l’État de la faillite, a tonné le Premier ministre algérien, lundi matin, devant les sénateurs.
Cheville ouvrière de l’investissement, notamment extérieur, la haute instance pour l’investissement est le premier interlocuteur des institutions et partenaires étrangers.
L’industrie tunisienne est plongée dans une profonde léthargie. Une manière de résister à la crise que traverse le pays et aux importations de produits équivalents à ceux qu’elle propose.
Avec un déficit des caisses sociales et de l’assurance maladie avoisinant 2 milliards de dinars en 2017, des mesures urgentes, comme le prolongement de l’âge du départ à la retraite et la diversification des sources de financement, s’imposent.
Cissé technologie va confectionner avec son partenaire, l’Imprimerie nationale française, les nouvelles cartes d’identité biométriques. Un nouveau challenge pour une société surtout connue comme fournisseur d’appareils médicaux.
Depuis l’an 2000, le continent africain a affiché d’impressionnants taux de croissance économique. Toutefois, cette performance remarquable a été en grande partie due à l’essor prolongé des matières premières et de l’aide au développement.
La deuxième conférence sur le marché du luxe en Afrique aura lieu le 5 octobre à Paris. L’occasion pour les grandes marques qui lorgnent sur un marché en pleine croissance de peaufiner leur stratégie.
Intitulé « Prêts pour l’Afrique d’aujourd’hui ? », le nouveau rapport du think-tank libéral Institut Montaigne dresse, à partir d’une cinquantaine d’auditions menées auprès d’institutions et d’entreprises de tous secteurs et de toutes tailles, un constat de la situation de la France en Afrique et appelle à construire une stratégie de long-terme pour les entreprises françaises sur le continent.
La dernière mission du FMI à Antananarivo a remarqué les efforts déployés par le gouvernement malgache pour redresser l’économie du pays. Cependant, les chocs climatiques subis cette année, et en particulier le passage du cyclone Enawo, ont laissé des traces.
À l’issue d’une mission de contrôle à Dakar, du 7 au 19 septembre 2017, le FMI s’est inquiété de l’endettement du pays. Le service de la dette – soit la somme que le Sénégal doit payer chaque année pour honorer sa dette -, qui s’élevait à 24% des recettes de l’État en 2014, devrait passer à 30% en 2017.
La Banque africaine de développement (BAD) a annoncé mardi 19 septembre sa décision de bannir la société malienne Entreprise de construction urbaine et rurale (Ecur) de tous les projets financés par elle, et ce pour une durée minimale de trois ans. Ce n’est pas la première fois que l’institution panafricaine prend une telle mesure : focus sur la chasse aux fraudes, en sept enquêtes.
Pour combler le déficit public, les autorités algériennes vont recourir au « financement non conventionnel », selon les termes du Premier ministre, Ahmed Ouyahia. Mais certains observateurs craignent une baisse du pouvoir d’achat des ménages.
Après la nouvelle loi sur la monnaie et le crédit, le conseil des ministres va pouvoir « introduire le financement non conventionnel au profit du Trésor public ». Un recours désespéré à « la planche à billets » pour compenser le déficit budgétaire de l’État algérien.
Inscrite dans la continuité plutôt que dans la rupture, la nouvelle équipe de Youssef Chahed n’en est pas moins sommée de mettre en œuvre les indispensables réformes dont la Tunisie a urgemment besoin, sous peine de sombrer.
Le débat autour de l’indépendance et du rôle de la South African Reserve Bank, la banque centrale sud-africaine, a pris une nouvelle ampleur cette semaine, avec la découverte de l’implication du président dans le dossier.
Dans son dernier rapport, intitulé « Au-delà de l’austérité − Vers une nouvelle donne mondiale », la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (Cnuced) appelle à lancer un « New Deal » pour corriger plusieurs grandes tendances économiques vecteurs d’inégalités.
Pour la troisième année consécutive, les entrepreneurs congolais et d’ailleurs du « réseau Makutano » se sont donnés rendez-vous à Kinshasa. Une grand-messe de trois jours, du 14 au 16 septembre, pour parler industrialisation de la RD Congo. Mais pas seulement.
Le Premier ministre tunisien a décliné sa liste d’urgences pour sortir le pays de la crise économique. Au passage, Youssef Chahed a aussi essuyé les critiques d’élus sur le retour d’anciens ministres de Ben Ali dans sa nouvelle équipe.
Stigmatisé en France pour ses débordements, le Franco-Béninois Kemi Seba s’est refait une vie de polémiste au Sénégal, où il résidait depuis 2011. Mais sa croisade contre le franc CFA lui a valu, le 6 septembre, d’en être expulsé sans préavis.
Depuis 2006, Djibouti est à la pointe de la finance islamique sur le continent. C’est à ce titre qu’Ismaël Omar Guelleh (IOG), le président de la petite république a reçu, le 6 septembre, à Astana, capitale du Kazakhstan, le Global Islamic Finance Award (GIFA), pour l’année 2017.
Endettement extérieur, contrôle de l’État sur les investissements étrangers… Le programme économique du Premier ministre Ahmed Ouyahia est resté otage des lignes rouges imposées par le président Abdelaziz Bouteflika, selon l’économiste Hassan Haddouche.
Charmaine Marcus a été expulsée une première fois de son domicile du Cap dans les années 1970, au nom de la politique d’apartheid. Elle est menacée de l’être à nouveau aujourd’hui, cette fois sous la pression du marché immobilier.
Li Ka-shing, l’homme le plus riche de Hong Kong figure, avec 31,2 milliards de dollars (26 milliards d’euros), au 19e rang dans le palmarès mondial des milliardaires établi chaque année par le magazine Forbes. À qui remettra-il les clés de son empire ?
Henry Sy, l’homme le plus riche des Philippines apparaît au 94e rang du classement Forbes (12,7 milliards de dollars, soit 10,6 milliards d’euros). À qui remettra-il les clés de son empire ?
Robert Kuok, l’homme le plus riche de Malaisie est à la tête de 11,4 milliards de dollars (9,5 milliards d’euros) : c’est la 115e fortune mondiale. À qui remettra-il les clés de son empire ?
Dhanin Chearavanont, première fortune de Thaïlande (ou la deuxième, selon les critères pris en compte) figure pour sa part au 132e rang mondial des milliardaires avec 9,7 milliards de dollars (8,1 milliards d’euros). À qui remettra-il les clés de son empire ?